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Bonjour réponse 5. On ne peut laisser croire que l'on peut mesurer la résistance d'une prise de terre avec un simple multimètre. On rappelle donc qu'il faut utiliser un appareil spécifique comme rappelé en réponse 2.
Il existe d'autres appareils spécifiques permettant la mesure de l'impédance de boucle de terre sous tension (et sans piquets), mais ce ne sont en rien ce que l'on appelle "testeur de prise", tant pour les caractéristiques et possibilités de mesure que pour le prix d'achat (des centaines d'euros) qui réservent ces appareils à des usages professionnels. Cordialement,
Il existe d'autres appareils spécifiques permettant la mesure de l'impédance de boucle de terre sous tension (et sans piquets), mais ce ne sont en rien ce que l'on appelle "testeur de prise", tant pour les caractéristiques et possibilités de mesure que pour le prix d'achat (des centaines d'euros) qui réservent ces appareils à des usages professionnels. Cordialement,
13 mars 2012 à 09:20

Bien reçu réponse 8. Je constate que vous avez des raisons valables pour faire fonctionner votre chauffage ainsi, l'essentiel est que vous ayez une bonne autonomie si les coupures sont fréquentes dans votre région.
Une remarque immediate et l'on n'en parle plus : la nécessité d'une stabilité en fréquence pour le fonctionnement du système n'est pas prouvée ; c'était le sens de la remarque. Pour le fonctionnement de la machine asynchrone, il y aurait des points à revoir mais ce n'est pas l'endroit, la place manque, et on s'éloigne du sujet initial.
Vous me permettrez d'être dubitatif concernant le modèle de la flamme (d'ou l'espérance de renseignements plus pointus). L'utilisation d'un groupe nécessite de mettre une sortie à la terre.
Concernant la théorie des machines tournantes vos souvenirs vous induisent quelquefois en erreur. Le moteur dont vous parlez est de type universel, équivalent à un moteur excitation série et non shunt.
Un moteur universel alimenté en alternatif ne peut absorber qu'un courant alternatif (valeur moyenne nulle), et non continu ou unidirectionnel.
Le moteur asynchrone alimenté en sinusoïdal ou MLI ne peut consommer qu'un courant alternatif. En MLI le courant est sinusoïdal mais déformé avec les harmoniques impairs.
Le collecteur d'une machine CC peut être considéré comme un redresseur et c'est comme cela que l'on analyse son fonctionnement en détail. Bien évidemment quand on doit le faire (ce qui est désormais très peu fréquent). Cette machine est devenue obsolète, à part pour l'électroménager et l'outillage.
La visualisation des courants en électronique de puissance nécessite des pinces à effet Hall.
Mais on s'éloigne encore une fois.
Bien cordialement, et merci pour le partage de votre expérience.
Une remarque immediate et l'on n'en parle plus : la nécessité d'une stabilité en fréquence pour le fonctionnement du système n'est pas prouvée ; c'était le sens de la remarque. Pour le fonctionnement de la machine asynchrone, il y aurait des points à revoir mais ce n'est pas l'endroit, la place manque, et on s'éloigne du sujet initial.
Vous me permettrez d'être dubitatif concernant le modèle de la flamme (d'ou l'espérance de renseignements plus pointus). L'utilisation d'un groupe nécessite de mettre une sortie à la terre.
Concernant la théorie des machines tournantes vos souvenirs vous induisent quelquefois en erreur. Le moteur dont vous parlez est de type universel, équivalent à un moteur excitation série et non shunt.
Un moteur universel alimenté en alternatif ne peut absorber qu'un courant alternatif (valeur moyenne nulle), et non continu ou unidirectionnel.
Le moteur asynchrone alimenté en sinusoïdal ou MLI ne peut consommer qu'un courant alternatif. En MLI le courant est sinusoïdal mais déformé avec les harmoniques impairs.
Le collecteur d'une machine CC peut être considéré comme un redresseur et c'est comme cela que l'on analyse son fonctionnement en détail. Bien évidemment quand on doit le faire (ce qui est désormais très peu fréquent). Cette machine est devenue obsolète, à part pour l'électroménager et l'outillage.
La visualisation des courants en électronique de puissance nécessite des pinces à effet Hall.
Mais on s'éloigne encore une fois.
Bien cordialement, et merci pour le partage de votre expérience.
10 mars 2012 à 09:44

Bonjour réponse 6. Votre contribution est étayée et l'expérimentation intéressante. On peut remarquer néanmoins qu'une journée de fonctionnement autonome nécessite un gros budget, et l'on peut se demander dans quels cas on pourrait mettre en service une telle installation. Sans compter qu'il faudra de toute façon recharger la batterie.
Une autre interrogation concerne la prétendue nécessité d'une stabilité rigoureuse de la fréquence. En effet, l'électronique nécessite une tension alternative qui sera redressée filtrée et régulée ; peu importe les petits écarts de fréquence délivrée par un groupe électrogène basique.
Le fonctionnement d'un moteur asynchrone pourrait être revu. On rappelle que les convertisseurs triphasés délivrent tous des tensions MLI (non sinusoïdales) et qu'ils fonctionnent très bien. En monophasé et sous une tension non MLI et du type +V, 0, -V à rapport cyclique fixe (entre 2/3 et 3/5), que délivre un convertisseur de secours basique, un moteur "voit" le fondamental de la tension et doit tourner. Seul le condensateur auxiliaire pourrait présenter un problème ; cela nécessiterait quelques essais et mesures. Mais un onduleur de secours monophasé basique de quelques centaines de VA n'est pas destiné à faire tourner des moteurs.
Enfin, le fonctionnement détaillé du contrôle de flamme avec électrode de mesure de l'intensité mériterait d'être développé. C'est principalement cette description qui est attendue depuis longtemps sur le forum. Peut-être possédez vous la documentation ?
En conclusion, l'alimentation d'une chaudière gaz domestique en cas d'absence réseau peut être inutile :
1. de par le coût de l'équipement nécessaire,
2. de par la rareté des incidents réseau qui sont peu fréquents et de durée très limitée.
Cordialement,
Une autre interrogation concerne la prétendue nécessité d'une stabilité rigoureuse de la fréquence. En effet, l'électronique nécessite une tension alternative qui sera redressée filtrée et régulée ; peu importe les petits écarts de fréquence délivrée par un groupe électrogène basique.
Le fonctionnement d'un moteur asynchrone pourrait être revu. On rappelle que les convertisseurs triphasés délivrent tous des tensions MLI (non sinusoïdales) et qu'ils fonctionnent très bien. En monophasé et sous une tension non MLI et du type +V, 0, -V à rapport cyclique fixe (entre 2/3 et 3/5), que délivre un convertisseur de secours basique, un moteur "voit" le fondamental de la tension et doit tourner. Seul le condensateur auxiliaire pourrait présenter un problème ; cela nécessiterait quelques essais et mesures. Mais un onduleur de secours monophasé basique de quelques centaines de VA n'est pas destiné à faire tourner des moteurs.
Enfin, le fonctionnement détaillé du contrôle de flamme avec électrode de mesure de l'intensité mériterait d'être développé. C'est principalement cette description qui est attendue depuis longtemps sur le forum. Peut-être possédez vous la documentation ?
En conclusion, l'alimentation d'une chaudière gaz domestique en cas d'absence réseau peut être inutile :
1. de par le coût de l'équipement nécessaire,
2. de par la rareté des incidents réseau qui sont peu fréquents et de durée très limitée.
Cordialement,
06 mars 2012 à 10:01

Bonjour réponse 11. On va donc être plus précis et bien faire la différence entre dérivation et repiquage, solution évoquée en réponse 10, car plus courante.
La dérivation au sens propre n'est pas interdite dans le sens où cette fonction doit être réalisée dans une boîte de taille convenable avec les dispositifs de connexion adaptée.
Vous pouvez consulter la norme sur le site de l'AFNOR à condition de vous y inscrire.
Les connexions sont traitées dans le titre 526 (Connexions - Extrait norme 2002)
Titre 526.8 page 223 : "Le repiquage des conducteurs - c'est à dire la connexion sur les bornes d'un appareil des connexions servant à d'autres appareils - n'est admis que sur les bornes des socles de prises de courant, des luminaires de tout type, à condition que les bornes soient prévues à cet effet (sections de l'alvéole ou alvéole supplémentaire) et leur intensité nominale non inférieure au courant d'emploi du circuit en amont. "
Les appareillages actuels comportent en général deux alvéoles par borne permettant le repiquage de proche en proche. En dehors de l'appareillage lui même, si la profondeur du boîtier le permet, il y a toujours possibilité de dériver un neutre par exemple, on ne peut guère faire plus.
Les connexions au sens plus large sont traitées dans le titre 526.1 : "Les connexions entre conducteurs et autres matériels doivent assurer une continuité électrique durable et présenter une tenue mécanique appropriée.
Le guide UTE C 15-520 donne les indications détaillées pour la réalisation des connexions : adaptation aux intensités admises en régime permanent, adaptation aux sections des conducteurs...".
Conclusion :
1. Le repiquage sur un appareil de coupure ou socle de PC dans un boîtier appareillage est possible.
2. La dérivation au sens propre serait possible à condition que la place disponible (absence d'appareillage ou profondeur suffisante) ainsi que la qualité des connecteurs utilisés permettent continuité électrique durable et tenue mécanique appropriée.
3. Interprétation personnelle : une bonne grande boîte de dérivation est toujours préférable à un boîtier appareillage de contenance très limitée.
4. Les références données ici sont relatives à l'édition 2002.
La dérivation au sens propre n'est pas interdite dans le sens où cette fonction doit être réalisée dans une boîte de taille convenable avec les dispositifs de connexion adaptée.
Vous pouvez consulter la norme sur le site de l'AFNOR à condition de vous y inscrire.
Les connexions sont traitées dans le titre 526 (Connexions - Extrait norme 2002)
Titre 526.8 page 223 : "Le repiquage des conducteurs - c'est à dire la connexion sur les bornes d'un appareil des connexions servant à d'autres appareils - n'est admis que sur les bornes des socles de prises de courant, des luminaires de tout type, à condition que les bornes soient prévues à cet effet (sections de l'alvéole ou alvéole supplémentaire) et leur intensité nominale non inférieure au courant d'emploi du circuit en amont. "
Les appareillages actuels comportent en général deux alvéoles par borne permettant le repiquage de proche en proche. En dehors de l'appareillage lui même, si la profondeur du boîtier le permet, il y a toujours possibilité de dériver un neutre par exemple, on ne peut guère faire plus.
Les connexions au sens plus large sont traitées dans le titre 526.1 : "Les connexions entre conducteurs et autres matériels doivent assurer une continuité électrique durable et présenter une tenue mécanique appropriée.
Le guide UTE C 15-520 donne les indications détaillées pour la réalisation des connexions : adaptation aux intensités admises en régime permanent, adaptation aux sections des conducteurs...".
Conclusion :
1. Le repiquage sur un appareil de coupure ou socle de PC dans un boîtier appareillage est possible.
2. La dérivation au sens propre serait possible à condition que la place disponible (absence d'appareillage ou profondeur suffisante) ainsi que la qualité des connecteurs utilisés permettent continuité électrique durable et tenue mécanique appropriée.
3. Interprétation personnelle : une bonne grande boîte de dérivation est toujours préférable à un boîtier appareillage de contenance très limitée.
4. Les références données ici sont relatives à l'édition 2002.
02 mars 2012 à 09:20

Bonjour réponse 9. On peut se servir d'un boîtier d'appareillage comme boîte de dérivation, à condition d'avoir de la place (C15-100). 40 mm de profondeur ne permet pas de raccorder grand chose. 50 mm un peu plus. Mais quand les dérivations à effectuer sont nombreuses, il vaut mieux utiliser une boîte ad hoc.
29 février 2012 à 09:02

Bonjour réponse 5. Il faut tout d'abord essayer la lampe sur un autre point lumineux. Si elle est bonne ce peut être le détecteur. Quand il fonctionne, on entend normalement le bruit d'un relais en fonctionnement ("tic").
29 février 2012 à 08:57

Bonjour réponse 5. Si l'on calcule la chute de tension sur 40 m de ligne de cuivre 6 mm² parcourue par un courant d'intensité 32 A, on trouve un peu moins de 10 V, ce qui correspond 4,3 % de chute de tension. Donc s'agissant d'un tableau déporté sans éclairage important ni intensité de cet ordre (à condition que vous soyez certain de votre prévision - mais il faut être suspicieux vis à vis des intensités au démarrage des équipements, c'est pour cela qu'il serait certainement préférable de passer à 10 mm²), cette section pourrait convenir.
La structure du montage que vous proposez est correcte : DJ 32 A sur le tableau de répartition et ID 40 A type AC 30 mA dans le tableau déporté ; vous pouvez y ajouter un voyant présence tension.
Nota : il y a des règles à respecter pour enterrer la liaison électrique.
La structure du montage que vous proposez est correcte : DJ 32 A sur le tableau de répartition et ID 40 A type AC 30 mA dans le tableau déporté ; vous pouvez y ajouter un voyant présence tension.
Nota : il y a des règles à respecter pour enterrer la liaison électrique.
28 février 2012 à 10:01

Bonjour réponse 4. "Pourriez-vous m'envoyer un schéma de ce montage". Non, car vous ne précisez pas quel organe assurera les positions 1 à 4 ni ne précisez l'utilité réelle du montage ; cela ressemble à un exercice d'école et dans ce cas il est préférable que vous recherchiez vous-même.
Un montage utilisant des relais est possible.
Un montage utilisant des relais est possible.
24 février 2012 à 14:19

Bonjour réponse 4. Une résistance se mesure "entre" et non "sur". Il faudrait expliquer ce que vous voulez faire et dans quel but.
24 février 2012 à 14:08

Bonjour réponse 4. Tout est dit en 1 et 2. D'autre part la référence que vous donnez n'apparait pas dans le catalogue Legrand. Vous devez repérer la bobine et les deux bornes du contact.
Un ami muni d'un multimètre pourra vous préciser la fonction des bornes.
Un ami muni d'un multimètre pourra vous préciser la fonction des bornes.
20 février 2012 à 00:11

Bonjour réponse 3. Ce que vous dites sur le fonctionnement à puissance réduite est vrai.
Par contre vous mélangez puissance en W et énergie en Wh. Le W/h n'existe pas.
Cette question a déjà quelques années et son intérêt est limité.
Par contre vous mélangez puissance en W et énergie en Wh. Le W/h n'existe pas.
Cette question a déjà quelques années et son intérêt est limité.
20 février 2012 à 00:04

Bien reçu réponse 15. Vous avez expérimenté la rupture de neutre en triphasé. Cela revient très cher.
A terme, vu le prix du kWh, il faudra certainement passer en programmation et délestage.
Pour l'équilibrage, rien ne vaut une bonne pince ampèremétrique. Il en existe pour moins de 200 pour les bricoleurs expérimentés ou les professionnels fauchés.
A terme, vu le prix du kWh, il faudra certainement passer en programmation et délestage.
Pour l'équilibrage, rien ne vaut une bonne pince ampèremétrique. Il en existe pour moins de 200 pour les bricoleurs expérimentés ou les professionnels fauchés.
19 février 2012 à 23:59

Bonjour réponse 33. Voir en question 6682 : Problème branchement cumulus HC et HP
Un document vous permettant de comprendre le montage et éventuellement le dépanner.
Un document vous permettant de comprendre le montage et éventuellement le dépanner.
19 février 2012 à 23:50

Bonjour réponse 14. Désolé, mais votre réponse est incompréhensible et non fondée sur les principes de l'électrotechnique.
Il faut se faire à l'idée que par correspondance on ne pourra rien faire pour cette machine et il faudrait clore ce sujet bien ancien. La plupart des contributions sont confuses pour ce qui concerne les machines tournantes en général.
Il faut se faire à l'idée que par correspondance on ne pourra rien faire pour cette machine et il faudrait clore ce sujet bien ancien. La plupart des contributions sont confuses pour ce qui concerne les machines tournantes en général.
19 février 2012 à 10:22

Bien reçu réponses 9 et 11. Il est curieux qu'EDF vous propose des contrats de cette puissance en mono. Il faut que la ligne soit bien dimensionnée mais c'est leur problème.
Pour les radiateurs sans fils pilote tirés, mais malgré tout disposant de la fonction commande électronique, il y a toujours possibilité de les commander soit par courants porteurs, soit par radio.
Cela afin de programmer les périodes confort et éco, et réaliser un délestage cascado-cyclique permettant de diminuer la puissance souscrite d'une tranche ou deux. Le délesteur est alors commandé par le compteur électronique, ou bien à l'aide de tores de mesure d'intensité adaptés au délesteur.
Si les radiateurs sont très anciens fonctionnant en tout ou rien (la préhistoire) on peut les changer pour des modèles rayonnants à inertie au confort très agréable ; on ne lésine pas sur la qualité et il y a de bonnes marques. 12 kW de radiateurs est relativement important, il faut programmer et délester, et pour cela utiliser fils pilote ou CPL ou radio ; de même, il faut utiliser au maximum les heures creuses.
Équilibrer demande une étude préalable, mais on y arrive sans trop de problèmes.
Si votre tableau est en tri et qu'il fonctionne, mieux vaudrait le garder, les frais seront alors minimisés (à part l'équilibrage à fignoler). Voilà donc quelques renseignements pouvant vous aider dans vos choix. Il ne reste plus qu'à faire des additions.
Rappelons que le travail de ERDF s'arrêtera en aval du DJ de branchement.
Pour les radiateurs sans fils pilote tirés, mais malgré tout disposant de la fonction commande électronique, il y a toujours possibilité de les commander soit par courants porteurs, soit par radio.
Cela afin de programmer les périodes confort et éco, et réaliser un délestage cascado-cyclique permettant de diminuer la puissance souscrite d'une tranche ou deux. Le délesteur est alors commandé par le compteur électronique, ou bien à l'aide de tores de mesure d'intensité adaptés au délesteur.
Si les radiateurs sont très anciens fonctionnant en tout ou rien (la préhistoire) on peut les changer pour des modèles rayonnants à inertie au confort très agréable ; on ne lésine pas sur la qualité et il y a de bonnes marques. 12 kW de radiateurs est relativement important, il faut programmer et délester, et pour cela utiliser fils pilote ou CPL ou radio ; de même, il faut utiliser au maximum les heures creuses.
Équilibrer demande une étude préalable, mais on y arrive sans trop de problèmes.
Si votre tableau est en tri et qu'il fonctionne, mieux vaudrait le garder, les frais seront alors minimisés (à part l'équilibrage à fignoler). Voilà donc quelques renseignements pouvant vous aider dans vos choix. Il ne reste plus qu'à faire des additions.
Rappelons que le travail de ERDF s'arrêtera en aval du DJ de branchement.
18 février 2012 à 08:56

Bonjour réponse 3. Il faut que vous respectiez les dimensions de la GTL ainsi que son environnement. Pour le tableau, il ne faut pas lésiner sur la capacité et la profondeur, l'accès et les modifications ou extensions ultérieures. On voit trop de tableaux faits à l'économie. Il faut pouvoir câbler sans difficulté ; le fait d'encastrer dans la cloison placo ne pose pas de problème, sachant que le tableau lui-même comportera son boîtier extérieur démontable. L'usage de goulottes peut faciliter le câblage ; évitez d'avoir des entrées partout dans le tableau. Il est préférable de ramener tous les conducteurs (avec leurs conduits ICTA) en haut par exemple. Pas de conducteurs nus derrière le placo.
Pour les volets roulants, comme il s'agit d'une installation neuve il faut effectuer une ligne spécialisée (1,5 mm² minimum) protégée par DJ de calibre adapté.
Comme d'habitude, on conseille l'achat du livret Promotelec "Locaux d'habitation".
Pour les volets roulants, comme il s'agit d'une installation neuve il faut effectuer une ligne spécialisée (1,5 mm² minimum) protégée par DJ de calibre adapté.
Comme d'habitude, on conseille l'achat du livret Promotelec "Locaux d'habitation".
16 février 2012 à 10:00

Bonjour réponse 9. Bien que ce ne soit pas d'une extrême difficulté à réaliser, il semble ne pas y avoir de tarif fixe car comme vous dites, il n'y a que des cas particuliers. L'intervention est rapide à partir du coffret de branchement extérieur. Le compteur sera changé et devra être programmé pour le tarif souscrit. Ce ne sera pas forcément la même personne qui fera les deux opérations. Il est évident que c'est au client de supporter les frais non négligeables.
Vous pouvez toujours proposer une offre de service à EDF si vous la faites le 1er avril.
Il serait davantage souhaitable que vous gardiez votre livraison en triphasé, surtout qu'en mono la limitation est de 12 kVA. Les frais seront pratiquement nuls (pas d'intervention au niveau du tableau de répartition). Équilibrer les charges se fait une fois pour toutes avec une pince ampèremétrique ; mais on peut déjà prévoir la répartition sur le papier en faisant l'inventaire des récepteurs.
Les charges triphasées sont le chauffe-eau s'il y en a un, et la cuisson par plaque qui utilise 2 ou 3 phases suivant les modèles.
Pour le chauffage électrique on met en uvre un programmateur délesteur qui commande les fils pilote. C'est vous qui voyez.
Vous pouvez toujours proposer une offre de service à EDF si vous la faites le 1er avril.
Il serait davantage souhaitable que vous gardiez votre livraison en triphasé, surtout qu'en mono la limitation est de 12 kVA. Les frais seront pratiquement nuls (pas d'intervention au niveau du tableau de répartition). Équilibrer les charges se fait une fois pour toutes avec une pince ampèremétrique ; mais on peut déjà prévoir la répartition sur le papier en faisant l'inventaire des récepteurs.
Les charges triphasées sont le chauffe-eau s'il y en a un, et la cuisson par plaque qui utilise 2 ou 3 phases suivant les modèles.
Pour le chauffage électrique on met en uvre un programmateur délesteur qui commande les fils pilote. C'est vous qui voyez.
15 février 2012 à 08:53

Bonjour réponse 2. Sans plus de renseignements on ne peut répondre. Désolé.
11 février 2012 à 09:00

Bonjour réponse 2. Le moyen le plus simple est d'utiliser un voltmètre en position continue.
Vous branchez le chargeur non alimenté sur les cosses + et - de la batterie. De même, vous connectez le voltmètre. Chargeur non branché le voltmètre donne la tension de la batterie à vide (on l'appelle également "force électromotrice" ou FEM), aux environs de 11 à 12 V. Chargeur en service, la tension doit nettement augmenter, 14 V est une bonne moyenne. Cela indique que le chargeur fonctionne bien et qu'il débite dans la batterie.
Nota : la batterie ne peut pas débiter dans le chargeur, que celui-ci soit en service ou non. Réponse 1 confond tension et intensité. Les piles ne peuvent être rechargées.
Vous branchez le chargeur non alimenté sur les cosses + et - de la batterie. De même, vous connectez le voltmètre. Chargeur non branché le voltmètre donne la tension de la batterie à vide (on l'appelle également "force électromotrice" ou FEM), aux environs de 11 à 12 V. Chargeur en service, la tension doit nettement augmenter, 14 V est une bonne moyenne. Cela indique que le chargeur fonctionne bien et qu'il débite dans la batterie.
Nota : la batterie ne peut pas débiter dans le chargeur, que celui-ci soit en service ou non. Réponse 1 confond tension et intensité. Les piles ne peuvent être rechargées.
11 février 2012 à 08:59

Bonjour réponse 4. La réponse à votre question est en 1. Il n'y a rien à faire. En plein feux ou au noir il n'y a pas de bruit induit.
08 février 2012 à 09:53

Bonjour réponse 7. La réponse à votre question a été apportée en réponse 2. Tant pour ce qui concerne les démarches à effectuer auprès du syndic, que les mesures de précautions à mettre en uvre dans votre tableau de répartition (au moins un interrupteur différentiel 30 mA).
La distribution de la terre dans la colonne montante pourrait sembler assez facile, une prise de terre ayant été effectuée (comment ? par qui ? contrôlée ?) pour l'installation de l'ascenseur.
Une entreprise d'électricité mandatée par l'assemblée des copropriétaires sous la responsabilité du syndic pourra effectuer ce travail.
La distribution de la terre dans la colonne montante pourrait sembler assez facile, une prise de terre ayant été effectuée (comment ? par qui ? contrôlée ?) pour l'installation de l'ascenseur.
Une entreprise d'électricité mandatée par l'assemblée des copropriétaires sous la responsabilité du syndic pourra effectuer ce travail.
29 janvier 2012 à 08:42

Bonjour réponse 4. Voir la question 2668 à laquelle vous avez apporté une contribution erronée, surprenante pour un connaisseur en électricité. Les couplages Y D ne sont pas bien compris.
Désolé.
Désolé.
28 janvier 2012 à 09:12

Bonjour réponse 8. La question posée par Olivier n'a jamais obtenue de précisions malgré les demandes effectuées. Le couplage étoile ou triangle n'a jamais été une solution concernant les vitesses, qu'elles soient grandes ou petites.
Sans vouloir vous offenser, on peut vous conseiller de revoir les couplages Y ou D en fonction de la nature des réseaux, 230/400 ou (beaucoup plus rare) 127/220 (avec des moteurs 230/400 ou 400/700 V). Un moteur d'induction est fait pour fonctionner avec sa tension nominale aux bornes d'un enroulement sans que cela influe sur sa vitesse nominale.
Sans vouloir vous offenser, on peut vous conseiller de revoir les couplages Y ou D en fonction de la nature des réseaux, 230/400 ou (beaucoup plus rare) 127/220 (avec des moteurs 230/400 ou 400/700 V). Un moteur d'induction est fait pour fonctionner avec sa tension nominale aux bornes d'un enroulement sans que cela influe sur sa vitesse nominale.
28 janvier 2012 à 09:08

Bonjour réponse 6. Il est grave de laisser penser que l'on peut utiliser la terre comme conducteur de neutre (véhiculant de l'énergie) dans le cas d'un schéma de liaison à la terre de type TT.
Rappelons que l'autre appellation du conducteur de terre est PE, les professionnels ou les bricoleurs très expérimentés proches du métier comprendront. D'autre part, on ne voit pas à quoi servirait un DDR alimenté par une seule phase.
Désolé de ne pas laisser passer une erreur technologique fondamentale concernant les SLT (toujours pour les professionnels), mettant en plus les personnes en danger mortel en cas de contact accidentel.
Rappelons que l'autre appellation du conducteur de terre est PE, les professionnels ou les bricoleurs très expérimentés proches du métier comprendront. D'autre part, on ne voit pas à quoi servirait un DDR alimenté par une seule phase.
Désolé de ne pas laisser passer une erreur technologique fondamentale concernant les SLT (toujours pour les professionnels), mettant en plus les personnes en danger mortel en cas de contact accidentel.
28 janvier 2012 à 08:59

Bonjour réponse 12 (Bernard ?). Votre solution est celle décrite en 10 et 11. Avec le schéma de Bernard en 9 mis à jour.
27 janvier 2012 à 21:33

Bonjour réponse 3. Le condensateur est simplement présent pour "compenser" la réglette fluorescente, donc augmenter son facteur de puissance, particulièrement mauvais car la réglette est un récepteur essentiellement inductif.
Branché en parallèle sur lalimentation de la réglette le condensateur n'influe pas sur le fonctionnement de celle-ci.
Branché en parallèle sur lalimentation de la réglette le condensateur n'influe pas sur le fonctionnement de celle-ci.
27 janvier 2012 à 13:31

Bonjour réponse 4. Tout d'abord vous trouverez la notice du produit ici : d-home-otik.com came RBE42.pdf
Le produit comprend en sortie 4 relais (de capacité 5 A et ce n'est pas beaucoup - 1 kW) qui vous permet certes d'alimenter une lampe directement, ou mieux par l'intermédiaire d'un contacteur si vous avez beaucoup de lampes. Chaque contact de bornes NC NO est un contact qui se ferme (devient donc passant comme un interrupteur) quand vous actionnez une touche. On câble donc comme un circuit lumière : phase et neutre du tableau de répartition, disjoncteur de protection de la ligne (5 A), on amène la phase directe sur la borne NC, on repart de NO (phase coupée) vers la lampe, puis neutre bleu directement sur la lampe.
La terre doit être amenée depuis le tableau de répartition.
Ceci est un travail de bricoleur expérimenté, ou à défaut d'un électricien professionnel.
Le produit comprend en sortie 4 relais (de capacité 5 A et ce n'est pas beaucoup - 1 kW) qui vous permet certes d'alimenter une lampe directement, ou mieux par l'intermédiaire d'un contacteur si vous avez beaucoup de lampes. Chaque contact de bornes NC NO est un contact qui se ferme (devient donc passant comme un interrupteur) quand vous actionnez une touche. On câble donc comme un circuit lumière : phase et neutre du tableau de répartition, disjoncteur de protection de la ligne (5 A), on amène la phase directe sur la borne NC, on repart de NO (phase coupée) vers la lampe, puis neutre bleu directement sur la lampe.
La terre doit être amenée depuis le tableau de répartition.
Ceci est un travail de bricoleur expérimenté, ou à défaut d'un électricien professionnel.
16 janvier 2012 à 09:56

Bien reçu Bernard. Cette solution est bonne. En effet, les trois relais peuvent être remplacés par un seul comportant trois contacts à fermeture. Par contre, il vaut mieux délivrer 3 contacts exempts de potentiel, donc en ne connectant pas les bornes 1 3 et 5 ensemble sur le neutre. Ainsi le montage sera équivalent à celui proposé par Carminas, mais avec un seul petit contacteur. Vous pouvez regarder chez Conrad les produits Finder où en cherchant un peu vous trouverez ce qu'il vous faut.
09 janvier 2012 à 08:08

Bonjour réponse 2. La cuisinière doit fonctionner dès qu'elle est branchée sur une alimentation phase neutre 230 V avec terre. Elle est normalement connectée sur une ligne de section 6 mm² protégée par disjoncteur ou fusible 32 A. Si la protection est de 16 A, celle ci pourra déclencher dès l'instant ou vous utiliserez le four plus une ou deux plaques.
Bien entendu, il faut obligatoirement raccorder la terre (dans le cas contraire il y a danger pouvant être mortel). Il se peut qu'un élément chauffant (plaque fonte à l'ancienne ou résistances du four) présente un défaut d'isolement ; dans ce cas, soit vous réparez, soit vous ramenez la cuisinière à celui qui vous l'a vendue en mauvais état.
Bien entendu, il faut obligatoirement raccorder la terre (dans le cas contraire il y a danger pouvant être mortel). Il se peut qu'un élément chauffant (plaque fonte à l'ancienne ou résistances du four) présente un défaut d'isolement ; dans ce cas, soit vous réparez, soit vous ramenez la cuisinière à celui qui vous l'a vendue en mauvais état.
08 janvier 2012 à 09:45

Bonjour réponse 15. Une photo jointe aurait facilité la réponse. Il n'y a qu'un seul bouton rotatif ou axe avec fente de vis qui permette de régler la température. Si vous n'avez pas la notice (peut-être disponible sur le net) vous pouvez prendre en photo le thermostat et aller chez un grand distributeur (Cedeo, Aubade etc.) ou un professionnel ami qui vous montrera sur quoi il faut agir.
07 janvier 2012 à 09:41

Bonjour réponse 2. L'explication en 1 demeure valable. On peut comprendre qu'au plafond il y a phase coupée, neutre et terre. La section de vos fils implique d'alimenter une seule lampe de puissance relativement faible. Les contacts dans la poire ne sont pas forcément à rupture brusque (risque d'arcs ou de grésillements), et la fixation mécanique du câble torsadé est à soigner, autrement qu'avec un nud interne.
Vous connaissez les inconvénients. Faites au mieux.
Vous connaissez les inconvénients. Faites au mieux.
04 janvier 2012 à 08:52

Bonjour réponse 9. Il est proposé en question 6682 (Problème branchement cumulus HC et HP) un document explicatif concernant le fonctionnement et le dépannage d'une commande de chauffe-eau. Le technicien EDF ne vous a pas été d'un grand secours ; la commande est simplement inactive, "l'ampérage" (de quoi ?) n'est pas en cause.
04 janvier 2012 à 08:42

Bonjour Bernard. Quelques explications. Il ne s'agit pas de la commande de lignes pilotes, expression réservée pour la commande de convecteurs. Ici le schéma proposé permet de démultiplier le contact à fermeture C1 C2 (normalement utilisé pour commander un chauffe-eau en HC par commutation de son contacteur spécifique à 3 positions : arrêt, normal, forcé) en trois autres contacts à fermeture électriquement indépendants, et au fonctionnement simultané.
Il s'agit bien de petits relais auxiliaires comme tous les constructeurs en proposent (disponibles chez les grossistes ou peut-être en VPC et non en grandes surfaces), et non un contacteur de puissance bipolaire pour chauffe-eau. On peut supposer que sur le tableau secondaire vous avez une commande de chauffe eau ; ici, chaque paire violet noir remplace le contact initial C1 C2 ; peu importent les couleurs pour un simple contact à fermeture. Un document explicatif est proposé en question 6682 (Problème branchement cumulus HC et HP).
Il s'agit bien de petits relais auxiliaires comme tous les constructeurs en proposent (disponibles chez les grossistes ou peut-être en VPC et non en grandes surfaces), et non un contacteur de puissance bipolaire pour chauffe-eau. On peut supposer que sur le tableau secondaire vous avez une commande de chauffe eau ; ici, chaque paire violet noir remplace le contact initial C1 C2 ; peu importent les couleurs pour un simple contact à fermeture. Un document explicatif est proposé en question 6682 (Problème branchement cumulus HC et HP).
03 janvier 2012 à 20:13

Bonjour réponse 2. Il faudrait que vous expliquiez en détail ce que vous constatez comme semblant être un défaut.
Quel est ce circuit alimenté par le DB 90 ?
Quel est ce circuit alimenté par le DB 90 ?
03 janvier 2012 à 19:50

Bonjour réponse 6. Il n'y a rien de nouveau concernant le branchement du commutateur comme expliqué précédemment. L est le commun du commutateur, L1 et L2 les navettes de l'inverseur unipolaire. Il se peut que le rouge soit la phase directe qui provient du DJ de la ligne alimentation VMC, mais il faut vous en assurer en identifiant ce conducteur à partir du tableau. De même, il faut identifier les conducteurs noirs et marron en les retrouvant dans le bornier de la VMC. 13 mm est la longueur de dénudage des conducteurs afin de les enficher dans les borniers.
03 janvier 2012 à 09:52

Bonjour réponse 3. Votre propriétaire (n') est certainement (pas) de la profession pour affirmer cela.
Il n'y a pas lieu de refaire l'installation, mais de la mettre en sécurité.
Le premier point important pour ce qui vous concerne est d'éviter tout risque de contact direct avec des éléments sous tension pouvant entrainer lélectrocution, et la suppression de tout matériel vétuste ou inadapté à lusage (cf. un des six points de la mise en sécurité d'une installation électrique ancienne - guide Promotelec "Installations électriques des logements existants" - disponible en VPC sur le site Promotelec).
Un électricien professionnel pourrait remettre cette installation en sécurité sans avoir à tout refaire. Quelques fusibles ou disjoncteurs placés sur le tableau de répartition au départ des circuits, plus au minimum un interrupteur différentiel 30 mA pour protéger les personnes, la vérification des liaisons à la terre, constitueraient une intervention minimum.
Une journée ou deux de travail et quelques fournitures dont les prises à éclipses.
Le loueur se doit de proposer un logement décent au sens juridique du terme.
Vous pouvez trouver de l'aide auprès de l'ADIL de votre département.
Il n'y a pas lieu de refaire l'installation, mais de la mettre en sécurité.
Le premier point important pour ce qui vous concerne est d'éviter tout risque de contact direct avec des éléments sous tension pouvant entrainer lélectrocution, et la suppression de tout matériel vétuste ou inadapté à lusage (cf. un des six points de la mise en sécurité d'une installation électrique ancienne - guide Promotelec "Installations électriques des logements existants" - disponible en VPC sur le site Promotelec).
Un électricien professionnel pourrait remettre cette installation en sécurité sans avoir à tout refaire. Quelques fusibles ou disjoncteurs placés sur le tableau de répartition au départ des circuits, plus au minimum un interrupteur différentiel 30 mA pour protéger les personnes, la vérification des liaisons à la terre, constitueraient une intervention minimum.
Une journée ou deux de travail et quelques fournitures dont les prises à éclipses.
Le loueur se doit de proposer un logement décent au sens juridique du terme.
Vous pouvez trouver de l'aide auprès de l'ADIL de votre département.
01 janvier 2012 à 23:08

Re bonjour Jérôme. Il s'agit donc d'un nouveau montage que vous avez effectué. On comprend donc qu'une protection différentielle déclenche lors du passage en heures creuses. Cela pourrait se produire si vous avez plusieurs interrupteurs différentiels dans votre tableau, et que phase et neutre de la commande ne sont pas en aval d'un même ID. Mais c'est peut-être autre chose.
24 décembre 2011 à 10:14

Bonjour Jérôme. Il semble y avoir une erreur de câblage dans la commande, comme la puissance fonctionne. "... au déclenchement des heures creuses... " : on peut comprendre que c'est lors du passage en heures creuses.
23 décembre 2011 à 21:22

Bonjour Joël. On ne peut utiliser la photo jointe. On croit repérer l'alimentation secteur et le petit câble noir vers le condensateur. Il vous faut repérer les deux enroulements, puis câbler comme il est indiqué en question 10908 "Branchement moteur de compresseur 220 V - 3 fils".
23 décembre 2011 à 21:17

Bonjour réponse 11. Il faut savoir ce qu'alimente le circuit sur lequel vous comptez vous raccorder, circuit lumière ou PC, section des conducteurs, nombre de points lumineux ou d'embases PC, calibre de la protection surintensité (fusibles ou disjoncteur), présence d'un conducteur de terre.
Quand vous écrivez "prises en série", il faut comprendre prises en parallèle branchées en cascade.
A suivre quand vous aurez apporté quelques précisions, notamment sur ce que vous voulez alimenter avec ces PC commandées.
Quand vous écrivez "prises en série", il faut comprendre prises en parallèle branchées en cascade.
A suivre quand vous aurez apporté quelques précisions, notamment sur ce que vous voulez alimenter avec ces PC commandées.
13 décembre 2011 à 23:49

Bonjour réponse 9. Vous avez raison d'avoir peur, les réponses proposées font fi de la sécurité en branchant une fiche mâle de sortie du groupe sur une PC de l'habitat, avec des conditions manuelles à remplir, bref, un bon moyen pour s'électrocuter ou surcharger le groupe.
Les réponses 6, 7 et surtout 8 insistent donc sur l'aspect sécurité du branchement.
Dans votre cas, il faut que la prise de sortie du groupe soit obligatoirement femelle, sur laquelle vous pourrez raccorder votre machine et quelques petits circuits prioritaires.
Si votre machine consomme peu, peut-être qu'un onduleur de secours pourrait suppléer l'absence de réseau pendant quelques dizaines de minutes ; mais on peut comprendre que vous n'utilisez pas l'appareil respiratoire en permanence, ce qui laisse du temps pour mettre en service le groupe et effectuer le raccordement sur les charges prioritaires.
En cas de doute, faites intervenir un professionnel (comme le conseille réponse 8) qui saura réaliser des connexions en toute sécurité.
Les réponses 6, 7 et surtout 8 insistent donc sur l'aspect sécurité du branchement.
Dans votre cas, il faut que la prise de sortie du groupe soit obligatoirement femelle, sur laquelle vous pourrez raccorder votre machine et quelques petits circuits prioritaires.
Si votre machine consomme peu, peut-être qu'un onduleur de secours pourrait suppléer l'absence de réseau pendant quelques dizaines de minutes ; mais on peut comprendre que vous n'utilisez pas l'appareil respiratoire en permanence, ce qui laisse du temps pour mettre en service le groupe et effectuer le raccordement sur les charges prioritaires.
En cas de doute, faites intervenir un professionnel (comme le conseille réponse 8) qui saura réaliser des connexions en toute sécurité.
12 décembre 2011 à 10:07

Bonjour réponse 9. On ne peut répondre à votre question. Les caractéristiques des bornes de connexion Nylbloc Legrand spécifient effectivement une tenue en intensité de 24 A efficace maximum en régime permanent.
Voir cet extrait de catalogue Legrand : catalogue general legrand 2011.pdf
Un échauffement excessif avec une intensité inférieure à la valeur maximum pourrait s'expliquer par un fil de cuivre oxydé, donc avec une résistance de contact trop élevée. On ne peut incriminer la fiabilité, sachant que tous ces matériels répondent à des normes et règlementations très spécifiques (CEI EN 60998-2-2), et font l'objet de multiples essais avant commercialisation.
Voir cet extrait de catalogue Legrand : catalogue general legrand 2011.pdf
Un échauffement excessif avec une intensité inférieure à la valeur maximum pourrait s'expliquer par un fil de cuivre oxydé, donc avec une résistance de contact trop élevée. On ne peut incriminer la fiabilité, sachant que tous ces matériels répondent à des normes et règlementations très spécifiques (CEI EN 60998-2-2), et font l'objet de multiples essais avant commercialisation.
11 décembre 2011 à 23:04

Bonjour réponse 3. La réponse 1 est toujours d'actualité. Vos variateurs sont-ils de grande marque ou de premier prix ? De toute façon ils vont devenir inutilisables avec les lampes à économie d'énergie.
On ne peut les utiliser qu'avec des lampes à filament. L'installation étant récente vous pouvez peut-être faire intervenir la garantie ; mais si c'est pour remettre les mêmes appareillages, c'est inutile.
Par contre, pour anticiper la fin des lampes à incandescence, il serait peut-être nécessaire de remplacer les variateurs à réglage de phase par des interrupteurs simples.
Il est normal que les lampes grésillent à mi plein feu.
On ne peut les utiliser qu'avec des lampes à filament. L'installation étant récente vous pouvez peut-être faire intervenir la garantie ; mais si c'est pour remettre les mêmes appareillages, c'est inutile.
Par contre, pour anticiper la fin des lampes à incandescence, il serait peut-être nécessaire de remplacer les variateurs à réglage de phase par des interrupteurs simples.
Il est normal que les lampes grésillent à mi plein feu.
07 décembre 2011 à 17:45

Bonjour réponse 4. Chaque conducteur est défini par sa section et par le calibre de sa protection contre les surintensités. Ainsi, un conducteur de section 1,5 mm² généralement utilisé pour les circuits lumière doit être protégé par un fusible de calibre 10 A maximum ou par un disjoncteur de calibre 16 A maximum. Pour un circuit de prises de courant en 2,5 mm² les calibres maximum sont 16 A (fusible) ou 20 A (disjoncteur). On calibre toujours un circuit multiple en fonction de la plus petite des sections en service. Un circuit cuisson en 6 mm² doit être protégé par fusible ou disjoncteur de calibre 32 A. Pour le coût, on ne peut répondre, ne sachant ce qu'il y a à changer. Si vous êtes éloigné du métier il vaut mieux sous-traiter.
07 décembre 2011 à 09:18

Erreur. 1 nF fait environ 3 M. ohms à 50 Hz.
06 décembre 2011 à 13:51

Bonjour Jean-Paul,
Un condensateur moteur fait de 0,1 à 0,47 µF, soit une impédance de 31 k. ohms à 6 k. ohms, valeurs qui suffisent pour fixer la ddp aux bornes de la lampe sensible à la fem induite dans le fil de phase coupée. 1 nF fait environ 300 k. ohms et d'après votre expérience, cela suffit également.
Le choix des lampes est difficile, les revues de consommateurs ne semblent pas évoquer ce défaut (conception ? mauvais composants ?). Ce serait à elles de mettre les lampes en configuration et de faire les essais sur des batteries de lampes.
Peut-on se fier à la marque ou au prix ? C'est à voir. Les emballages sont muets sur une caractéristique de bon fonctionnement de la lampe phase coupée.
Il faut alors aller chercher les caractéristiques constructeurs sur le net, quelquefois beaucoup plus précises, mais il faut bien chercher.
En général on ne voit sur les forums que des internautes dont les lampes (fluocompactes ou à led) présentent ce problème. On peut en déduire que beaucoup d'autres sont satisfaits.
"... à part les acheter et les essayer... " : là est le problème. Cordialement,
Un condensateur moteur fait de 0,1 à 0,47 µF, soit une impédance de 31 k. ohms à 6 k. ohms, valeurs qui suffisent pour fixer la ddp aux bornes de la lampe sensible à la fem induite dans le fil de phase coupée. 1 nF fait environ 300 k. ohms et d'après votre expérience, cela suffit également.
Le choix des lampes est difficile, les revues de consommateurs ne semblent pas évoquer ce défaut (conception ? mauvais composants ?). Ce serait à elles de mettre les lampes en configuration et de faire les essais sur des batteries de lampes.
Peut-on se fier à la marque ou au prix ? C'est à voir. Les emballages sont muets sur une caractéristique de bon fonctionnement de la lampe phase coupée.
Il faut alors aller chercher les caractéristiques constructeurs sur le net, quelquefois beaucoup plus précises, mais il faut bien chercher.
En général on ne voit sur les forums que des internautes dont les lampes (fluocompactes ou à led) présentent ce problème. On peut en déduire que beaucoup d'autres sont satisfaits.
"... à part les acheter et les essayer... " : là est le problème. Cordialement,
06 décembre 2011 à 10:02

Bonjour JF. Vous ne dites pas si cet appareil a déjà fonctionné. Dans tous les cas, il faut vérifier le raccordement, vérifier l'alimentation, vérifier la pile, et éventuellement réinitialiser si cela est possible.
05 décembre 2011 à 11:04

Bonjour réponse 11. Vous avez fait une bonne synthèse des causes et remèdes (ou croyances) erronés et ce post est particulièrement édifiant.
La capacité est une solution technologiquement plausible, mais qui reste néanmoins du bricolage de secours. Ces capacités (antiparasitage moteur 250 V ou 400 V AC - pas des pastilles mais plutôt des petits parallélépipèdes gris ou jaunes - relativement faciles à approvisionner - on en trouve sur les aspirateurs et outillages à main) ont une durée de vie limitée, même si cela peut se compter en années. Mais quand elles se mettent en défaut, bien qu'elles soient auto-extinguibles, une fumée blanche et une odeur très forte sont émises, et cela est très impressionnant la première fois.
Il vaut mieux trouver dans le commerce des lampes où cet inconvénient a été traité lors de la conception.
Pour ce qui concerne "les dépanneurs du coin", ils sont en voie de disparition depuis bien longtemps, et on leur souhaite une bonne retraite. Cordialement,
La capacité est une solution technologiquement plausible, mais qui reste néanmoins du bricolage de secours. Ces capacités (antiparasitage moteur 250 V ou 400 V AC - pas des pastilles mais plutôt des petits parallélépipèdes gris ou jaunes - relativement faciles à approvisionner - on en trouve sur les aspirateurs et outillages à main) ont une durée de vie limitée, même si cela peut se compter en années. Mais quand elles se mettent en défaut, bien qu'elles soient auto-extinguibles, une fumée blanche et une odeur très forte sont émises, et cela est très impressionnant la première fois.
Il vaut mieux trouver dans le commerce des lampes où cet inconvénient a été traité lors de la conception.
Pour ce qui concerne "les dépanneurs du coin", ils sont en voie de disparition depuis bien longtemps, et on leur souhaite une bonne retraite. Cordialement,
05 décembre 2011 à 10:42

Bonjour réponse 7. Si EDF n'a pas demandé le certificat Consuel, c'est qu'elle n'a pas jugé utile de l'avoir, peut-être par méconnaissance des travaux effectués. D'autre part, ce sera certainement un sous-traitant qui interviendra ; il exécutera le travail en fonction de lordre de service qui lui aura été fourni, sans se poser plus de questions sur les travaux en cours.
Si cela vous est possible, faites un retour rapide sur le forum la semaine prochaine afin de connaître la suite de l'histoire. Les contributeurs vous remercient d'avance.
Si cela vous est possible, faites un retour rapide sur le forum la semaine prochaine afin de connaître la suite de l'histoire. Les contributeurs vous remercient d'avance.
01 décembre 2011 à 10:51

Bonjour Denis. Bien que ce ne soit pas le bon endroit pour rechercher une solution, on ne peut que compatir aux désagréments que vous semblez subir.
Sur les forums d'entraide bricolage on s'efforce de trouver des solutions à des problèmes concrets bien identifiés.
"Bien sûr, je ne suis pas physicien !" Dans ce cas il vaut mieux éviter d'émettre des hypothèses et des conclusions non scientifiquement fondées.
De même, certains demeurent suspicieux envers leurs voisins supposés, avoir des machines infernales en service chez eux. La rumeur et ses graves dérives ne sont pas loin.
Sur les forums d'entraide bricolage on s'efforce de trouver des solutions à des problèmes concrets bien identifiés.
"Bien sûr, je ne suis pas physicien !" Dans ce cas il vaut mieux éviter d'émettre des hypothèses et des conclusions non scientifiquement fondées.
De même, certains demeurent suspicieux envers leurs voisins supposés, avoir des machines infernales en service chez eux. La rumeur et ses graves dérives ne sont pas loin.
30 novembre 2011 à 10:38
