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Bonjour Totoy. Une réponse rapide.
L'alimentation de l'interrupteur horaire est sur les bornes 1 et 2 (équivalent aux deux bornes du haut du schéma de l'ami CMT) ; le contact à fermeture est sur les bornes 4 et 5 (équivalent aux deux bornes en bas).
Ce qui fait que 4 = 4.
Le composant comporte un contact inverseur (comme un va et vient) dont le commun est en 4. D'où les 5 bornes.
Disposez vous d'un abonnement HP/HC ? Si non, le montage est inutile ; si oui, pourquoi ne pas commander par le contact EDF ?
L'alimentation de l'interrupteur horaire est sur les bornes 1 et 2 (équivalent aux deux bornes du haut du schéma de l'ami CMT) ; le contact à fermeture est sur les bornes 4 et 5 (équivalent aux deux bornes en bas).
Ce qui fait que 4 = 4.
Le composant comporte un contact inverseur (comme un va et vient) dont le commun est en 4. D'où les 5 bornes.
Disposez vous d'un abonnement HP/HC ? Si non, le montage est inutile ; si oui, pourquoi ne pas commander par le contact EDF ?
31 décembre 2012 à 14:55

Bonjour.
"La PAC peut-elle être branchée sur le tableau divisionnaire, protégée par un interdiff 63A type AC ?"
Oui, Un ID 40 A suffirait.
"La protection de la ligne (20A ? 32A ? quelle courbe ?) doit-elle se placer en sortie du tableau principal ?"
DJ 32 ou 40 A de préférence (courbe C) en sortie de tableau de répartition ; la ligne de 16 mm² est de toute façon surdimensionnée.
"Ce tableau div peut-il abriter les protections de la buanderie + éclairages divers sous le même interdiff, ou faut-il ajouter un 40A ?"
Oui ; un ID supplémentaire est inutile sauf si vous ne voulez pas qu’un défaut d'isolement de la PAC affecte les autres circuits.
Voir un exemple de tableau secondaire proposé par CMT en question 2505.
Des lignes spécialisées câblées et protégées depuis le tableau de répartition auraient permis de centraliser toutes les protections.
"La PAC peut-elle être branchée sur le tableau divisionnaire, protégée par un interdiff 63A type AC ?"
Oui, Un ID 40 A suffirait.
"La protection de la ligne (20A ? 32A ? quelle courbe ?) doit-elle se placer en sortie du tableau principal ?"
DJ 32 ou 40 A de préférence (courbe C) en sortie de tableau de répartition ; la ligne de 16 mm² est de toute façon surdimensionnée.
"Ce tableau div peut-il abriter les protections de la buanderie + éclairages divers sous le même interdiff, ou faut-il ajouter un 40A ?"
Oui ; un ID supplémentaire est inutile sauf si vous ne voulez pas qu’un défaut d'isolement de la PAC affecte les autres circuits.
Voir un exemple de tableau secondaire proposé par CMT en question 2505.
Des lignes spécialisées câblées et protégées depuis le tableau de répartition auraient permis de centraliser toutes les protections.
31 décembre 2012 à 14:43

Bonjour Rémi.
Si la seule prise de terre de l'habitat est un piquet il faut vérifier la continuité à partir de la connexion de la cablette sur la tête de ce piquet. C'est sans doute à ce niveau qu'il faudrait chercher. Si un piquet ne suffit pas, on en met plusieurs.
"...Je m'oriente donc sur l'idée que ma terre est défectueuse. " C'est probable, mais il faut partir de l'origine du circuit : piquet éventuel, connexion, conducteur de terre, barrette de mesure, bornier tableau.
Si la seule prise de terre de l'habitat est un piquet il faut vérifier la continuité à partir de la connexion de la cablette sur la tête de ce piquet. C'est sans doute à ce niveau qu'il faudrait chercher. Si un piquet ne suffit pas, on en met plusieurs.
"...Je m'oriente donc sur l'idée que ma terre est défectueuse. " C'est probable, mais il faut partir de l'origine du circuit : piquet éventuel, connexion, conducteur de terre, barrette de mesure, bornier tableau.
31 décembre 2012 à 09:29

Bonjour. Vos machines fonctionnent sans neutre car la commande à contacteur fonctionne en 400 V, directement ou par l'intermédiaire d'un transformateur abaisseur de tension.
Pour le radiateur, son circuit de commande doit fonctionner en 230 V et en l'absence de neutre cette tension est indisponible.
Il y a deux possibilités : soit vous repassez un neutre, ce qui faciliterait bien des choses, soit vous faites ou faites effectuer la transformation adéquate au niveau du radiateur. Pas bien difficile pour un électricien.
On peut penser que les circuits lumière fonctionnent en 230 V, donc avec neutre. Ce dernier est peut-être disponible au tableau de répartition de l'atelier. Derrière l’écran on ne peut savoir.
On peut supposer que vous avez fait le tour des solutions de chauffage possibles. En attendant, il faudra vous couvrir ou installer un petit brasero qui pourrait être suffisant pendant les périodes de grand froid. 9 kW est relativement important ; et au prix de l'énergie électrique ce peut être une dépense conséquente et pas forcément le bon choix.
Nota : relier le neutre de l'appareil à la terre a permis de tester le différentiel.
Cordialement.
Pour le radiateur, son circuit de commande doit fonctionner en 230 V et en l'absence de neutre cette tension est indisponible.
Il y a deux possibilités : soit vous repassez un neutre, ce qui faciliterait bien des choses, soit vous faites ou faites effectuer la transformation adéquate au niveau du radiateur. Pas bien difficile pour un électricien.
On peut penser que les circuits lumière fonctionnent en 230 V, donc avec neutre. Ce dernier est peut-être disponible au tableau de répartition de l'atelier. Derrière l’écran on ne peut savoir.
On peut supposer que vous avez fait le tour des solutions de chauffage possibles. En attendant, il faudra vous couvrir ou installer un petit brasero qui pourrait être suffisant pendant les périodes de grand froid. 9 kW est relativement important ; et au prix de l'énergie électrique ce peut être une dépense conséquente et pas forcément le bon choix.
Nota : relier le neutre de l'appareil à la terre a permis de tester le différentiel.
Cordialement.
30 décembre 2012 à 09:15

Bonsoir Rémi. Avez-vous testé la continuité de la terre entre le bornier du tableau et le châssis de la machine ? Entre la barrette de terre où est connectée la cablette (câble torsadé nu de 25 mm²) et le châssis du LL ?
Si les tests sont bons, il n'y a aucune raison de ressentir quoi que ce soit.
Ultérieurement vous pourrez rajouter un ou plusieurs ID 30 mA en tête de tableau ; mais auparavant il faut approfondir cette énigme. Il y a forcément une cause à votre ressenti, et forcément une solution. Un électricien pourrait effectuer quelques mesures simples. En commençant par la vérification de ce que vous ressentez.
L'électronique interne de la machine peut générer des courants de fuite transitoires vers la terre et c'est normal. Mais en aucun cas ceux ci sont dangereux car inférieurs aux limites autorisées ; si le circuit de terre est bon, il n'y a aucune raison de sentir un quelconque effet désagréable. Il faut continuer vos essais. Et il n'y a pas de mystère.
On suppose qu'il n'y a pas d'effet électrostatique dû à de la moquette.
Si les tests sont bons, il n'y a aucune raison de ressentir quoi que ce soit.
Ultérieurement vous pourrez rajouter un ou plusieurs ID 30 mA en tête de tableau ; mais auparavant il faut approfondir cette énigme. Il y a forcément une cause à votre ressenti, et forcément une solution. Un électricien pourrait effectuer quelques mesures simples. En commençant par la vérification de ce que vous ressentez.
L'électronique interne de la machine peut générer des courants de fuite transitoires vers la terre et c'est normal. Mais en aucun cas ceux ci sont dangereux car inférieurs aux limites autorisées ; si le circuit de terre est bon, il n'y a aucune raison de sentir un quelconque effet désagréable. Il faut continuer vos essais. Et il n'y a pas de mystère.
On suppose qu'il n'y a pas d'effet électrostatique dû à de la moquette.
29 décembre 2012 à 23:52

Bonjour réponse 17. Je rejoins bien entendu les conclusions de CMT. Votre artisan n'est certainement pas le meilleur en électricité dont on peut supposer que ce n'est pas le métier.
Par contre, s'il est plombier, c'est à lui de garantir les raccordements hydrauliques, de préférence sans fuite.
Ses arguments sont inexistants, faux, et donc peuvent être considérés comme nuls et non avenus.
Au niveau juridique vous pouvez quand même prendre les devants et lui confirmer par écrit qu'il doit garantir ce chauffe-eau pendant la durée légale, et qu'il se doit d'assurer la maintenance.
"...demandez lui l'extrait du texte normatif." : s'il persiste dans ses idées préconçues, il faudra qu'il apporte les preuves ; et c'est sans crainte pour vous.
Pour le raccordement du câble HO7RNF ou équivalent, l'usage d'embouts est plus que conseillé. Vous pouvez vérifier qu'il en est ainsi.
Cordialement.
Par contre, s'il est plombier, c'est à lui de garantir les raccordements hydrauliques, de préférence sans fuite.
Ses arguments sont inexistants, faux, et donc peuvent être considérés comme nuls et non avenus.
Au niveau juridique vous pouvez quand même prendre les devants et lui confirmer par écrit qu'il doit garantir ce chauffe-eau pendant la durée légale, et qu'il se doit d'assurer la maintenance.
"...demandez lui l'extrait du texte normatif." : s'il persiste dans ses idées préconçues, il faudra qu'il apporte les preuves ; et c'est sans crainte pour vous.
Pour le raccordement du câble HO7RNF ou équivalent, l'usage d'embouts est plus que conseillé. Vous pouvez vérifier qu'il en est ainsi.
Cordialement.
29 décembre 2012 à 14:34

Bonjour. On pourrait penser qu'avec une lampe à incandescence en parallèle avec chaque lampe led chaque interrupteur électronique retrouve ses capacités de commutation.
Que dit la notice du produit sur sa compatibilité avec différents types de charge ?
Mais 4 commandes de ce type pour 3 luminaires c'est beaucoup. D'ici qu'il faille faire simple et utiliser de bon vieux interrupteurs il n'y a pas loin.
Avec la référence des produits Schneider Electric on pourra essayer de comprendre l'origine du problème.
Que dit la notice du produit sur sa compatibilité avec différents types de charge ?
Mais 4 commandes de ce type pour 3 luminaires c'est beaucoup. D'ici qu'il faille faire simple et utiliser de bon vieux interrupteurs il n'y a pas loin.
Avec la référence des produits Schneider Electric on pourra essayer de comprendre l'origine du problème.
28 décembre 2012 à 17:34

Bonjour. On suppose que vous connaissez la différence entre disjoncteur (DJ), interrupteur différentiel (ID), et disjoncteur différentiel (associe les protections surintensité et défaut d'isolement) ; pour le fusible vous savez qu'il fond lors d'une surintensité.
Si le disjoncteur différentiel de branchement et le fusible d'un circuit ont déclenché, on peut supposer que vous avez simultanément provoqué surintensité et défaut d'isolement.
"...je suis assez novice " . Vous n'avez pas utilisé de tournevis isolé et avez travaillé sous tension. Vous avez constaté que c'est fortement déconseillé.
Il faut que vous identifiez tous les départs de votre tableau de répartition ; en effet, vous dites que deux fusibles sont inutiles ; ce serait très étonnant, surtout si 'des conducteurs sont connectés à leur sortie.
Votre voltmètre, branché entre la barrette de neutre (tous les fils bleus) et la sortie de chaque fusible montrera si les circuits sont bien alimentés ; une lampe témoin permet la même identification (lampe à incandescence + douille + fils rigides de 50 cm dénudés sur 5 mm).
"...J'ai voulu mettre une prise sur un interrupteur ...". Tout d'abord, on distingue bien les circuits PC des circuits lumière. Si vous voulez rajouter une PC quelque part, on se repique sur une PC existante (phase + neutre + terre). Ensuite, un interrupteur coupe une phase et c'est tout, il ne permet pas d'alimenter une quelconque prise de courant. Mesurer la tension aux bornes du contact n'est pas significatif. La tension se mesure entre le neutre et une phase.
"...grosse prise machine à laver" à 5 fils..." Il faudrait détailler cette prise, sur les 5 fils (de quelle section ?) il y en a deux de trop.
Conclusion : vous identifiez chaque fusible et y mettez une étiquette, vous faites un dessin de votre habitat et marquez quel fusible protège chaque PC ou circuit lumière. Ensuite, vous révisez les circuits électriques de base avec leur schéma et leur protection.
Par précaution, sans connaissance on n'improvise aucun câblage. Pour votre problème, DJ de branchement déclenché vous câblez la PC correctement, puis testez le circuit en aval du fusible DJ en fonction.
Si vous êtes dans vos murs, vous pourriez remplacer à terme chaque fusible par un DJ, tout en rajoutant un ID 30 mA en tête de tableau ; ce sera le travail d'un électricien.
La photo de la PC est plutôt floue ; sur votre appareil il existe peut-être une fonction macro.
A suivre, avec le résultat de vos investigations.
Si le disjoncteur différentiel de branchement et le fusible d'un circuit ont déclenché, on peut supposer que vous avez simultanément provoqué surintensité et défaut d'isolement.
"...je suis assez novice " . Vous n'avez pas utilisé de tournevis isolé et avez travaillé sous tension. Vous avez constaté que c'est fortement déconseillé.
Il faut que vous identifiez tous les départs de votre tableau de répartition ; en effet, vous dites que deux fusibles sont inutiles ; ce serait très étonnant, surtout si 'des conducteurs sont connectés à leur sortie.
Votre voltmètre, branché entre la barrette de neutre (tous les fils bleus) et la sortie de chaque fusible montrera si les circuits sont bien alimentés ; une lampe témoin permet la même identification (lampe à incandescence + douille + fils rigides de 50 cm dénudés sur 5 mm).
"...J'ai voulu mettre une prise sur un interrupteur ...". Tout d'abord, on distingue bien les circuits PC des circuits lumière. Si vous voulez rajouter une PC quelque part, on se repique sur une PC existante (phase + neutre + terre). Ensuite, un interrupteur coupe une phase et c'est tout, il ne permet pas d'alimenter une quelconque prise de courant. Mesurer la tension aux bornes du contact n'est pas significatif. La tension se mesure entre le neutre et une phase.
"...grosse prise machine à laver" à 5 fils..." Il faudrait détailler cette prise, sur les 5 fils (de quelle section ?) il y en a deux de trop.
Conclusion : vous identifiez chaque fusible et y mettez une étiquette, vous faites un dessin de votre habitat et marquez quel fusible protège chaque PC ou circuit lumière. Ensuite, vous révisez les circuits électriques de base avec leur schéma et leur protection.
Par précaution, sans connaissance on n'improvise aucun câblage. Pour votre problème, DJ de branchement déclenché vous câblez la PC correctement, puis testez le circuit en aval du fusible DJ en fonction.
Si vous êtes dans vos murs, vous pourriez remplacer à terme chaque fusible par un DJ, tout en rajoutant un ID 30 mA en tête de tableau ; ce sera le travail d'un électricien.
La photo de la PC est plutôt floue ; sur votre appareil il existe peut-être une fonction macro.
A suivre, avec le résultat de vos investigations.
28 décembre 2012 à 16:10

Bonjour Aure et PL.
Cela pourrait faire penser à un problème de télécommande, émission ou réception. Si un seul volet avait été concerné, on aurait pu incriminer ce seul volet, voire un problème mécanique, frottement ou autre.
Il faudra certainement faire intervenir l'installateur. Vous pouvez essayer d'aider la montée ou la descente à la main.
Attendons d'autres avis. Mais en ce jour de Noël, il y aura peut-être de l'attente.
Citation :
...cela se produit sur la plupart de mes volets roulants
Cela pourrait faire penser à un problème de télécommande, émission ou réception. Si un seul volet avait été concerné, on aurait pu incriminer ce seul volet, voire un problème mécanique, frottement ou autre.
Il faudra certainement faire intervenir l'installateur. Vous pouvez essayer d'aider la montée ou la descente à la main.
Attendons d'autres avis. Mais en ce jour de Noël, il y aura peut-être de l'attente.
25 décembre 2012 à 13:13

Bonjour. Le symptôme est typique d'une chute de tension aléatoire certainement due à un connexion desserrée et un contact oxydé. Vous pourriez entendre un grésillement au fur et à mesure que vous mettez en service les lignes chauffage ; des odeurs de grillé peuvent apparaître.
Il vaudrait mieux vérifier les connexions en amont des lignes chauffage et lumière (on peut supposer qu'elles ont une origine commune en amont de leur DJ respectif), donc au niveau du tableau de répartition. S'il y a des peignes entres les différents DJ, il faut vérifier et donc resserrer à ce niveau. Les connexions aval n'y sont pour rien.
Une lampe témoin peut rendre service pour constater la chute de tension au niveau du tableau.
De même, la sortie du DJ de branchement ne peut être mise en cause pour le moment, car tous les circuits de l'habitat seraient concernés. Rien ne vous empêche de vérifier le serrage des bornes néanmoins.
On opère DJ de branchement coupé.
A suivre, après recherches.
Il vaudrait mieux vérifier les connexions en amont des lignes chauffage et lumière (on peut supposer qu'elles ont une origine commune en amont de leur DJ respectif), donc au niveau du tableau de répartition. S'il y a des peignes entres les différents DJ, il faut vérifier et donc resserrer à ce niveau. Les connexions aval n'y sont pour rien.
Une lampe témoin peut rendre service pour constater la chute de tension au niveau du tableau.
De même, la sortie du DJ de branchement ne peut être mise en cause pour le moment, car tous les circuits de l'habitat seraient concernés. Rien ne vous empêche de vérifier le serrage des bornes néanmoins.
On opère DJ de branchement coupé.
A suivre, après recherches.
25 décembre 2012 à 13:02

Bien reçu.
Dans ce cas où il n'y a pas de déclenchement par surcharge, on peut incriminer le disjoncteur. Il faut effectivement appeler ERDF.
Cordialement.
Citation :
Quand je veux réenclencher je dois attendre environ une heure avant que bouton reste enfoncé.
Dans ce cas où il n'y a pas de déclenchement par surcharge, on peut incriminer le disjoncteur. Il faut effectivement appeler ERDF.
Cordialement.
24 décembre 2012 à 12:43

Bien reçu Rémi. C'est toujours possible de rajouter un piquet de terre, mais ne serait-il pas préférable de vérifier même sommairement la continuité du circuit de terre ? Il se pourrait qu'il y ait une coupure quelque part.
On utilise une "sonnette" : lampe de poche avec un long fil et un plus court ; on opère DJ de branchement coupé ; on teste depuis la borne de terre du tableau toutes les broches de terre mâles des PC (et les canalisations métalliques). Interconnecter les terres est toujours possible si vous mettez un piquet. Mais c'est long.
Avez vous branché le LL sur une autre PC d'un circuit différent ?
Vous faites au mieux et au plus simple, non sans avoir fait quelques vérifications basiques en moins d'une demi-heure.
On utilise une "sonnette" : lampe de poche avec un long fil et un plus court ; on opère DJ de branchement coupé ; on teste depuis la borne de terre du tableau toutes les broches de terre mâles des PC (et les canalisations métalliques). Interconnecter les terres est toujours possible si vous mettez un piquet. Mais c'est long.
Avez vous branché le LL sur une autre PC d'un circuit différent ?
Vous faites au mieux et au plus simple, non sans avoir fait quelques vérifications basiques en moins d'une demi-heure.
23 décembre 2012 à 22:28

Bonsoir ; il peut y avoir une explication technologique.
Mais la question est de savoir pourquoi ce disjoncteur de branchement déclenche.
On peut supposer que vous êtes en limite de consommation, autrement dit l'intensité maximum autorisée par votre abonnement de fourniture d'énergie est atteinte, voire dépassée légèrement de façon régulière et continue.
Il faudrait donc détailler la consommation au moment où il y a déclenchement : chauffage électrique + gros consommateurs (lave linge etc.) + chauffe-eau.
On peut supposer également que vous n'avez pas de délesteur (système de coupure automatique de récepteurs non prioritaires quand l'intensité maximum est atteinte), ce qui évite les déclenchements par surcharge faible.
Si c'est cela, le déclencheur thermique à bilames du disjoncteur déclenche ; et il faut alors que celles-ci refroidissent avant que l'enclenchement soit de nouveau possible.
Mais une heure cela semble très long. Quelques minutes serait normal.
Que voulez vous dire : "...Dès l'instant où il disjoncte volontairement ou involontairement..." ?
A ce stade, on n'incrimine pas encore le disjoncteur.
A suivre.
Mais la question est de savoir pourquoi ce disjoncteur de branchement déclenche.
On peut supposer que vous êtes en limite de consommation, autrement dit l'intensité maximum autorisée par votre abonnement de fourniture d'énergie est atteinte, voire dépassée légèrement de façon régulière et continue.
Il faudrait donc détailler la consommation au moment où il y a déclenchement : chauffage électrique + gros consommateurs (lave linge etc.) + chauffe-eau.
On peut supposer également que vous n'avez pas de délesteur (système de coupure automatique de récepteurs non prioritaires quand l'intensité maximum est atteinte), ce qui évite les déclenchements par surcharge faible.
Si c'est cela, le déclencheur thermique à bilames du disjoncteur déclenche ; et il faut alors que celles-ci refroidissent avant que l'enclenchement soit de nouveau possible.
Mais une heure cela semble très long. Quelques minutes serait normal.
Que voulez vous dire : "...Dès l'instant où il disjoncte volontairement ou involontairement..." ?
A ce stade, on n'incrimine pas encore le disjoncteur.
A suivre.
23 décembre 2012 à 21:33

Bonsoir CMT.
Vu le dessin, il se pourrait que l'arrivée secteur soit le cordon en bas, avec le pontet de serrage. Les traits de couleur verticaux semblent avoir été rajoutés par Billy. Dans ce cas, l'existence du rouge n'est pas certaine. Sauf s'il s'agit des fils vers l'électronique interne.
On est dans le flou.
Vu le dessin, il se pourrait que l'arrivée secteur soit le cordon en bas, avec le pontet de serrage. Les traits de couleur verticaux semblent avoir été rajoutés par Billy. Dans ce cas, l'existence du rouge n'est pas certaine. Sauf s'il s'agit des fils vers l'électronique interne.
On est dans le flou.
23 décembre 2012 à 18:08

Bonjour Blaila. Vous allez finir par y arriver. Les petits embouts en laiton sertis sur les extrémités dénudées des conducteurs ne sont pas à enlever. Ils sont là pour que la liaison électrique soit bonne quand on entre les extrémités dans un domino ou une borne femelle de fiche et que l'on serre. En effet, quand on utilise du conducteur souple dénudé, les brins peuvent se couper lors du serrage de la vis et ce n'est pas bon (même si on les a torsadés). D'où l'utilité des embouts de câble.
Mais il faut faire vite, car il faut que ce four fasse ces preuves d'ici quelques heures. Pensez à le faire chauffer à vide avant la première utilisation pour évacuer les odeurs de neuf.
Vous avez eu raison de poser la question. Et vous n'embêtez personne.
Cordialement.
Mais il faut faire vite, car il faut que ce four fasse ces preuves d'ici quelques heures. Pensez à le faire chauffer à vide avant la première utilisation pour évacuer les odeurs de neuf.
Vous avez eu raison de poser la question. Et vous n'embêtez personne.
Cordialement.
23 décembre 2012 à 16:24

Bonjour Rémi. Vous pouvez d'ores et déjà contrôler le raccordement du LL à la terre. Pour cela, vous pouvez démonter la prise et regarder l'état de la connexion. En cas de doute sur la continuité, vous pouvez également faire un raccordement provisoire en fils volants de cette terre vers le bornier de terre du tableau.
"...mon disjoncteur EDF ne déclenche pas non plus..." Sa sensibilité est globalement trop faible pour protéger les personnes. D'où l'utilité des protections différentielles 30 mA.
Conclusion : effectuer des vérifications de la liaison à la terre de la prise LL à la terre. Vous pouvez également, à l'aide d'un prolongateur, brancher ce LL sur une autre prise munie d'une terre. Sans qu'il y ait danger formel, il faut mettre au clair ce problème au plus tôt.
"...mon disjoncteur EDF ne déclenche pas non plus..." Sa sensibilité est globalement trop faible pour protéger les personnes. D'où l'utilité des protections différentielles 30 mA.
Conclusion : effectuer des vérifications de la liaison à la terre de la prise LL à la terre. Vous pouvez également, à l'aide d'un prolongateur, brancher ce LL sur une autre prise munie d'une terre. Sans qu'il y ait danger formel, il faut mettre au clair ce problème au plus tôt.
23 décembre 2012 à 13:13

Bonjour Billy. En l'absence de tout autre renseignement, on ne peut compter sur la chance ou les probabilités pour vous conseiller un branchement. En effet, le fil rouge doit bien aller quelque part. Comme la notice est insignifiante, il faudrait démonter l'appareil pour en savoir plus.
Mais sans démonter, la mesure de la tension entre le neutre bleu et le fil rouge lèverait un doute.
A la limite, on met une lampe témoin entre le bleu et le rouge et l'on en saurait beaucoup plus.
Vous faites le test de la lampe et on verra ensuite.
Mais sans démonter, la mesure de la tension entre le neutre bleu et le fil rouge lèverait un doute.
A la limite, on met une lampe témoin entre le bleu et le rouge et l'on en saurait beaucoup plus.
Vous faites le test de la lampe et on verra ensuite.
23 décembre 2012 à 09:20

Bien reçu. N'ayez aucune crainte. Et la nuit vous ne faites pas de cuisine. Le four sera alimenté et c'est tout. Comme un robinet fermé.
22 décembre 2012 à 12:39

Bonjour Blaila. Vous avez eu raison de ne pas ouvrir une autre discussion.
Vous avez deux possibilités.
1. Vous acquérez un prolongateur de quelques mètres de cette section, vous branchez et l'on n'en parle plus.
2. Vous démontez le câble actuel et vous le remplacez par un que vous allez faire à la bonne longueur. Cela nécessite d'ouvrir l'arrière du four, de savoir dénuder et brancher le câble, de monter une fiche mâle 2P + T.
Conclusion : le plus simple est d'adopter la solution 1, de ne pas utiliser de bloc avec parafoudre incorporé, et de ne pas débrancher tous les soirs. Donc, un prolongateur (pas le modèle à 1 € en grande surface), un modèle Legrand sous blister. Pour la sureté (la section) et également la qualité des contacts.
Vous avez deux possibilités.
1. Vous acquérez un prolongateur de quelques mètres de cette section, vous branchez et l'on n'en parle plus.
2. Vous démontez le câble actuel et vous le remplacez par un que vous allez faire à la bonne longueur. Cela nécessite d'ouvrir l'arrière du four, de savoir dénuder et brancher le câble, de monter une fiche mâle 2P + T.
Conclusion : le plus simple est d'adopter la solution 1, de ne pas utiliser de bloc avec parafoudre incorporé, et de ne pas débrancher tous les soirs. Donc, un prolongateur (pas le modèle à 1 € en grande surface), un modèle Legrand sous blister. Pour la sureté (la section) et également la qualité des contacts.
22 décembre 2012 à 08:58

Bonsoir Xavier. Il vaudrait mieux mettre un conducteur qui tienne à la température. On en trouve en récupération dans les fours ou cuisinières électriques en déchetterie. En attendant, vous pouvez nettoyer le radiateur (à l'air comprimé, voire au jet d'eau s'il fait soleil et si l'on protège le thermostat). De même vous vérifiez le serrage des cosses.
Pour la nuit, votre conducteur de rechange conviendra. Mais à terme il faudra trouver autre chose.
On peut penser que ce radiateur de collection est normalement branché à la terre. Donc à voir.
Pour la nuit, votre conducteur de rechange conviendra. Mais à terme il faudra trouver autre chose.
On peut penser que ce radiateur de collection est normalement branché à la terre. Donc à voir.
21 décembre 2012 à 23:37

Bonjour. C'est simple. Il faut que vous déterminiez s'il y a surintensité ou défaut d'isolement.
Mais sachant que le tableau est récent, un défaut d'isolement devrait déclencher un ID. S'il y a surintensité sur un circuit, un DJ modulaire devrait déclencher. Mais aucun DJ modulaire déclenche alors que le DJ de branchement déclenche; on peut supposer qu'il y a une surintensité due à plusieurs récepteurs simultanés.
Une pince ampèremétrique devrait permettre de lever quelques doutes, à condition de remettre le DJ d'origine.
Remarques.
Tout d'abord, vous n'êtes pas autorisé à faire ce changement vous même ; l'entrée du DJ est sous-tension et nécessiterait le débranchement des fusibles en amont. Il n'y avait pas lieu d'effectuer ce changement ; ce n'est pas la bonne méthode de recherche de panne.
Ces matériels sont plombés et seul un agent ERDF est habilité à déplomber.
Un Dj n'est pas caractérisé par sa puissance, mais par son calibre intensité.
Le calibre du DJ de branchement est fonction du contrat souscrit. Augmenter le calibre est une fraude.
A suivre.
Mais sachant que le tableau est récent, un défaut d'isolement devrait déclencher un ID. S'il y a surintensité sur un circuit, un DJ modulaire devrait déclencher. Mais aucun DJ modulaire déclenche alors que le DJ de branchement déclenche; on peut supposer qu'il y a une surintensité due à plusieurs récepteurs simultanés.
Une pince ampèremétrique devrait permettre de lever quelques doutes, à condition de remettre le DJ d'origine.
Citation :
je l'ai changé par un neuf plus puissant
Remarques.
Tout d'abord, vous n'êtes pas autorisé à faire ce changement vous même ; l'entrée du DJ est sous-tension et nécessiterait le débranchement des fusibles en amont. Il n'y avait pas lieu d'effectuer ce changement ; ce n'est pas la bonne méthode de recherche de panne.
Ces matériels sont plombés et seul un agent ERDF est habilité à déplomber.
Un Dj n'est pas caractérisé par sa puissance, mais par son calibre intensité.
Le calibre du DJ de branchement est fonction du contrat souscrit. Augmenter le calibre est une fraude.
A suivre.
20 décembre 2012 à 21:41

Bien reçu mf06. C'est un peu ça mais le raisonnement est tordu.
Pour faire la démonstration on étudie les intervalles de conduction de chaque diode pendant une période de la tension secteur. On trace ensuite la tension instantanée en sortie de redresseur, en assimilant une diode conductrice à un fil. On décrit ainsi qui conduit et quand pendant une période, on compte le nombre de calottes et le tour est joué, 6 ou 12 dans nos deux exemples.
D'autres montages sont davantage compliqués quand les enroulement secondaires sont en série (en triangle en triphasé). Par extension on en arrive à comprendre comment fonctionne un induit de génératrice à courant continu. D'ailleurs, une génératrice à courant continu n'est autre qu'un alternateur dont le collecteur est un vulgaire redresseur. Tout se tient.
Il n'y a plus qu'à approfondir.
Pour faire la démonstration on étudie les intervalles de conduction de chaque diode pendant une période de la tension secteur. On trace ensuite la tension instantanée en sortie de redresseur, en assimilant une diode conductrice à un fil. On décrit ainsi qui conduit et quand pendant une période, on compte le nombre de calottes et le tour est joué, 6 ou 12 dans nos deux exemples.
D'autres montages sont davantage compliqués quand les enroulement secondaires sont en série (en triangle en triphasé). Par extension on en arrive à comprendre comment fonctionne un induit de génératrice à courant continu. D'ailleurs, une génératrice à courant continu n'est autre qu'un alternateur dont le collecteur est un vulgaire redresseur. Tout se tient.
Il n'y a plus qu'à approfondir.
20 décembre 2012 à 20:31

Bonjour Tony.
Oui, mais lesquels sachant qu'il y en a trois ? Un commutateur à 3 fils est normalement un va et vient. Revoyez vos branchements. Vu la présence de conducteurs jaunes, cette installation doit être bien ancienne.
Citation :
Je teste alors l'interrupteur en connectant les fils entre eux
Oui, mais lesquels sachant qu'il y en a trois ? Un commutateur à 3 fils est normalement un va et vient. Revoyez vos branchements. Vu la présence de conducteurs jaunes, cette installation doit être bien ancienne.
20 décembre 2012 à 13:39

Bien reçu mf06 et Pl. Ici, on n'est pas dans les mêmes échelles.
Le filtrage par condensateur ne concerne que de petites alimentations de type pont de Graetz alimentées en monophasé (redresseur double alternance PD2). A partir du PD3 précédemment décrit le filtrage de la tension de sortie est moins fréquent, mais présent néanmoins dans les convertisseurs pour machines tournantes de puissance relativement faible (quelque kW). Pour les puissances énormes précédemment citées on ne peut bien évidemment plus filtrer la tension de sortie. Et les puissances peuvent alors devenir gigantesques.
Hexaphasé se dit d'un redresseur alimenté par un système de 6 tensions simples déphasées successivement de 60° l'une par rapport à l'autre. Il suffit d'un transformateur triphasé dont chaque secondaire est à point milieu. Chaque transformateur colonne fournit donc au secondaire deux tensions en opposition de phase. Et comme 3×2 = 6, on a bien 6 tensions simples à redresser (montage P6).
Dodécaphasé se dit d'un montage spécifique où le redresseur (12 diodes) doit redresser 12 tensions simples. Le pôle moins est le point commun de tous les enroulements secondaires étoile. Le plus est le point commun des toutes les cathodes des diodes.
Ne pas confondre avec le montage batterie tampon dont le rôle est de fournir une tension continue fixe. Ce n'est pas la même chose. On est limité également à des petites puissances.
Pour assimiler toutes ces notions, il faut avaler les principes, faire des diagrammes, manipuler les calculs, et être bon expérimentateur.
Nota : Pour les 600 ou 300 précédemment cités on préfère le terme indice de pulsation. Plus il est élevé, moins la tension de sortie ondule.
C'était une initiation à l'électronique de puissance, chapitre redressement polyphasé.
Le filtrage par condensateur ne concerne que de petites alimentations de type pont de Graetz alimentées en monophasé (redresseur double alternance PD2). A partir du PD3 précédemment décrit le filtrage de la tension de sortie est moins fréquent, mais présent néanmoins dans les convertisseurs pour machines tournantes de puissance relativement faible (quelque kW). Pour les puissances énormes précédemment citées on ne peut bien évidemment plus filtrer la tension de sortie. Et les puissances peuvent alors devenir gigantesques.
Hexaphasé se dit d'un redresseur alimenté par un système de 6 tensions simples déphasées successivement de 60° l'une par rapport à l'autre. Il suffit d'un transformateur triphasé dont chaque secondaire est à point milieu. Chaque transformateur colonne fournit donc au secondaire deux tensions en opposition de phase. Et comme 3×2 = 6, on a bien 6 tensions simples à redresser (montage P6).
Dodécaphasé se dit d'un montage spécifique où le redresseur (12 diodes) doit redresser 12 tensions simples. Le pôle moins est le point commun de tous les enroulements secondaires étoile. Le plus est le point commun des toutes les cathodes des diodes.
Ne pas confondre avec le montage batterie tampon dont le rôle est de fournir une tension continue fixe. Ce n'est pas la même chose. On est limité également à des petites puissances.
Pour assimiler toutes ces notions, il faut avaler les principes, faire des diagrammes, manipuler les calculs, et être bon expérimentateur.
Nota : Pour les 600 ou 300 précédemment cités on préfère le terme indice de pulsation. Plus il est élevé, moins la tension de sortie ondule.
C'était une initiation à l'électronique de puissance, chapitre redressement polyphasé.
19 décembre 2012 à 23:17

Bonsoir réponse 2. Bob a indiqué une voie à suivre en 1.
On peut comprendre que d'autres convecteurs fonctionnent et que seuls ces deux là ne chauffent plus. Il faut repérer leur ligne au tableau de répartition. A défaut de voltmètre, on peut s'aider d'une lampe témoin (douille plastique + lampe à incandescence + deux fils rigides de 50 cm dénudés sur 3 mm + gants en catoutchouc) afin de tester le départ de chaque ligne. Mais si c'est votre première fois, il faut obligatoirement vous faire aider.
Nota : en électricité il n'y a ni mystère, et encore moins de miracles. Il faudra se retrousser les manches et tester la continuité de l'alimentation. Un radiateur en panne, pourquoi pas, mais deux en même temps, la probabilité est très faible. On espère que vous avez de bons outils isolés.
A suivre.
On peut comprendre que d'autres convecteurs fonctionnent et que seuls ces deux là ne chauffent plus. Il faut repérer leur ligne au tableau de répartition. A défaut de voltmètre, on peut s'aider d'une lampe témoin (douille plastique + lampe à incandescence + deux fils rigides de 50 cm dénudés sur 3 mm + gants en catoutchouc) afin de tester le départ de chaque ligne. Mais si c'est votre première fois, il faut obligatoirement vous faire aider.
Nota : en électricité il n'y a ni mystère, et encore moins de miracles. Il faudra se retrousser les manches et tester la continuité de l'alimentation. Un radiateur en panne, pourquoi pas, mais deux en même temps, la probabilité est très faible. On espère que vous avez de bons outils isolés.
A suivre.
19 décembre 2012 à 21:14

Bonjour. Ce n'est pas au départ un système pour se passer de condensateur.
Il s'agit de redresseurs à diodes ou thyristors permettant de produire des courants continus de très forte intensité et réglables, en électrométallurgie notamment. On utilise effectivement un ou des transformateurs dont les tensions secondaires homologues sont déphasées de 30° (d'où les couplages). La tension de sortie instantanée du redresseur est constituée de 12 calottes de sinusoïde pour une période de la tension secteur (on dit indice de pulsation = 12). C'est donc une tension unidirectionnelle qui ondule très peu, donc pratiquement continue.
Les puissances contrôlées sont de la gamme 10 kW à 100 MW pour les plus fortes ; on appelle cela des redresseurs dodécaphasés.
Rappelons qu'un redresseur type pont de Graetz utilisé en triphasé (6 diodes - on dit redresseur PD3), fournit une tension redressée constituée de 6 calottes de sinusoïde pendant une période de la tension secteur (indice de pulsation = 6).
Tout cela pour signifier que ces montages ont fait leurs preuves et qu'ils sont toujours d'actualité.
Leur étude nécessite d'être tombé dans la marmite petit. On est loin de l'entraide bricolage.
Cordialement.
Il s'agit de redresseurs à diodes ou thyristors permettant de produire des courants continus de très forte intensité et réglables, en électrométallurgie notamment. On utilise effectivement un ou des transformateurs dont les tensions secondaires homologues sont déphasées de 30° (d'où les couplages). La tension de sortie instantanée du redresseur est constituée de 12 calottes de sinusoïde pour une période de la tension secteur (on dit indice de pulsation = 12). C'est donc une tension unidirectionnelle qui ondule très peu, donc pratiquement continue.
Les puissances contrôlées sont de la gamme 10 kW à 100 MW pour les plus fortes ; on appelle cela des redresseurs dodécaphasés.
Rappelons qu'un redresseur type pont de Graetz utilisé en triphasé (6 diodes - on dit redresseur PD3), fournit une tension redressée constituée de 6 calottes de sinusoïde pendant une période de la tension secteur (indice de pulsation = 6).
Tout cela pour signifier que ces montages ont fait leurs preuves et qu'ils sont toujours d'actualité.
Leur étude nécessite d'être tombé dans la marmite petit. On est loin de l'entraide bricolage.
Cordialement.
19 décembre 2012 à 19:54

Bonjour. Ce n'est pas tant le risque d'amorçage que la protection des travailleurs qu'il faut prendre en compte.
Un exemple parmi d'autres : la caténaire est à 25 kV par rapport au toit des rames, la distance est de plusieurs décimètres et il n'y a pas amorçage. Par contre il y aurait danger extrême pour quiconque s'approcherait de trop d'une telle ligne sous tension et les accidents ne sont pas rares.
Une recherche rapide montre que la distance de sécurité minimale est de 3 m pour les lignes de potentiel <= 50 kV. Dans votre cas il faudrait prendre un coefficient de sécurité. Personnellement, je doublerais la distance, pour que l'opérateur dans une nacelle ne soit pas mis en danger. De toute façon, ce dernier doit être muni des équipements de protection individuelle règlementaires (EPI).
Nota : dans l’air sec et à la pression atmosphérique, la valeur de la tension d’amorçage à une distance de 1 cm est d’environ 30 kV.
Voir ce document qui est une bonne synthèse :
proximite lignes electriques.pdf
Un exemple parmi d'autres : la caténaire est à 25 kV par rapport au toit des rames, la distance est de plusieurs décimètres et il n'y a pas amorçage. Par contre il y aurait danger extrême pour quiconque s'approcherait de trop d'une telle ligne sous tension et les accidents ne sont pas rares.
Une recherche rapide montre que la distance de sécurité minimale est de 3 m pour les lignes de potentiel <= 50 kV. Dans votre cas il faudrait prendre un coefficient de sécurité. Personnellement, je doublerais la distance, pour que l'opérateur dans une nacelle ne soit pas mis en danger. De toute façon, ce dernier doit être muni des équipements de protection individuelle règlementaires (EPI).
Nota : dans l’air sec et à la pression atmosphérique, la valeur de la tension d’amorçage à une distance de 1 cm est d’environ 30 kV.
Voir ce document qui est une bonne synthèse :
proximite lignes electriques.pdf
19 décembre 2012 à 13:40

Bonsoir. Juste un témoignage concernant une installation équivalente à celle de Bic.
Un proche a demandé la rénovation du point d'arrivée ERDF au titre de la vétusté du câble aérien depuis le poteau sur le trottoir opposé, et de l'ensemble coffret + compteur + DJ (dans le garage - époque 1960). L'ensemble a été fait sans contribution financière de l'usager, le téléreport n'a pas été imposé et n'est donc pas installé. Le câble descendait déjà en façade depuis sur un potelet rouillé qui l'est resté. L'entreprise mandatée n'a pas mis deux heures à trois dont un apprenti. Le comptage se fait une fois par an de façon visuelle.
Le branchement en aéro-souterrain aurait été payant à x euros du mètre de tranchée sur la route et trottoir. C'était il y a presque 4 ans.
Il se peut que dans ce type de rénovation le téléreport ne fut pas obligatoire.
Un proche a demandé la rénovation du point d'arrivée ERDF au titre de la vétusté du câble aérien depuis le poteau sur le trottoir opposé, et de l'ensemble coffret + compteur + DJ (dans le garage - époque 1960). L'ensemble a été fait sans contribution financière de l'usager, le téléreport n'a pas été imposé et n'est donc pas installé. Le câble descendait déjà en façade depuis sur un potelet rouillé qui l'est resté. L'entreprise mandatée n'a pas mis deux heures à trois dont un apprenti. Le comptage se fait une fois par an de façon visuelle.
Le branchement en aéro-souterrain aurait été payant à x euros du mètre de tranchée sur la route et trottoir. C'était il y a presque 4 ans.
Il se peut que dans ce type de rénovation le téléreport ne fut pas obligatoire.
18 décembre 2012 à 22:58

Bonjour réponse 2. Il faudrait détailler exactement la panne que vous constatez. De même, il faudrait détailler également le branchement et les protections éventuelles (ID, DJ). Quel organe déclenche et dans quelles conditions, s'il y a déclenchement ?
18 décembre 2012 à 20:55

Bonjour Fredoo. Quelques éléments de réponse.
1. On peut supposer qu'en tête se trouve une alimentation avec redresseur, comme les alimentations à découpage. Mais pour en être certain il faudrait démonter, et malheureusement, le temps manque.
2. L'interrupteur n'est certainement pas mort, mais les réglettes fluorescentes, récepteurs essentiellement inductifs, génèrent des arcs à l'ouverture des interrupteurs. Quand la fermeture n'est pas brusque, il en est de même. Donc les pastilles sont en mauvais état, mais il en est ainsi de tous les interrupteurs domestiques.
3. On peut laisser la section ainsi car les intensités en jeu sont faibles. Pour la résistance mécanique des conducteurs et la sécurité électrique du montage on préfèrerait du 1,5 mm². On rappelle que toutes les connexions doivent être accessibles. Pas de dominos au dessus d'un faux plafond.
Nota : l'économie engendrée par l'éclairage est dérisoire par rapport à la consommation des récepteurs énergivores dans l'habitat : cuisson, gros électroménager etc.
1. On peut supposer qu'en tête se trouve une alimentation avec redresseur, comme les alimentations à découpage. Mais pour en être certain il faudrait démonter, et malheureusement, le temps manque.
2. L'interrupteur n'est certainement pas mort, mais les réglettes fluorescentes, récepteurs essentiellement inductifs, génèrent des arcs à l'ouverture des interrupteurs. Quand la fermeture n'est pas brusque, il en est de même. Donc les pastilles sont en mauvais état, mais il en est ainsi de tous les interrupteurs domestiques.
3. On peut laisser la section ainsi car les intensités en jeu sont faibles. Pour la résistance mécanique des conducteurs et la sécurité électrique du montage on préfèrerait du 1,5 mm². On rappelle que toutes les connexions doivent être accessibles. Pas de dominos au dessus d'un faux plafond.
Nota : l'économie engendrée par l'éclairage est dérisoire par rapport à la consommation des récepteurs énergivores dans l'habitat : cuisson, gros électroménager etc.
18 décembre 2012 à 09:03

Bonjour . Pour enfoncer le clou, on peut supposer que vous faites une installation définitive ; dans ce cas, systématiquement on utilise du 1,5 mm² pour les circuits lumière avec suffisamment de couleurs pour repérer phase, phase coupée, neutre, navettes etc. Systématiquement les lignes PC seront en 2,5 mm². Les cas ou l'on utilise le 1,5 mm² pour des usages autres que la lumière sont rappelés par CMT.
"...ce n'est pas difficile de me procurer du fil ..." : eh oui, il suffit d'approvisionner le plus simplement du monde, avec quelques euros.
"...ce n'est pas difficile de me procurer du fil ..." : eh oui, il suffit d'approvisionner le plus simplement du monde, avec quelques euros.
18 décembre 2012 à 08:49

Bonsoir.
Dans quel cadre avez-vous besoin d'avoir ces renseignements ? Ceci afin d'avoir quelques pistes de recherche.
Dans quel cadre avez-vous besoin d'avoir ces renseignements ? Ceci afin d'avoir quelques pistes de recherche.
17 décembre 2012 à 22:07

Bonsoir Marc. Vous vous êtes trompé sur la référence Legrand : 4124 01.
Tel que vos BP sont montés, l'adaptation n'est pas possible.
Dans l'ancien montage, la phase est reliée à la bobine A1 et au contact 1. La phase coupée en 2 part vers les lampes par l'intermédiaire des 5 fils. L'autre borne de la bobine A2 est reliée aux 3 BP. Sur chaque BP, on doit donc trouver un noir et le neutre que l'on espère bleu, le même qui est relié directement à chaque lampe.
Or vous ne pouvez câbler le nouveau montage que conformément à ce document Legrand remplacement telerupteur schema.pdf c'est à dire en commutant la phase avec chaque BP et non le neutre.
Conclusion : il faut revoir le câblage des BP et amener la phase sur chaque.
Pas simple si vous n'avez pas un accès facile aux tubes.
Attendons d'autres avis qui vous proposeraient des solutions autres que filaires.
Tel que vos BP sont montés, l'adaptation n'est pas possible.
Dans l'ancien montage, la phase est reliée à la bobine A1 et au contact 1. La phase coupée en 2 part vers les lampes par l'intermédiaire des 5 fils. L'autre borne de la bobine A2 est reliée aux 3 BP. Sur chaque BP, on doit donc trouver un noir et le neutre que l'on espère bleu, le même qui est relié directement à chaque lampe.
Or vous ne pouvez câbler le nouveau montage que conformément à ce document Legrand remplacement telerupteur schema.pdf c'est à dire en commutant la phase avec chaque BP et non le neutre.
Citation :En aucun cas on ne fait de branchements au hasard. Vous manipulez des tensions dangereuses pouvant amener à des dégâts importants sur les matériels, tout en mettant votre vie et celle des vôtres en danger.
alors j'ai inversé et là tout a sauté
Conclusion : il faut revoir le câblage des BP et amener la phase sur chaque.
Pas simple si vous n'avez pas un accès facile aux tubes.
Attendons d'autres avis qui vous proposeraient des solutions autres que filaires.
17 décembre 2012 à 21:49

Bonjour Stéphan.
C'est ainsi qu'il faut faire (et surtout pas une fiche mâle que l'on brancherait sur un socle PC, le meilleur moyen pour s'électrocuter).
Vous opérez groupe à l'arrêt, puis le raccordement effectué vous mettez le groupe en service avec la fiche mâle connectée, puis enclenchez l'ID sur le tableau. Il faut mettre le groupe à la terre avec un piquet.
La vérification sera rapide. Le système cabane + câble (si possible souple HO7RNF 3g2,5) + fiche mâle correspond au branchement de n'importe quelle récepteur sur une source.
Il faudra alimenter chaque cabane ou chaque groupe de cabanes avec un câble dédié raccordé au tableau général. De même, chaque terre doit être mesurée. Il faudra vous entendre avec un électricien local qui pourra vous apporter l'expertise nécessaire, d'autant plus qu'il s'agit d'un lieu accueillant du public (ERP) et qu'un contrôle du consuel sera nécessaire avant branchement du réseau ERDF.
Votre projet est original. On vous souhaite la meilleure réussite pour remettre ce lieu en activité le 27 avril 2013.
Citation :
Pour la connexion, je pensais monter un câble en 2,5carré avec d'un côté une prise mâle branchée sur le groupe et de l'autre côté des dominos raccordés à la boîte.
C'est ainsi qu'il faut faire (et surtout pas une fiche mâle que l'on brancherait sur un socle PC, le meilleur moyen pour s'électrocuter).
Vous opérez groupe à l'arrêt, puis le raccordement effectué vous mettez le groupe en service avec la fiche mâle connectée, puis enclenchez l'ID sur le tableau. Il faut mettre le groupe à la terre avec un piquet.
La vérification sera rapide. Le système cabane + câble (si possible souple HO7RNF 3g2,5) + fiche mâle correspond au branchement de n'importe quelle récepteur sur une source.
Il faudra alimenter chaque cabane ou chaque groupe de cabanes avec un câble dédié raccordé au tableau général. De même, chaque terre doit être mesurée. Il faudra vous entendre avec un électricien local qui pourra vous apporter l'expertise nécessaire, d'autant plus qu'il s'agit d'un lieu accueillant du public (ERP) et qu'un contrôle du consuel sera nécessaire avant branchement du réseau ERDF.
Votre projet est original. On vous souhaite la meilleure réussite pour remettre ce lieu en activité le 27 avril 2013.
17 décembre 2012 à 09:45

Bonjour Jean-Pierre. On ne pourra pas vous expliquer l'origine du problème.
Un contact n'a pas de polarité. On peut supposer que les deux fils ne sont pas seuls, autrement dit un repiquage vous a échappé. Le schéma de branchement est disponible un peu partout sur le forum, et ce n'est pas ce qu'il y a de plus compliqué en électricité domestique. Vous pouvez élaborer votre schéma de raccordement fil à fil, et comparer avec le montage usuel. Ainsi, vous comprendrez pourquoi le fait d'inverser deux fils hors de potentiel en théorie ont provoqué une disjonction (vous ne dites pas si cela concerne la protection 2 A du circuit de commande).
Conclusion : il y a forcément un problème quelque part, et cela vaut la peine d'effectuer quelques recherches.
Un contact n'a pas de polarité. On peut supposer que les deux fils ne sont pas seuls, autrement dit un repiquage vous a échappé. Le schéma de branchement est disponible un peu partout sur le forum, et ce n'est pas ce qu'il y a de plus compliqué en électricité domestique. Vous pouvez élaborer votre schéma de raccordement fil à fil, et comparer avec le montage usuel. Ainsi, vous comprendrez pourquoi le fait d'inverser deux fils hors de potentiel en théorie ont provoqué une disjonction (vous ne dites pas si cela concerne la protection 2 A du circuit de commande).
Conclusion : il y a forcément un problème quelque part, et cela vaut la peine d'effectuer quelques recherches.
17 décembre 2012 à 09:24

Bonjour. Votre projet est intéressant, mais il n'est pas certain que la réalisation sur mesure soit d'un prix moindre qu'un modèle du commerce.
En effet, outre les deux cadres et leurs paliers, il faudra un collecteur tournant pour alimenter le moteur mobile, deux motoréducteurs asynchrones triphasés. Si une vitesse constante convient, l'interface de commande sera simple. Si vous désirez commander la vitesse, il faudra deux variateurs de faible puissance et fonctionnant en monophasé.
Vous pourrez choisir des motoréducteurs asynchrones triphasés, ou bien des motoréducteurs à courant continu (et à aimant permanent) avec leur électronique de commande. Dans le cadre d'un bricolage de bonne tenue, on peut utiliser des moteurs d'essuie-glace de récupération..
Pour le dimensionnement, il faut connaitre la vitesse maximum autorisée, ainsi que le couple maximum sur l'arbre ; avec ces deux paramètres on détermine la puissance utile nécessaire.
Un calcul pointu nécessiterait de prendre en compte le moment d'inertie maximum de chaque partie tournante et sa vitesse. Un beau calcul de mécanique (on dit dynamique), mais qui dépasse ce qu'il est possible de faire en quelques lignes sur un site d'entraide bricolage.
Un autre moyen est de copier sur une machine existante et d'analyser sa motorisation. Voire surdimensionner un peu.
Conclusion : comme dit précédemment, le système est intéressant mais nécessite de bonnes connaissances en mécanique pratique, calculs de mécanique (dynamique), électrotechnique (machines tournantes et leur commande). Globalement niveau bac + 2.
Mais en copiant sur une machine existante de même caractéristiques, ce serait plus simple.
Attendons d'autres avis.
En effet, outre les deux cadres et leurs paliers, il faudra un collecteur tournant pour alimenter le moteur mobile, deux motoréducteurs asynchrones triphasés. Si une vitesse constante convient, l'interface de commande sera simple. Si vous désirez commander la vitesse, il faudra deux variateurs de faible puissance et fonctionnant en monophasé.
Vous pourrez choisir des motoréducteurs asynchrones triphasés, ou bien des motoréducteurs à courant continu (et à aimant permanent) avec leur électronique de commande. Dans le cadre d'un bricolage de bonne tenue, on peut utiliser des moteurs d'essuie-glace de récupération..
Pour le dimensionnement, il faut connaitre la vitesse maximum autorisée, ainsi que le couple maximum sur l'arbre ; avec ces deux paramètres on détermine la puissance utile nécessaire.
Un calcul pointu nécessiterait de prendre en compte le moment d'inertie maximum de chaque partie tournante et sa vitesse. Un beau calcul de mécanique (on dit dynamique), mais qui dépasse ce qu'il est possible de faire en quelques lignes sur un site d'entraide bricolage.
Un autre moyen est de copier sur une machine existante et d'analyser sa motorisation. Voire surdimensionner un peu.
Conclusion : comme dit précédemment, le système est intéressant mais nécessite de bonnes connaissances en mécanique pratique, calculs de mécanique (dynamique), électrotechnique (machines tournantes et leur commande). Globalement niveau bac + 2.
Mais en copiant sur une machine existante de même caractéristiques, ce serait plus simple.
Attendons d'autres avis.
16 décembre 2012 à 17:34

Bonjour Syborg.
Oui, car la qualité d'une prise de terre dépend de sa résistance qui doit être inférieure à 100 ohms. Cela se mesure avec un appareil spécialisé en possession de tout électricien confirmé et outillé. Il n'y a pas d'autre moyen.
Oui, c'est l'ordre de grandeur. Mais là encore, il faut un voltmètre appelé efficace vrai, de même en possession des bons électriciens sachant interpréter ce type de mesurage.
Citation :
...ou est-ce insuffisant pour évaluer la qualité de la mise à la terre ?
Oui, car la qualité d'une prise de terre dépend de sa résistance qui doit être inférieure à 100 ohms. Cela se mesure avec un appareil spécialisé en possession de tout électricien confirmé et outillé. Il n'y a pas d'autre moyen.
Citation :
...est-ce normal ?
Oui, c'est l'ordre de grandeur. Mais là encore, il faut un voltmètre appelé efficace vrai, de même en possession des bons électriciens sachant interpréter ce type de mesurage.
16 décembre 2012 à 17:02

Bien reçu. Merci pour votre retour.
Nota : pensez quand même à l'équilibrage. La phase chauffage est à fond à 6 kW, sans possibilité d'extension éventuelle.
Nota : pensez quand même à l'équilibrage. La phase chauffage est à fond à 6 kW, sans possibilité d'extension éventuelle.
15 décembre 2012 à 23:17

Bonsoir réponse 3. L'hypothèse était la bonne. Un petit coup d'air comprimé et l'on n'en parle plus.
Merci pour le retour.
Merci pour le retour.
15 décembre 2012 à 23:13

Bien reçu. Il faut que la résistance de la terre soit inférieure à 100 ohms (cela se mesure avec un appareil spécial normalement en possession de tout électricien bien outillé), il faut également respecter les longueurs des connexions issues du parafoudre. Voir en question 4655 où un lien est proposé vers un document Legrand.
"La fréquence des coups de foudre est définie à partir du niveau kéraunique (nombre de fois où le tonnerre a été entendu dans l'année". Vous pouvez approfondir en recherchant sur le net. Vous verrez que les Pyrénées-Atlantiques ne sont pas loin des zones rouges.
En zone active, une installation élaborée comprend un parafoudre de type 1 monté au tableau, et juste avant les matériels sensibles (ordinateurs et autres) un parafoudre de type 2. Vous verrez les différences sur le net.
"La fréquence des coups de foudre est définie à partir du niveau kéraunique (nombre de fois où le tonnerre a été entendu dans l'année". Vous pouvez approfondir en recherchant sur le net. Vous verrez que les Pyrénées-Atlantiques ne sont pas loin des zones rouges.
En zone active, une installation élaborée comprend un parafoudre de type 1 monté au tableau, et juste avant les matériels sensibles (ordinateurs et autres) un parafoudre de type 2. Vous verrez les différences sur le net.
15 décembre 2012 à 14:49

Bonjour réponse 3. On peut penser que le produit électromécanique est désormais défectueux, d'autant plus qu'il n'est pas de première jeunesse. Essayez de voir s'il n'y aurait pas un blocage mécanique du disque à l'arrêt.
15 décembre 2012 à 09:00

Bonjour Claude. L'indice kéraunique de votre département, s'il s'agit bien des Pyrénées-Atlantiques, est de l'ordre de 25 et ne nécessite pas l'installation d'un parafoudre en tête du tableau de distribution même si votre arrivée EDF est en aérien.
Quant au bloc prises avec parafoudre incorporé, c'est certainement mieux que rien, mais à priori rien serait davantage justifié s'il n'y a pas de danger particulier déclaré.
Si vous désirez en utilisez un, il faut trouver un modèle de haut de gamme qui indiquerait l'état du parafoudre, c'est à dire sa capacité à bloquer et évacuer les courants d'origine atmosphérique.
Regardez ce que propose Legrand ici : legrand.fr particuliers rallonges multiprises
Il faut une bonne liaison à la terre.
Quant au bloc prises avec parafoudre incorporé, c'est certainement mieux que rien, mais à priori rien serait davantage justifié s'il n'y a pas de danger particulier déclaré.
Si vous désirez en utilisez un, il faut trouver un modèle de haut de gamme qui indiquerait l'état du parafoudre, c'est à dire sa capacité à bloquer et évacuer les courants d'origine atmosphérique.
Regardez ce que propose Legrand ici : legrand.fr particuliers rallonges multiprises
Il faut une bonne liaison à la terre.
14 décembre 2012 à 23:53

Bien reçu. La commande est du même type que celle de la question précitée traitée il y a quelques jours. Deux questions :
1. La commande EJP a-t-elle déjà fonctionné avec un contacteur présent sur le tableau et actuellement en fonction ?
2. Si la réponse est non, les deux fils du contact arrivent où ?
1. La commande EJP a-t-elle déjà fonctionné avec un contacteur présent sur le tableau et actuellement en fonction ?
2. Si la réponse est non, les deux fils du contact arrivent où ?
14 décembre 2012 à 23:20

Bonjour. La chute de tension que vous constatez par variation de luminosité des lampes à incandescence ou variation de vitesse des petits ventilateurs d'extracteurs, si vous en avez, peut avoir pour cause la ligne elle même si vous êtes en bout et que les sections des différents tronçons en amont sont relativement faibles, dimensionnées il y a des dizaines d'années, et maintenant surchargées par des récepteurs nouveaux tels que des pompes à chaleur.
Dans ce cas, pour contrôler, on met un voltmètre ou un enregistreur en sortie de disjoncteur de branchement.
Des mauvais raccordements chez vous peuvent être une cause également de par les résistances de contact.
En aucun cas des chutes de tension peuvent être à l'origine des pannes irréversibles de vos récepteurs.
Dans une région à indice kéraunique élevé avec des lignes aériennes, des surtensions peuvent se propager et endommager certains équipements. Dans ce cas, un parafoudre monté correctement sur le tableau de répartition peut limiter les dégâts.
Une mauvaise connexion du neutre sur la ligne qui alimente l'habitat peut être une autre cause de surtension. Dans ce cas, vous ne seriez pas le seul à avoir des problèmes.
Conclusion :
1. Des surtensions transitoires toujours présentes sur les lignes mais aux effets invisibles peuvent endommager des équipements, mais pas des sous-tensions.
2. Il faudrait demander aux voisins s'ils sont affectés de la même façon que vous.
3. Enfin, le contrôle de la valeur de la tension efficace en sortie de DJ de branchement serait une première vérification à mettre en œuvre. Soit avec un voltmètre en votre possession, ou un enregistreur posé par le fournisseur d'énergie. Le contrôle oscilloscopique nécessite d'être du métier.
Dans ce cas, pour contrôler, on met un voltmètre ou un enregistreur en sortie de disjoncteur de branchement.
Des mauvais raccordements chez vous peuvent être une cause également de par les résistances de contact.
En aucun cas des chutes de tension peuvent être à l'origine des pannes irréversibles de vos récepteurs.
Dans une région à indice kéraunique élevé avec des lignes aériennes, des surtensions peuvent se propager et endommager certains équipements. Dans ce cas, un parafoudre monté correctement sur le tableau de répartition peut limiter les dégâts.
Une mauvaise connexion du neutre sur la ligne qui alimente l'habitat peut être une autre cause de surtension. Dans ce cas, vous ne seriez pas le seul à avoir des problèmes.
Conclusion :
1. Des surtensions transitoires toujours présentes sur les lignes mais aux effets invisibles peuvent endommager des équipements, mais pas des sous-tensions.
2. Il faudrait demander aux voisins s'ils sont affectés de la même façon que vous.
3. Enfin, le contrôle de la valeur de la tension efficace en sortie de DJ de branchement serait une première vérification à mettre en œuvre. Soit avec un voltmètre en votre possession, ou un enregistreur posé par le fournisseur d'énergie. Le contrôle oscilloscopique nécessite d'être du métier.
14 décembre 2012 à 18:02

Bien reçu. Normalement 2 fils sont issus du boitier de commande EDF, et correspondent à un contact à fermeture permettant de commander un contacteur. Ne sachant pas comment est fait le câblage chez vous on ne peut en dire plus. Pour imposer le passage en régime forcé, il suffit de mettre un contact à ouverture en série avec chaque bobine ; mais sans oublier de le fermer une fois la période terminée. De façon que la commande EJP reste active.
A ce moment le prix des kWh monte très haut.
A ce moment le prix des kWh monte très haut.
14 décembre 2012 à 15:25

Bonjour. C'est très simple. Tout d'abord en question 12243 le fonctionnement du système EJP est rappelé.
Edf délivre un contact à fermeture qui permet d'alimenter la bobine d'un contacteur possédant des contacts à ouverture (ils sont fermés au repos).
Il suffit d'alimenter les bobines de trois contacteurs en parallèle et le tour est joué. Mais il y a beaucoup plus simple.
Il suffit d'alimenter la bobine d'un seul contacteur tétrapolaire de bon calibre en aval duquel vous brancherez un DJ entre neutre et phase 1 pour la pompe, un DJ entre neutre et phase 2 pour l'ECS, et un DJ entre neutre et phase 3 pour les radiateurs.
A voir votre distribution, on voit qu'elle n'est pas bien bonne car mal équilibrée. Le chauffage peut être réparti sur les 3 phases, le chauffe-eau idem, il peut fonctionner en tri. La Pac a l'air d'être en monophasé.
Un doute subsiste ; comment faites-vous l'eau chaude pendant la période rouge ?
Conclusion : avant de passer à la réalisation, il faudrait ré-étudier la distribution. Et n'utiliser qu'un seul et unique contacteur.
Voilà donc la réponse à votre question : vous n'avez pas besoin de contacteurs distincts.
Edf délivre un contact à fermeture qui permet d'alimenter la bobine d'un contacteur possédant des contacts à ouverture (ils sont fermés au repos).
Il suffit d'alimenter les bobines de trois contacteurs en parallèle et le tour est joué. Mais il y a beaucoup plus simple.
Il suffit d'alimenter la bobine d'un seul contacteur tétrapolaire de bon calibre en aval duquel vous brancherez un DJ entre neutre et phase 1 pour la pompe, un DJ entre neutre et phase 2 pour l'ECS, et un DJ entre neutre et phase 3 pour les radiateurs.
A voir votre distribution, on voit qu'elle n'est pas bien bonne car mal équilibrée. Le chauffage peut être réparti sur les 3 phases, le chauffe-eau idem, il peut fonctionner en tri. La Pac a l'air d'être en monophasé.
Un doute subsiste ; comment faites-vous l'eau chaude pendant la période rouge ?
Conclusion : avant de passer à la réalisation, il faudrait ré-étudier la distribution. Et n'utiliser qu'un seul et unique contacteur.
Voilà donc la réponse à votre question : vous n'avez pas besoin de contacteurs distincts.
13 décembre 2012 à 22:29

Bien reçu Ptipierre. Tant mieux si l'incident ne s'est pas reproduit, c'est très bon signe. Mais le malade est toujours en observation.
Faites le test de bon fonctionnement de l'ID de temps en temps avec le petit bouton.
Merci pour le retour.
Faites le test de bon fonctionnement de l'ID de temps en temps avec le petit bouton.
Merci pour le retour.
12 décembre 2012 à 19:13

Bonjour. Faire une saignée à la disqueuse pour y passer une gaine de 16 peut être une solution. Il faudra aspirer très fort pendant l'opération.
D'autre part il existe des sèche-serviettes de grande marque dont les boîtiers de programmation déportée sont systématiquement en liaison radio. Si vous n'avez pas fait l'achat cette solution serait d'une simplicité extrême.
D'autre part il existe des sèche-serviettes de grande marque dont les boîtiers de programmation déportée sont systématiquement en liaison radio. Si vous n'avez pas fait l'achat cette solution serait d'une simplicité extrême.
12 décembre 2012 à 00:09

Bien reçu. Pas de problème du moment que la tension de 220 V est disponible. Tenez nous au courant quand vous serez sur place. Une petite photo avec la mer bleue fera plaisir aux contributeurs du forum emmitouflés en métropole.
Retenez juste le numéro 530.
Cordialement.
Retenez juste le numéro 530.
Cordialement.
11 décembre 2012 à 14:09

Bien reçu. Après recherche, il s'avère que ce produit ancien n'existe plus chez Logitech. D'autre part, les critiques ne sont pas favorables au rendu des basses (Logitech n'est pas franchement le meilleur en HI-FI).
D'autre part les caractéristiques que l'on peut trouver sont muettes concernant l'alimentation. Néanmoins elle est intégrée au caisson de basses. Que ce soit 50 ou 60 Hz le fonctionnement de l'alimentation sera identique. Mais si vous partez au Québec par exemple, non seulement la fréquence passera à 60 Hz, mais la tension sera de 110 V. Et si l'alimentation n'est pas prévue pour, ce sera difficile (bien qu'en cherchant bien, le 220 V existe au Québec mais ni pour la lumière ni pour les PC courantes).
La photo de l'arrière vue sur le net ne permet pas d'y lire les inscriptions. Mais si ce produit est à usage européen, ce que l'on peut penser, il est normal que la fréquence usuelle d'emploi de 50 Hz.
D'autre part les caractéristiques que l'on peut trouver sont muettes concernant l'alimentation. Néanmoins elle est intégrée au caisson de basses. Que ce soit 50 ou 60 Hz le fonctionnement de l'alimentation sera identique. Mais si vous partez au Québec par exemple, non seulement la fréquence passera à 60 Hz, mais la tension sera de 110 V. Et si l'alimentation n'est pas prévue pour, ce sera difficile (bien qu'en cherchant bien, le 220 V existe au Québec mais ni pour la lumière ni pour les PC courantes).
La photo de l'arrière vue sur le net ne permet pas d'y lire les inscriptions. Mais si ce produit est à usage européen, ce que l'on peut penser, il est normal que la fréquence usuelle d'emploi de 50 Hz.
10 décembre 2012 à 14:29
