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Bonsoir réponse 8. A priori oui, mais la plaque signalétique de l'appareil (on suppose amplificateur 5.1) doit être plus explicite.
09 décembre 2012 à 22:31

Bien reçu. Mais vous connaissez peut-être le branchement de l'ancien récepteur de télécommande ?
09 décembre 2012 à 17:42

Bonjour. Le récepteur possède deux relais chacun actionnant un contact à fermeture comme le ferait un bouton poussoir.
Il vous faut la notice de la carte motorisation de la porte obligatoire pour marier récepteur et motorisation.
Inspirez vous de l'ancien montage en relevant le câblage entre ancien récepteur de télécommande et carte.
La notice au cas où vous ne l'auriez pas : notice extel transmy.pdf
A part cela, pas d'autre idée.
Il vous faut la notice de la carte motorisation de la porte obligatoire pour marier récepteur et motorisation.
Inspirez vous de l'ancien montage en relevant le câblage entre ancien récepteur de télécommande et carte.
La notice au cas où vous ne l'auriez pas : notice extel transmy.pdf
A part cela, pas d'autre idée.
09 décembre 2012 à 15:19

Bien reçu de nouveau Couca. C'est le boitier bleu sur la photo de droite, sur la planche sur laquelle est indiqué "vérifier plomb..." Il faut vous assurer que ce boîtier vous est bien dédié. Si les deux fils n'ont jamais été passés vers votre tableau, il est normal que vous ne les trouviez pas. Il se pourrait que le boitier ne soit pas plombé auquel cas il est facile d'y jeter un œil. Mais il faut être certain qu'il est bien pour vous. Il vaut mieux être très proche du métier.
Je ne vois pas ce que sont les petits boitiers sur les planches 5 et 4.
A part cela, si votre tableau est la photo 1, il y aurait du travail pour le moderniser et au minimum le mettre en sécurité. A priori et sauf erreur il n'y a ni interrupteur différentiel 30 mA ni coupure générale.
Je ne vois pas ce que sont les petits boitiers sur les planches 5 et 4.
A part cela, si votre tableau est la photo 1, il y aurait du travail pour le moderniser et au minimum le mettre en sécurité. A priori et sauf erreur il n'y a ni interrupteur différentiel 30 mA ni coupure générale.
08 décembre 2012 à 23:37

Bien reçu. C'est ce que l'on pouvait supposer. Vos hypothèses sont bonnes. C'est pour cela qu'il faut juste vérifier à l'ohmmètre les deux fils que vous avez dû repérer. Une fois qu'ils sont libres de potentiel (avec les précautions à prendre pour en être certain) et que l'ohmmètre indique 0 en HC (donc à cette heure ci) et l'infini en HP (demain matin) c'est bon.
Vous avez vu que Couca est dans le besoin également 4 questions plus haut ? Il va avoir de la lecture !
Cordialement.
Vous avez vu que Couca est dans le besoin également 4 questions plus haut ? Il va avoir de la lecture !
Cordialement.
08 décembre 2012 à 00:14

Bien reçu Couca. Dans ce cas vous êtes exactement dans la même configuration que dans la question précitée. Il faut voir si les2 fils du contact C1 C2 sont reliés au boitier 175 Hz (peut-être plombé) et s'il arrivent au tableau de répartition.
Vous savez tout.
Vous savez tout.
08 décembre 2012 à 00:06

Bonjour Couca. Décidément, on est cerné par les chauffe-eau depuis quelques jours (voir question 12243 où vous trouverez les détails et le lien vers un document).
Tout d'abord, il faut avoir souscrit un contrat double tarif. Ensuite, si vous avez un compteur électronique, c'est un jeu d'enfant que se raccorder au contact C1 C2 (voir document). Donc à préciser.
A ce stade EDF n'est "plus dans le coup".
Si vous n'avez pas de contrat double tarif, vous faites fonctionner le chauffe-eau en permanence.
L'usage d'une horloge est inutile dans un cas comme dans l'autre.
Nota : l'expression "fil pilote" n'est utilisable que dans le cas de la programmation du chauffage électrique.
A suivre.
Tout d'abord, il faut avoir souscrit un contrat double tarif. Ensuite, si vous avez un compteur électronique, c'est un jeu d'enfant que se raccorder au contact C1 C2 (voir document). Donc à préciser.
A ce stade EDF n'est "plus dans le coup".
Si vous n'avez pas de contrat double tarif, vous faites fonctionner le chauffe-eau en permanence.
L'usage d'une horloge est inutile dans un cas comme dans l'autre.
Nota : l'expression "fil pilote" n'est utilisable que dans le cas de la programmation du chauffage électrique.
A suivre.
07 décembre 2012 à 16:35

"...il semble donc établi que ces fils sont bien ceux que je dois utiliser maintenant pour la commande de mon contacteur HC. " Oui, et le rôle du contact doit être assuré par C1 C2. Il faut donc chercher ces fameux deux fils reliés au relais 175 Hz.
Vous devriez voir comment est réalisé le circuit côté bobine EDF. Il est fort probable que sur votre tableau vous ayez, à partir du bornier phase neutre, un DJ 2 A ; la sortie neutre était directement reliée à une borne bobine EDF ; la sortie phase vers le contact C1 C2, la phase coupée revient alors à l'autre borne bobine EDF. Dans ce cas, la bobine serait alimentée en HC et ce n'est pas le cas (votre post de 22 h 28). N’empêche que cela fonctionnait ainsi avec le relais EJP. Mais si le fusible interne 2 A du contact C1 C2 est grillé pour une raison inconnue, le montage ne fonctionnera pas sans intervention du technicien ERDF pour changer ce fusible. Avec les compteurs électroniques, contact et fusible sont accessibles à l'usager.
Donc on en revient à la même question : comment le technicien a-t-il raccordé les fils présents dans le voisinage du relais EJP il en avait au maximum 4 et 3 au minimum) ?
Il faut donc rentrer davantage dans les entrailles du circuit de commande, sachant que EJP ou commande chauffe-eau, les schémas sont identiques (voir en 6682) ; repérer les fils en présence et les identifier, et faire un schéma. Le but est de déterminer les fils qui vont (allaient) vers les contacts du relais EJP.
J'explique de façon que vous ne preniez pas de risque en cas de présence inopinée d'une phase sur un fil, et façon à ne pas faire exploser le multimètre en position ohmmètre pour les mêmes raisons. Mais s'il est récent et cher, il n'y a pas de risque.
Du boulot pour cet am.
Vous devriez voir comment est réalisé le circuit côté bobine EDF. Il est fort probable que sur votre tableau vous ayez, à partir du bornier phase neutre, un DJ 2 A ; la sortie neutre était directement reliée à une borne bobine EDF ; la sortie phase vers le contact C1 C2, la phase coupée revient alors à l'autre borne bobine EDF. Dans ce cas, la bobine serait alimentée en HC et ce n'est pas le cas (votre post de 22 h 28). N’empêche que cela fonctionnait ainsi avec le relais EJP. Mais si le fusible interne 2 A du contact C1 C2 est grillé pour une raison inconnue, le montage ne fonctionnera pas sans intervention du technicien ERDF pour changer ce fusible. Avec les compteurs électroniques, contact et fusible sont accessibles à l'usager.
Donc on en revient à la même question : comment le technicien a-t-il raccordé les fils présents dans le voisinage du relais EJP il en avait au maximum 4 et 3 au minimum) ?
Il faut donc rentrer davantage dans les entrailles du circuit de commande, sachant que EJP ou commande chauffe-eau, les schémas sont identiques (voir en 6682) ; repérer les fils en présence et les identifier, et faire un schéma. Le but est de déterminer les fils qui vont (allaient) vers les contacts du relais EJP.
J'explique de façon que vous ne preniez pas de risque en cas de présence inopinée d'une phase sur un fil, et façon à ne pas faire exploser le multimètre en position ohmmètre pour les mêmes raisons. Mais s'il est récent et cher, il n'y a pas de risque.
Du boulot pour cet am.
07 décembre 2012 à 15:05

L'avantage de votre problème pour le contributeur est qu'il permet de rentrer un peu dans les détails techniques et de progresser dans les connaissances.
Je suis allé voir mon récepteur 175 Hz ; c'est un relais récepteur classique à 4 groupes Schlumberger AIT 7100 qui comporte 2 contacts en sortie (un pour la commutation du tarif sur le compteur électromécanique, et un autre que nous allons appeler C1 C2 pour rester dans la désignation habituelle).
On peut voir cet objet ici http://eurodep.free.fr/catalogue.htm à la dernière page (le petit boîtier bleu) avec un lien vers le principe de fonctionnement.
Malheureusement, le boitier est plombé, pour éviter que l'usager modifie lui même la période de comptage HC. Les 2 contacts ont un pouvoir de coupure de 2 A, ce qui nécessite une protection par DJ 2 A sur le tableau. Dans mon cas ce contact est libre de potentiel depuis toujours.
Normalement vous devriez avoir le même ou un équivalent. Mais dans tous les cas le contact est libre de potentiel et est à alimenter à partir du tableau de répartition.
"...Cette méthode vous semble-t-elle correcte ? Sinon comment dois-je procéder ?" Il vaut mieux éviter d'appliquer la phase, il faut être certain du branchement.
Le testeur peut s'allumer sur un conducteur libre de potentiel uniquement par phénomène d'induction (cela étonne nombre d'internautes et c'est pour cela que nous en déconseillons son usage régulièrement. Néanmoins, vous pouvez essayer quand même sur les deux fils, et si lueur il y a elle doit être la même sur chaque fil en l'air du côté tableau de répartition, et très faible par rapport à celle obtenue lors de l'application de la pointe de touche sur une phase). Vous vérifiez bien qu'il y a seulement deux fils qui arrivent de ce boîtier 175 Hz. On peut mettre un voltmètre entre neutre et l'un des deux fils. Normalement il devrait afficher 0 V ou pas loin. Ceci pour être certain que le contact est libre de potentiel.
Une fois ces vérifications faites, on met un ohmmètre entre les deux fils en l'air du côté tableau et on pourra constater que le contact est normalement ouvert, puis se ferme en HC. Si votre multimètre est protégé lors de la mesure en ohmmètre alors que le circuit est sous tension il ne "cramera" pas en cas de fausse manip.
L'agent ERDF ne vous a pas beaucoup renseigné. Plombage enlevé toutes ces manipulations et repérages par déduction seraient inutiles. Dans votre cas ce qui est mystérieux est le terme bobine EDF. S'il vous avait dit dès le départ qu'il raccordait 2 fils (repérés) sur C1 C2, ce serait fini depuis longtemps ; mais vous allez y arriver.
"...de gérer le passage en HC." Oui, mais dans ce cas seuls deux fils sont utiles.
Donc en résumé : vérifier qu'il y a 2 fils utiles qui arrivent au tableau, vérifier qu'ils sont libres de potentiel, vérifier qu'il y a l'infini en HP et 0 en HC. Après, ce sera un jeu d'enfant que de câbler le circuit du chauffe-eau.
Remarque : la commande EJP est très proche de la commande d'un chauffe-eau, sauf qu’il y a un contact pour le préavis qui commande un petit relais qui alimente le voyant, et un autre contact qui commande le relais de délestage ; et les deux circuits de commande ont une alimentation protégée (2A) commune.
A suivre.
Je suis allé voir mon récepteur 175 Hz ; c'est un relais récepteur classique à 4 groupes Schlumberger AIT 7100 qui comporte 2 contacts en sortie (un pour la commutation du tarif sur le compteur électromécanique, et un autre que nous allons appeler C1 C2 pour rester dans la désignation habituelle).
On peut voir cet objet ici http://eurodep.free.fr/catalogue.htm à la dernière page (le petit boîtier bleu) avec un lien vers le principe de fonctionnement.
Malheureusement, le boitier est plombé, pour éviter que l'usager modifie lui même la période de comptage HC. Les 2 contacts ont un pouvoir de coupure de 2 A, ce qui nécessite une protection par DJ 2 A sur le tableau. Dans mon cas ce contact est libre de potentiel depuis toujours.
Normalement vous devriez avoir le même ou un équivalent. Mais dans tous les cas le contact est libre de potentiel et est à alimenter à partir du tableau de répartition.
"...Cette méthode vous semble-t-elle correcte ? Sinon comment dois-je procéder ?" Il vaut mieux éviter d'appliquer la phase, il faut être certain du branchement.
Le testeur peut s'allumer sur un conducteur libre de potentiel uniquement par phénomène d'induction (cela étonne nombre d'internautes et c'est pour cela que nous en déconseillons son usage régulièrement. Néanmoins, vous pouvez essayer quand même sur les deux fils, et si lueur il y a elle doit être la même sur chaque fil en l'air du côté tableau de répartition, et très faible par rapport à celle obtenue lors de l'application de la pointe de touche sur une phase). Vous vérifiez bien qu'il y a seulement deux fils qui arrivent de ce boîtier 175 Hz. On peut mettre un voltmètre entre neutre et l'un des deux fils. Normalement il devrait afficher 0 V ou pas loin. Ceci pour être certain que le contact est libre de potentiel.
Une fois ces vérifications faites, on met un ohmmètre entre les deux fils en l'air du côté tableau et on pourra constater que le contact est normalement ouvert, puis se ferme en HC. Si votre multimètre est protégé lors de la mesure en ohmmètre alors que le circuit est sous tension il ne "cramera" pas en cas de fausse manip.
L'agent ERDF ne vous a pas beaucoup renseigné. Plombage enlevé toutes ces manipulations et repérages par déduction seraient inutiles. Dans votre cas ce qui est mystérieux est le terme bobine EDF. S'il vous avait dit dès le départ qu'il raccordait 2 fils (repérés) sur C1 C2, ce serait fini depuis longtemps ; mais vous allez y arriver.
"...de gérer le passage en HC." Oui, mais dans ce cas seuls deux fils sont utiles.
Donc en résumé : vérifier qu'il y a 2 fils utiles qui arrivent au tableau, vérifier qu'ils sont libres de potentiel, vérifier qu'il y a l'infini en HP et 0 en HC. Après, ce sera un jeu d'enfant que de câbler le circuit du chauffe-eau.
Remarque : la commande EJP est très proche de la commande d'un chauffe-eau, sauf qu’il y a un contact pour le préavis qui commande un petit relais qui alimente le voyant, et un autre contact qui commande le relais de délestage ; et les deux circuits de commande ont une alimentation protégée (2A) commune.
A suivre.
07 décembre 2012 à 12:26

Bien reçu de nouveau. Le boitier initial EDF-EJP assurait deux fonctions : l'avertissement concernant le passage prochain en EJP (voyant de préavis), puis la commande du contacteur 4NF de délestage.
On peut supposer que le relais installé par l'électricien permettait de commander l'avertisseur lumineux, un bête contacteur 1NO commandant une lampe. Si cela est le cas, il ne sert plus. Mais à ce niveau je ne vois pas pourquoi le terme "bobine EDF" est employé, sachant que dans la commande il n'y a que des contacts secs. Certainement une idée de l'électricien pour matérialiser la bobine de son relais, et signifier qu'elle était reliée à la commande EDF. Que de suppositions derrière l'écran !
Le technicien ERDF a installé un nouveau relais 175 Hz chargé d'assurer le passage en HC. Il doit donc comporter le fameux contact C1 C2 accessible à l'abonné pour commander le contacteur HC, et un autre inaccessible permettant d'assurer la commutation du comptage en HC.
Je suppose que vous connaissez le montage, mais au cas ou un lecteur autre passerait par ici, il peut regarder en question 6682.
Le technicien ERDF ne semble pas vous avoir beaucoup aidé ?
Donc il faut ouvrir le boitier 175 Hz, repérer le contact, et vous servir des conducteurs désormais inutiles dans le voisinage pour réaliser le circuit.
Quand il fera jour j'irai voir le mien si cela est nécessaire, ne serait-ce que pour être certain de la désignation exacte des bornes du contact qui nous intéresse.
A suivre après une bonne nuit.
On peut supposer que le relais installé par l'électricien permettait de commander l'avertisseur lumineux, un bête contacteur 1NO commandant une lampe. Si cela est le cas, il ne sert plus. Mais à ce niveau je ne vois pas pourquoi le terme "bobine EDF" est employé, sachant que dans la commande il n'y a que des contacts secs. Certainement une idée de l'électricien pour matérialiser la bobine de son relais, et signifier qu'elle était reliée à la commande EDF. Que de suppositions derrière l'écran !
Le technicien ERDF a installé un nouveau relais 175 Hz chargé d'assurer le passage en HC. Il doit donc comporter le fameux contact C1 C2 accessible à l'abonné pour commander le contacteur HC, et un autre inaccessible permettant d'assurer la commutation du comptage en HC.
Je suppose que vous connaissez le montage, mais au cas ou un lecteur autre passerait par ici, il peut regarder en question 6682.
Le technicien ERDF ne semble pas vous avoir beaucoup aidé ?
Donc il faut ouvrir le boitier 175 Hz, repérer le contact, et vous servir des conducteurs désormais inutiles dans le voisinage pour réaliser le circuit.
Quand il fera jour j'irai voir le mien si cela est nécessaire, ne serait-ce que pour être certain de la désignation exacte des bornes du contact qui nous intéresse.
A suivre après une bonne nuit.
06 décembre 2012 à 23:49

Bien reçu Cylem. Vous n'avez plus besoin de ce relais de puissance, mais...
Actuellement, les contacts du contacteur de puissance EJP sont fermés (type NF - normalement fermés), sa bobine n'étant pas alimentée : on rappelle que lors de la commande EJP, le contacteur de puissance est activé par la commande EDF, les contacts passent à l'état ouvert et les circuits non prioritaires sont déconnectés.
Pour supprimer le contacteur EJP il faut connecter les circuits non prioritaires en sortie de leur DJ respectif, ce que vous avez déjà projeté.
La commande EJP EDF est un simple contact sec alimenté depuis votre tableau par l'intermédiaire d'un DJ 2A.
Vous pouvez donc récupérer ce circuit et faire l'alimentation classique du contacteur de chauffe-eau. Dans votre cas le contact C1 C2 est disponible sur le nouveau récepteur 175 Hz..
Vous dites si vous voulez un schéma, mais vous avez tout compris.
Cordialement.
Actuellement, les contacts du contacteur de puissance EJP sont fermés (type NF - normalement fermés), sa bobine n'étant pas alimentée : on rappelle que lors de la commande EJP, le contacteur de puissance est activé par la commande EDF, les contacts passent à l'état ouvert et les circuits non prioritaires sont déconnectés.
Pour supprimer le contacteur EJP il faut connecter les circuits non prioritaires en sortie de leur DJ respectif, ce que vous avez déjà projeté.
La commande EJP EDF est un simple contact sec alimenté depuis votre tableau par l'intermédiaire d'un DJ 2A.
Vous pouvez donc récupérer ce circuit et faire l'alimentation classique du contacteur de chauffe-eau. Dans votre cas le contact C1 C2 est disponible sur le nouveau récepteur 175 Hz..
Vous dites si vous voulez un schéma, mais vous avez tout compris.
Cordialement.
06 décembre 2012 à 19:30

Bonjour. Pourriez vous brancher un récepteur quelconque au bout de toutes ces rallonges ? Cela permettrait de voir qu'elles fonctionnent bien. Si le fonctionnement est correct, on peut mettre en cause soit le raccordement entre les deux fiches (tube et rallonge) ou le tube lui même, celui-ci n'ayant pas supporté l'installation.
Conclusion : il y a des essais méthodiques à effectuer.
Conclusion : il y a des essais méthodiques à effectuer.
06 décembre 2012 à 13:33

Bonjour Cylem,
On peut comprendre que l'agent ERDF a remplacé un module ; mais par quoi a-t-il remplacé ce module et à quoi sert-il ?
Les relais de préavis et d'asservissement est désormais inactif et inutile. Mais vous précisez "...Il est bien alimenté" ; qu'entendez vous par là ?
Quelques idées ci-dessous.
Si le compteur est électromécanique, l'agent a peut-être remplacé le module EJP par un relais 175 Hz qui comporte un contact se fermant en HC.
Si le compteur est électronique, celui-ci comporte un contact interne désigné par C1 C2 au comportement analogue (se ferme en HC). Dans les deux cas le contact est utilisé pour la commande du contacteur de chauffe-eau. Le schéma de commande est disponible un peu partout sur le forum. On ne remplace pas le contacteur.
A suivre, avec quelques précisions.
Attendons également d'autres avis.
On peut comprendre que l'agent ERDF a remplacé un module ; mais par quoi a-t-il remplacé ce module et à quoi sert-il ?
Les relais de préavis et d'asservissement est désormais inactif et inutile. Mais vous précisez "...Il est bien alimenté" ; qu'entendez vous par là ?
Quelques idées ci-dessous.
Si le compteur est électromécanique, l'agent a peut-être remplacé le module EJP par un relais 175 Hz qui comporte un contact se fermant en HC.
Si le compteur est électronique, celui-ci comporte un contact interne désigné par C1 C2 au comportement analogue (se ferme en HC). Dans les deux cas le contact est utilisé pour la commande du contacteur de chauffe-eau. Le schéma de commande est disponible un peu partout sur le forum. On ne remplace pas le contacteur.
A suivre, avec quelques précisions.
Attendons également d'autres avis.
06 décembre 2012 à 12:14

Bien reçu Renaissance.
Tous les points de vue sont bienvenus, à condition qu'ils soient justifiés, documentés et constructifs, courtois dans la rédaction et sans jugement de valeur.
Au risque de me répéter, "ma version" comporte 3 possibilités :
La première avec le condensateur, inutile d'y revenir, c'est, comme vous dites, "jambe de bois". Cela a été écrit dans la première contribution et ce n'est pas "ma solution" et encore moins "la solution" ; mais soudain vous me faites douter, je vais relire derechef.
La deuxième qui permet de conserver toutes propriétés du moteur tout en pouvant alimenter la machine en monophasé est la mise en œuvre d'un petit variateur de fréquence (fonctionnant dans ce cas à fréquence fixe 50 Hz). Rappelons que celui-ci se branche directement sur une ligne secteur protégée, et que les 3 phases du stator se connectent en sortie du variateur, la commande arrêt marche se fait sur le panneau de commande du variateur. Cette adaptation est à la portée d'un bricoleur expérimenté. Mais se posera la coupure automatique du moteur quand la pression sera atteinte, et là il vaut être proche du métier.
La troisième consiste à trouver un compresseur fonctionnant en monophasé, à la portée de n'importe quel bricoleur.
Mais assimiler YD à série parallèle au titre de la vulgarisation est un peu hâtif.
"Maintenant c'est peut-être ce que vous voulez." Hors sujet par rapport à la question initiale de Warrol.
Mais on aimerait que Warrol nous donne son point de vue. Car le but du projet est de faire de l'air comprimé à partir d'une alimentation monophasée 230 V.
Cordialement.
Tous les points de vue sont bienvenus, à condition qu'ils soient justifiés, documentés et constructifs, courtois dans la rédaction et sans jugement de valeur.
Au risque de me répéter, "ma version" comporte 3 possibilités :
La première avec le condensateur, inutile d'y revenir, c'est, comme vous dites, "jambe de bois". Cela a été écrit dans la première contribution et ce n'est pas "ma solution" et encore moins "la solution" ; mais soudain vous me faites douter, je vais relire derechef.
La deuxième qui permet de conserver toutes propriétés du moteur tout en pouvant alimenter la machine en monophasé est la mise en œuvre d'un petit variateur de fréquence (fonctionnant dans ce cas à fréquence fixe 50 Hz). Rappelons que celui-ci se branche directement sur une ligne secteur protégée, et que les 3 phases du stator se connectent en sortie du variateur, la commande arrêt marche se fait sur le panneau de commande du variateur. Cette adaptation est à la portée d'un bricoleur expérimenté. Mais se posera la coupure automatique du moteur quand la pression sera atteinte, et là il vaut être proche du métier.
La troisième consiste à trouver un compresseur fonctionnant en monophasé, à la portée de n'importe quel bricoleur.
Mais assimiler YD à série parallèle au titre de la vulgarisation est un peu hâtif.
"Maintenant c'est peut-être ce que vous voulez." Hors sujet par rapport à la question initiale de Warrol.
Mais on aimerait que Warrol nous donne son point de vue. Car le but du projet est de faire de l'air comprimé à partir d'une alimentation monophasée 230 V.
Cordialement.
05 décembre 2012 à 22:04

Bien reçu Renaissance.
De quelle "jambe de bois" s'agit-il ?
La seule solution correcte et réaliste dans le cas de Warrol (où son réseau est supposé monophasé 230 V bien qu'il ne le dise pas franchement) est celle du variateur de fréquence alimenté en monophasé. Et c'est loin d'être de la "jambe de bois". Tout dépend de l'usage de la machine et de la somme que Warrol est prêt à mettre dans la rénovation.
On ne peut développer ici la technologie des variateurs de fréquence MLI.
La vraie "jambe de bois" serait celle du condensateur additionnel et c'est bien à oublier, tel que cela est précisé dans mon post.
Warrol ne précise pas si l'usage est professionnel ou non. On peut pencher pour un usage amateur.
Attention au vocabulaire, on ne simplifie jamais ainsi la description des couplages en triphasé :
Attendons d'autres précisions.
Cordialement.
Citation :
Maintenant il vous reste la possibilité avec la solution de GL, bien que je n'aime pas perso ces procédés à "jambe de bois"
De quelle "jambe de bois" s'agit-il ?
La seule solution correcte et réaliste dans le cas de Warrol (où son réseau est supposé monophasé 230 V bien qu'il ne le dise pas franchement) est celle du variateur de fréquence alimenté en monophasé. Et c'est loin d'être de la "jambe de bois". Tout dépend de l'usage de la machine et de la somme que Warrol est prêt à mettre dans la rénovation.
On ne peut développer ici la technologie des variateurs de fréquence MLI.
La vraie "jambe de bois" serait celle du condensateur additionnel et c'est bien à oublier, tel que cela est précisé dans mon post.
Warrol ne précise pas si l'usage est professionnel ou non. On peut pencher pour un usage amateur.
Attention au vocabulaire, on ne simplifie jamais ainsi la description des couplages en triphasé :
Citation :Les couplages sont étoile ou triangle ; point.
les coupler soit en série (étoile), soit en parallèle (triangle).
Attendons d'autres précisions.
Cordialement.
05 décembre 2012 à 11:05

Bonjour. En parcourant le forum vous avez dû voir que dans certains cas on pouvait faire fonctionner un moteur triphasé en mono par l'ajout d'un condensateur. Cela est un pis-aller qui peut permettre au moteur de tourner, mais avec un couple utile bien moindre, ce qui ne convient pas du tout pour votre compresseur.
Le seul moyen, si le compresseur n'est pas trop puissant, est d'alimenter ce moteur par l'intermédiaire d'un variateur de fréquence qui, alimenté en monophasé 230 V, délivrera des tensions triphasées de 230 V tout en conservant les caractéristiques nominales du moteur (il faut qu'il soit triphasé 220/380V afin de le coupler en triangle). Jusqu'à 2 kW on trouve des variateurs de prix abordable.
Mais la solution la plus simple serait de motoriser ce compresseur avec un moteur monophasé un peu surdimensionné.
Il est nécessaire d'être du métier pour faire les modifications mécaniques et électriques.
Vous pouvez aussi opter pour la revente de ce compresseur pour en acquérir un motorisé en monophasé. Pour un usage amateur occasionnel, c'est une possibilité. Pour un professionnel il faut rester en triphasé.
Le seul moyen, si le compresseur n'est pas trop puissant, est d'alimenter ce moteur par l'intermédiaire d'un variateur de fréquence qui, alimenté en monophasé 230 V, délivrera des tensions triphasées de 230 V tout en conservant les caractéristiques nominales du moteur (il faut qu'il soit triphasé 220/380V afin de le coupler en triangle). Jusqu'à 2 kW on trouve des variateurs de prix abordable.
Mais la solution la plus simple serait de motoriser ce compresseur avec un moteur monophasé un peu surdimensionné.
Il est nécessaire d'être du métier pour faire les modifications mécaniques et électriques.
Vous pouvez aussi opter pour la revente de ce compresseur pour en acquérir un motorisé en monophasé. Pour un usage amateur occasionnel, c'est une possibilité. Pour un professionnel il faut rester en triphasé.
05 décembre 2012 à 09:47

Bien reçu Blaila. La bonne nouvelle du jour est que votre habitat dispose d'une ligne 32 A dédiée à une plaque de cuisson. L'utilisation de cette ligne pour le four vous tranquilliserait et permettrait même d'y brancher un super four (voire en dédoublant cette ligne, une plaque de cuisson).
Le tableau dispose de 2 lignes lumière protégées par (DJ ? Fusible ?) 10 ampères (10 A), 3 lignes PC (16 A), une ligne lave-linge (20 A) et une ligne plaque de cuisson (32 A).
Une question avant de passer à autre chose : comment cuisinez vous ce qui ne va pas dans le four ?
Conclusion : nous espérons vous avoir apporté quelques connaissances en électricité. Pour le débouchage des siphons et les problèmes de chauffe-eau on sait faire aussi.
Le tableau dispose de 2 lignes lumière protégées par (DJ ? Fusible ?) 10 ampères (10 A), 3 lignes PC (16 A), une ligne lave-linge (20 A) et une ligne plaque de cuisson (32 A).
Une question avant de passer à autre chose : comment cuisinez vous ce qui ne va pas dans le four ?
Conclusion : nous espérons vous avoir apporté quelques connaissances en électricité. Pour le débouchage des siphons et les problèmes de chauffe-eau on sait faire aussi.
05 décembre 2012 à 09:33

Bien reçu Boubinou. Comme précisé précédemment, le secondaire n'est pas capable de débiter cette intensité.
D'autre part, on a coutume de dire qu'il faut, dans ce genre de filtrage, environ 1 000 µF/A. Il va falloir une brouette, sans compter qu'à la mise sous tension la capacité est équivalente à un court-circuit.
Votre projet est irréaliste. Quant au montage pont de Graetz ou PD2, il est partout sur le net.
Rien ne vous empêche d'essayer. Avec au minimum un oscilloscope et un multimètre. Sans condensateur.
D'autre part, on a coutume de dire qu'il faut, dans ce genre de filtrage, environ 1 000 µF/A. Il va falloir une brouette, sans compter qu'à la mise sous tension la capacité est équivalente à un court-circuit.
Votre projet est irréaliste. Quant au montage pont de Graetz ou PD2, il est partout sur le net.
Rien ne vous empêche d'essayer. Avec au minimum un oscilloscope et un multimètre. Sans condensateur.
04 décembre 2012 à 22:49

Bonjour Nimo. Il faudrait connaitre la puissance souscrite disponible (il faudrait au minimum 24 à 30 kVA en triphasé). Donc l'intensité en ligne nominale disponible.
Abaisser la tension composée (donc entre phases) avec un transformateur semble d'ores et déjà compromis, il faudrait un transformateur monophasé de puissance voisine de 10 kVA (à la louche) et cela est énorme, très lourd, et très cher. Sans compter que l'installation serait déséquilibrée.
Inutile d'aller plus loin. Désolé, la technologie a ses limites.
Par curiosité, quelle est cette machine à l'alimentation monophasée gourmande ? Comment était-elle alimentée dans une vie antérieure ?
Un autre contributeur aura peut-être une idée géniale.
Abaisser la tension composée (donc entre phases) avec un transformateur semble d'ores et déjà compromis, il faudrait un transformateur monophasé de puissance voisine de 10 kVA (à la louche) et cela est énorme, très lourd, et très cher. Sans compter que l'installation serait déséquilibrée.
Inutile d'aller plus loin. Désolé, la technologie a ses limites.
Par curiosité, quelle est cette machine à l'alimentation monophasée gourmande ? Comment était-elle alimentée dans une vie antérieure ?
Un autre contributeur aura peut-être une idée géniale.
04 décembre 2012 à 18:23

Bien reçu Boubinou. Eh oui, vu la taille, la puissance nominale du transformateur ne doit guère excéder 200 voire 300 VA. Donc sous dimensionnée pour l'usage souhaité.
A vous lire on peut comprendre que ce transformateur équipait le chargeur de batteries dont la capacité unitaire s'exprime en Ah et n'a rien à voir avec le transformateur.
L'ordre de grandeur de l'intensité nominale est donnée par Bob. Personnellement, je donnerais moins.
Quant aux moteurs à courant continu vous ne dites rien sur leur type d'excitation, et cela a une certaine importance : Inducteur à aimant permanent, à inducteur série (adapté pour la traction), excitation shunt (peu probable).
A vous lire on peut comprendre que ce transformateur équipait le chargeur de batteries dont la capacité unitaire s'exprime en Ah et n'a rien à voir avec le transformateur.
L'ordre de grandeur de l'intensité nominale est donnée par Bob. Personnellement, je donnerais moins.
Quant aux moteurs à courant continu vous ne dites rien sur leur type d'excitation, et cela a une certaine importance : Inducteur à aimant permanent, à inducteur série (adapté pour la traction), excitation shunt (peu probable).
04 décembre 2012 à 18:10

Bonjour. C'est toujours possible, mais vous n'aurez pas 33 V CC en sortie, mais un petit 29 V à vide (valeur moyenne) et moins en charge ; il ne faut pas non plus compter mettre des capacités pour filtrer. Avec un pont de Graetz PD2, donc à 4 diodes, vous obtiendrez une tension redressée double alternance. Il faut dimensionner les diodes en conséquences, les monter sur radiateur, et les protéger par fusible ultra rapide.
Vous ne dites rien sur la puissance du transformateur ni sur l'usage prévu du montage.
Vous ne dites rien sur la puissance du transformateur ni sur l'usage prévu du montage.
04 décembre 2012 à 14:45

Bonjour CMT. Conclusion pour Blaila : il faut voir. Elle apportera peut-être quelques précisions d'ici quelques temps. Il lui faut regarder de près le circuit de prises et la protection au tableau de répartition.
04 décembre 2012 à 13:57

Bien reçu. La PC est de toute façon du type 16 A, c'est ainsi (on dit PC 2P + T 16 A). Ce qu'il faut voir, c'est le calibre de la protection en amont. DJ 16 A vous êtes limitée à 3 600 W, et 20 A 4 600 W. Et si la ligne est de section 2,5 mm², ce que l'on suppose, on peut substituer un DJ 20 A à un 16, sans aucune incidence sur quoi que ce soit ni danger supplémentaire.
Choisissez un bon four, même le 3 650 W. Et les yeux fermés.
Choisissez un bon four, même le 3 650 W. Et les yeux fermés.
04 décembre 2012 à 04:46

Bonjour Blaila.
C'est simple, vous croyez les contributeurs du forum.
Donc pour un four prise 16 A classique protégée par DJ 20 A maximum (soit 4,6 kW). Bien qu'elle ne soit pas dédiée elle conviendra si sa section est bien 2,5 mm². Il faudra éviter d'utiliser une multiprise au bout d'un câble. Mais cette ligne est déjà bien chargée, sauf si le minifour est à l'arrêt. Le micro-onde fait 1 kW au plus.
Pour une plaque, 32 A avec section de 6 mm².
Pour le choix du four, vous faites au mieux, sachant que la pyrolyse est un plus appréciable, avec la chaleur tournante.
Mais le passage d'une ligne dédiée aurait été préférable, pareil pour lave-vaisselle. En attendant, ce sera four ou minifour avec ses plaques, mais pas les deux en même temps sous risque de disjonction par surintensité.
Conclusion : Vous devez passer à terme une ligne supplémentaire en 6 mm² qui faciliterait l'usage de ces appareils de cuisson.
Citation :
Je ne sais donc plus qui croire aussi je compte sur votre aide
C'est simple, vous croyez les contributeurs du forum.
Donc pour un four prise 16 A classique protégée par DJ 20 A maximum (soit 4,6 kW). Bien qu'elle ne soit pas dédiée elle conviendra si sa section est bien 2,5 mm². Il faudra éviter d'utiliser une multiprise au bout d'un câble. Mais cette ligne est déjà bien chargée, sauf si le minifour est à l'arrêt. Le micro-onde fait 1 kW au plus.
Pour une plaque, 32 A avec section de 6 mm².
Pour le choix du four, vous faites au mieux, sachant que la pyrolyse est un plus appréciable, avec la chaleur tournante.
Mais le passage d'une ligne dédiée aurait été préférable, pareil pour lave-vaisselle. En attendant, ce sera four ou minifour avec ses plaques, mais pas les deux en même temps sous risque de disjonction par surintensité.
Conclusion : Vous devez passer à terme une ligne supplémentaire en 6 mm² qui faciliterait l'usage de ces appareils de cuisson.
04 décembre 2012 à 00:05

Bonjour Ppiou. Votre thermostat n'est pas adapté à la commande d'un fil pilote.
Pour programmer les périodes horaires correspondant à la température confort ou éco, il faut passer par un programmateur. La température confort est réglée directement sur le radiateur.
Celui ci peut être interne au radiateur s'il est prévu par construction. Dans le cas contraire, il faudra passer par un programmateur déporté commandant directement le fil pilote, ou bien par courants porteurs ou radio si le fil pilote n'est pas passé au voisinage du tableau de distribution.
La solution la plus simple est de faire le réglage à la main. Les aménagements ci dessus ont un cout non négligeable.
Pour programmer les périodes horaires correspondant à la température confort ou éco, il faut passer par un programmateur. La température confort est réglée directement sur le radiateur.
Celui ci peut être interne au radiateur s'il est prévu par construction. Dans le cas contraire, il faudra passer par un programmateur déporté commandant directement le fil pilote, ou bien par courants porteurs ou radio si le fil pilote n'est pas passé au voisinage du tableau de distribution.
La solution la plus simple est de faire le réglage à la main. Les aménagements ci dessus ont un cout non négligeable.
03 décembre 2012 à 22:50

Bonjour. Le plus simple et le moins cher serait de faire intervenir un ami expérimenté. Il y a 20 minutes de travail en comptant large.
03 décembre 2012 à 12:12

Bonjour. Pourquoi pas, mais à condition de ne pas dépasser l'intensité nominale du circuit, 20 A maximum. Par prudence, vous limitez la puissance tirée sur cette prise à 1 kW. Mais si vous apportez des précisions on pourra faire au mieux.
On ne fait pas de branchement série au sens propre, mais parallèle. Il semble que vous fassiez un montage en cascade, ce qui revient au même.
On ne fait pas de branchement série au sens propre, mais parallèle. Il semble que vous fassiez un montage en cascade, ce qui revient au même.
03 décembre 2012 à 08:50

Bonjour SL. Qu'est-ce qu'un PVC ?
La seule solution valable est celle décrite par Bob.
La seule solution valable est celle décrite par Bob.
03 décembre 2012 à 08:45

Bien reçu. Si vous n'êtes pas du métier cela ne va pas être facile.
Pour une pompe il faudrait un BP marche, un BP arrêt, un contacteur (avec un contact auxiliaire pour l'automaintien) avec son relais de contrôle thermique tri branché en mono, un disjoncteur moteur, un disjoncteur pour la protection du circuit de commande (24 V ou plus ?).
Pour les condensateurs, je ne vois pas pourquoi il faudrait faire une commutation, sauf s'il faut brancher sur l'une des pompes un condensateur pour le démarrage (référez vous à la notice du moteur). Vous ne dites rien sur la puissance de ces pompes, ni leur usage, ni le milieu dans lequel elles fonctionnent.
Il serait prudent de confier la réalisation de cet équipement à un électricien de métier dans votre environnement professionnel, qui en plus pourrait vous montrer la façon de faire.
Vous pouvez vous inspirer du premier schéma de ce document pédagogique : Demarrage direct des mas.pdf
Pour une pompe il faudrait un BP marche, un BP arrêt, un contacteur (avec un contact auxiliaire pour l'automaintien) avec son relais de contrôle thermique tri branché en mono, un disjoncteur moteur, un disjoncteur pour la protection du circuit de commande (24 V ou plus ?).
Pour les condensateurs, je ne vois pas pourquoi il faudrait faire une commutation, sauf s'il faut brancher sur l'une des pompes un condensateur pour le démarrage (référez vous à la notice du moteur). Vous ne dites rien sur la puissance de ces pompes, ni leur usage, ni le milieu dans lequel elles fonctionnent.
Il serait prudent de confier la réalisation de cet équipement à un électricien de métier dans votre environnement professionnel, qui en plus pourrait vous montrer la façon de faire.
Vous pouvez vous inspirer du premier schéma de ce document pédagogique : Demarrage direct des mas.pdf
02 décembre 2012 à 20:39

Bonjour Cozodq.
Bob a réalisé le schéma qu'il vous faut en question 1353.
La référence 04771 est remplacée par LEG412641.
Mais il n'est pas certain qu'en 4 h 30 la température de l'eau (300 litres) puisse retrouver sa valeur nominale.
Bob a réalisé le schéma qu'il vous faut en question 1353.
La référence 04771 est remplacée par LEG412641.
Mais il n'est pas certain qu'en 4 h 30 la température de l'eau (300 litres) puisse retrouver sa valeur nominale.
02 décembre 2012 à 19:38

Bien reçu. Réponse en fin de soirée. Mais il faudrait préciser le rôle des condensateurs.
02 décembre 2012 à 14:10

Bien reçu Mike. Donc ces radiateurs sont bien branchés sur leur ligne spécifique.
Vous allez donc utiliser le fil pilote pour commander le chauffage (voir question 2998 et bien d'autres qui rappellent le fonctionnement du mode 4 ordres à fil pilote).
Le problème avec le thermostat en votre possession est que vous ne pouvez que commander le mode confort et éco. Avec une diode, vous pourriez commander les modes arrêt et confort, bref, seulement deux ordres pour l'ensemble des 3 radiateurs.
Dans votre cas, il eut été préférable de commander ces radiateurs avec un petit programmateur, une ou deux zones, ce qui vous aurait permis 4 ordres sans difficulté et avec souplesse.
Le thermostat en votre possession commande normalement une chaudière ou une résille chauffante, mais pas un système à fil pilote.
Le branchement pour la puissance est le bon raccordement phase neutre comme vous l'avez fait dans les sorties de câble.
Ensuite, le programmateur applique une tension entre le fil pilote et le neutre (de l'alimentation du radiateur) . Avant de faire le câblage, prenez connaissance du fonctionnement du système de programmation à fil pilote ; ensuite, vous pourrez opter pour un programmateur vous permettant davantage de souplesse de programmation, par zones si vous voulez, ce que ne vous permet pas un simple contact on off. Puis revendre le thermostat.
A la limite le contact on off commute la phase, mais pas le neutre. Pour l'instant, on ne développe pas cette solution qui n'est pas la meilleure.
D'autres avis ne vont pas manquer de vous être fournis.
Vous allez donc utiliser le fil pilote pour commander le chauffage (voir question 2998 et bien d'autres qui rappellent le fonctionnement du mode 4 ordres à fil pilote).
Le problème avec le thermostat en votre possession est que vous ne pouvez que commander le mode confort et éco. Avec une diode, vous pourriez commander les modes arrêt et confort, bref, seulement deux ordres pour l'ensemble des 3 radiateurs.
Dans votre cas, il eut été préférable de commander ces radiateurs avec un petit programmateur, une ou deux zones, ce qui vous aurait permis 4 ordres sans difficulté et avec souplesse.
Le thermostat en votre possession commande normalement une chaudière ou une résille chauffante, mais pas un système à fil pilote.
Le branchement pour la puissance est le bon raccordement phase neutre comme vous l'avez fait dans les sorties de câble.
Ensuite, le programmateur applique une tension entre le fil pilote et le neutre (de l'alimentation du radiateur) . Avant de faire le câblage, prenez connaissance du fonctionnement du système de programmation à fil pilote ; ensuite, vous pourrez opter pour un programmateur vous permettant davantage de souplesse de programmation, par zones si vous voulez, ce que ne vous permet pas un simple contact on off. Puis revendre le thermostat.
A la limite le contact on off commute la phase, mais pas le neutre. Pour l'instant, on ne développe pas cette solution qui n'est pas la meilleure.
D'autres avis ne vont pas manquer de vous être fournis.
02 décembre 2012 à 14:09

Bonjour Cowper. On peut penser que la batterie est en fin de vie. Vous pouvez essayer avec une batterie neuve, ou celle d'une auto en fils volants.
Ne restera ensuite qu'à approvisionner une batterie neuve. On peut trouver cela en vente par correspondance.
La chute de tension de la batterie est due à sa résistance interne forte en fin de vie, sans compter que la batterie ne tient plus la charge. Il n'y a rien à faire.
Ne restera ensuite qu'à approvisionner une batterie neuve. On peut trouver cela en vente par correspondance.
La chute de tension de la batterie est due à sa résistance interne forte en fin de vie, sans compter que la batterie ne tient plus la charge. Il n'y a rien à faire.
02 décembre 2012 à 10:19

Bonjour Mike. Indépendamment des problèmes de connexion, on peut se demander pourquoi vous semblez vouloir commander ce radiateur en tout ou rien par un thermostat (donc avec contact comme un interrupteur) alors que ce radiateur doit être muni d'un thermostat interne, probablement à commande électronique globalement non tout ou rien.
Mais peut-être ce thermostat n'est-il qu’électromécanique si le radiateur est de premier prix. Donc à préciser.
De même, ce radiateur est-il un modèle fixe ou d'appoint mobile (les règles d'alimentation ne sont pas les mêmes) ?
Autre élément à prendre en compte si le radiateur est alimenté en tout ou rien avec le contact du thermostat : le pouvoir de coupure de ce contact, certainement réduit et ne permettant pas de commuter la puissance du radiateur.
Avant de mettre en service ce thermostat, il faudrait voir si vous avez fait le bon choix technologique après avoir apporté quelques précisions. Les contributeurs vous guideront alors au mieux.
Cordialement.
Mais peut-être ce thermostat n'est-il qu’électromécanique si le radiateur est de premier prix. Donc à préciser.
De même, ce radiateur est-il un modèle fixe ou d'appoint mobile (les règles d'alimentation ne sont pas les mêmes) ?
Autre élément à prendre en compte si le radiateur est alimenté en tout ou rien avec le contact du thermostat : le pouvoir de coupure de ce contact, certainement réduit et ne permettant pas de commuter la puissance du radiateur.
Avant de mettre en service ce thermostat, il faudrait voir si vous avez fait le bon choix technologique après avoir apporté quelques précisions. Les contributeurs vous guideront alors au mieux.
Cordialement.
02 décembre 2012 à 10:14

Bonjour Arry. S'agit-il d'un exercice d'école ? Si cela est le cas, vous devez chercher vous même à partir des exemples donnés en classe.
Par contre, dans vos données, les condensateurs n'ont aucune importance, vous avez accès seulement au bornier de chaque moto-pompe, et peu importe le branchement des condensateurs et leur valeur (mais ces valeurs semblent énormes par rapport aux valeurs usuelles de quelques dizaines de microfarads).
Reste à câbler une boite à boutons et un ou deux contacteurs, sans oublier les protections et le relais de contrôle moteur.
Par contre, dans vos données, les condensateurs n'ont aucune importance, vous avez accès seulement au bornier de chaque moto-pompe, et peu importe le branchement des condensateurs et leur valeur (mais ces valeurs semblent énormes par rapport aux valeurs usuelles de quelques dizaines de microfarads).
Reste à câbler une boite à boutons et un ou deux contacteurs, sans oublier les protections et le relais de contrôle moteur.
02 décembre 2012 à 09:52

Bonjour. Apparemment ce problème n'a pas été rencontré par les contributeurs habituels du forum. Vous même, si vous avez déjà installé ce type de matériels, avez vous constaté de tels dysfonctionnements ?
Ces tubes sont-ils alimentés par des ballasts électroniques HF ? Et si cela est la cas, sont-ils reliés à un système de commande à distance ?
La documentation précise que ce sont des tubes relativement classiques dimmables.
Ces tubes sont-ils alimentés par des ballasts électroniques HF ? Et si cela est la cas, sont-ils reliés à un système de commande à distance ?
La documentation précise que ce sont des tubes relativement classiques dimmables.
30 novembre 2012 à 11:51

Bonsoir Kiki. Un schéma est proposé en question 1353. Valable pour toutes les marques d'horloges et contacteurs.
30 novembre 2012 à 00:35

Bonjour réponse 4. En regardant le schéma de Bob, vous constatez que le cumulus ne peut chauffer si le contacteur n'est pas commandé.
La disponibilité d'eau chaude implique une durée de chauffage suffisante, donc contacteur fermé.
Vos observations doivent être affinées.
La disponibilité d'eau chaude implique une durée de chauffage suffisante, donc contacteur fermé.
Vos observations doivent être affinées.
28 novembre 2012 à 21:12

Bonjour. Abordons tout de suite le problème de la recharge.
Si l'on met une diode en série avec le + de la batterie par exemple, la recharge ne pourra se faire. Suivant le courant débité il faudra refroidir cette diode suffisamment dimensionnée, sans compter la chute de tension qui diminuera d'autant la tension disponible.
L'usage est de mettre en parallèle des batteries identiques et en bon état toutes les deux, afin que les intensités soient réparties à égalité. Mais en général, on ne met pas de batteries en parallèle. Ce serait juste pour accroitre la capacité et d'augmenter le courant pointe disponible en cas de surcharge très temporaire. Pas une bonne idée.
Question : pour quel usage envisagez vous ce type de montage ?
Si l'on met une diode en série avec le + de la batterie par exemple, la recharge ne pourra se faire. Suivant le courant débité il faudra refroidir cette diode suffisamment dimensionnée, sans compter la chute de tension qui diminuera d'autant la tension disponible.
L'usage est de mettre en parallèle des batteries identiques et en bon état toutes les deux, afin que les intensités soient réparties à égalité. Mais en général, on ne met pas de batteries en parallèle. Ce serait juste pour accroitre la capacité et d'augmenter le courant pointe disponible en cas de surcharge très temporaire. Pas une bonne idée.
Question : pour quel usage envisagez vous ce type de montage ?
28 novembre 2012 à 21:03

Bonsoir Jeangelique. Merci pour le retour;
C'était bien un problème du ressort de ERDF, mais pas celui auquel on pense en premier.
Ce sera donc bon à savoir.
Essayez de retrouver un 430. Bientôt, plus personne ne saura ce qu'est un galvanomètre magnétoélectrique.
C'était bien un problème du ressort de ERDF, mais pas celui auquel on pense en premier.
Ce sera donc bon à savoir.
Essayez de retrouver un 430. Bientôt, plus personne ne saura ce qu'est un galvanomètre magnétoélectrique.
28 novembre 2012 à 20:29

Bonsoir Cimous.
C'est bizarre que ce récepteur, non muni de prise de terre, fasse déclencher un différentiel. Il faut autopsier la prise, peut-être défectueuse depuis longtemps avec un défaut d'isolement sporadique (vibrations ?).
Sinon, pour d'autres aventures, les forums sont là.
Citation :
...lorsque j'avais branché une brosse à dent électrique sur la PC
C'est bizarre que ce récepteur, non muni de prise de terre, fasse déclencher un différentiel. Il faut autopsier la prise, peut-être défectueuse depuis longtemps avec un défaut d'isolement sporadique (vibrations ?).
Sinon, pour d'autres aventures, les forums sont là.
28 novembre 2012 à 19:36

Bonjour.
Non. Les lampes sont connectées en parallèle. Il s'opère une sélection naturelle. Certaines lampes sont plus fiables que d'autres.
Autrement dit : c'est la faute à pas de chance.
Citation :
La faible section des fils montés sur les lustres peut-elle avoir une influence ?
Non. Les lampes sont connectées en parallèle. Il s'opère une sélection naturelle. Certaines lampes sont plus fiables que d'autres.
Autrement dit : c'est la faute à pas de chance.
28 novembre 2012 à 15:26

Bonjour Alain. Si la 7,5 Ah se loge sans problème, vous pouvez la substituer à la batterie de capacité de 5,5 Ah. A condition que les deux modèles soient de même technologie.
27 novembre 2012 à 18:38

Bonjour Bobo. Vous trouverez ce schéma un peu partout sur le forum en utilisant le moteur de recherche (branchement télérupteur), et notamment en question 3688.
Il suffit juste de remplacer la lampe commandée par l'entrée 230 V du convertisseur ou transformateur.
Les lampes sont bien évidemment branchées sur la sortie 12 V.
La seule condition à respecter est de ne pas dépasser la puissance utile maximum du convertisseur.
Il suffit juste de remplacer la lampe commandée par l'entrée 230 V du convertisseur ou transformateur.
Les lampes sont bien évidemment branchées sur la sortie 12 V.
La seule condition à respecter est de ne pas dépasser la puissance utile maximum du convertisseur.
25 novembre 2012 à 20:45

Bien reçu Amourmystique,
"Je fais déjà mes branchements de lampes et j'en suis fière ! " Eh bien, c'est un bon début.
Cordialement
"Je fais déjà mes branchements de lampes et j'en suis fière ! " Eh bien, c'est un bon début.
Cordialement
23 novembre 2012 à 08:20

Bonsoir Amourmystique.
Ne vous en faites pas. Soyons sereins. Il est vrai que les circuits d'alimentation de radiateurs fixes sont spécifiques (la norme l'impose et nous le rappelons régulièrement) et qu'il n'est pas dans l'usage d'y brancher d'autres récepteurs. Quand bien même on le ferait, il n'y aurait aucun danger pour eux ni pour les conducteurs, même pour des PC qui méritent juste une tension correcte pour fonctionner, sans plus de respect que cela. Mais on ne bricole pas.
Le plus simple dans votre cas est alors de brancher un prolongateur à partir d'une prise de courant existante.
Si vous êtes dans vos murs il faudra songer à faire un montage fixe ; le provisoire peut durer longtemps.
Cordialement.
Ne vous en faites pas. Soyons sereins. Il est vrai que les circuits d'alimentation de radiateurs fixes sont spécifiques (la norme l'impose et nous le rappelons régulièrement) et qu'il n'est pas dans l'usage d'y brancher d'autres récepteurs. Quand bien même on le ferait, il n'y aurait aucun danger pour eux ni pour les conducteurs, même pour des PC qui méritent juste une tension correcte pour fonctionner, sans plus de respect que cela. Mais on ne bricole pas.
Le plus simple dans votre cas est alors de brancher un prolongateur à partir d'une prise de courant existante.
Si vous êtes dans vos murs il faudra songer à faire un montage fixe ; le provisoire peut durer longtemps.
Cordialement.
22 novembre 2012 à 22:32

Bonjour,
"Les Installations Classées pour la Protection de l’Environnement dites "ICPE" sont des sites industriels, tertiaires ou agricoles (usine de production, de traitement eau, ateliers, bâtiments de stockage, hôpitaux…) susceptibles de présenter des risques ou de générer de la pollution ou des nuisances pour les riverains en matière de santé publique, de patrimoine et d’environnement."
Cet extrait d'un document Soulé & Hélita signifie que le risque foudre de n'importe quelle installation doit être évalué, que ce soit pour la protection foudre et surtension des bâtiments, du patrimoine, des machines, etc.
On peut comprendre que le niveau kéraunique est un paramètre parmi beaucoup d'autres à prendre en compte dans l'étude, la première étant la classification du site.
Pour les particuliers et les petites installations l'étude préalable et la mise en œuvre des protections est nettement plus simple, et semble à portée d'un bon technicien dûment formé.
Pour les ICPE l'étude doit être confiée à des sociétés dont c'est le métier, à même de synthétiser la nombreuse réglementation et de proposer les solutions, dont on peut trouver un résumé dans le Guide UTE C17-108 : protection contre la foudre, analyse simplifiée
Il ne reste plus qu'à acquérir la documentation et assimiler cet aspect particulier et non moins passionnant du métier.
On peut trouver des renseignements généraux sur ce document ABB Soulé & Hélita
abb.fr/product ap seitp329
"Les Installations Classées pour la Protection de l’Environnement dites "ICPE" sont des sites industriels, tertiaires ou agricoles (usine de production, de traitement eau, ateliers, bâtiments de stockage, hôpitaux…) susceptibles de présenter des risques ou de générer de la pollution ou des nuisances pour les riverains en matière de santé publique, de patrimoine et d’environnement."
Cet extrait d'un document Soulé & Hélita signifie que le risque foudre de n'importe quelle installation doit être évalué, que ce soit pour la protection foudre et surtension des bâtiments, du patrimoine, des machines, etc.
On peut comprendre que le niveau kéraunique est un paramètre parmi beaucoup d'autres à prendre en compte dans l'étude, la première étant la classification du site.
Pour les particuliers et les petites installations l'étude préalable et la mise en œuvre des protections est nettement plus simple, et semble à portée d'un bon technicien dûment formé.
Pour les ICPE l'étude doit être confiée à des sociétés dont c'est le métier, à même de synthétiser la nombreuse réglementation et de proposer les solutions, dont on peut trouver un résumé dans le Guide UTE C17-108 : protection contre la foudre, analyse simplifiée
Il ne reste plus qu'à acquérir la documentation et assimiler cet aspect particulier et non moins passionnant du métier.
On peut trouver des renseignements généraux sur ce document ABB Soulé & Hélita
abb.fr/product ap seitp329
22 novembre 2012 à 07:52

Bien reçu. Dans le schéma équivalent de la mesure les terres en parallèle sont négligeables par rapport à la terre locale qui fait l'objet de la mesure.
On peut souhaiter que la méthode des piquets, dite des 62 %, donne le même résultat que la mesure indirecte avec le testeur de boucle à quelques % près.
Ce serait effectivement un essai à effectuer. Mais il faut disposer des deux appareils et d'un habitat avec jardin. On peut faire confiance aux concepteurs.
Mais pour une question de rapidité de mise en œuvre le CA 6412 est un excellent appareil. Il faut que le conducteur enserré soit centré. On peut comprendre pourquoi (encore un TP à faire).
Pour la gamme de résistance de boucle qui nous intéresse, de 50 à 100 ohms Chauvin Arnoux annonce une précision de ± 2% ± la résolution de 0,5 ohm. Et évidemment moins pour la gamme 1 à 50 ohms : ± 1,5 % ± la résolution de 0,1 ohm.
On peut souhaiter que la méthode des piquets, dite des 62 %, donne le même résultat que la mesure indirecte avec le testeur de boucle à quelques % près.
Ce serait effectivement un essai à effectuer. Mais il faut disposer des deux appareils et d'un habitat avec jardin. On peut faire confiance aux concepteurs.
Mais pour une question de rapidité de mise en œuvre le CA 6412 est un excellent appareil. Il faut que le conducteur enserré soit centré. On peut comprendre pourquoi (encore un TP à faire).
Pour la gamme de résistance de boucle qui nous intéresse, de 50 à 100 ohms Chauvin Arnoux annonce une précision de ± 2% ± la résolution de 0,5 ohm. Et évidemment moins pour la gamme 1 à 50 ohms : ± 1,5 % ± la résolution de 0,1 ohm.
20 novembre 2012 à 14:11

Bonjour Zav. Certains récepteurs sont peut-être multi-tensions, mais pas ceux que vous citez.
Une solution possible lourde et encombrante consiste à utiliser un ou plusieurs autotransformateurs de bonne taille 230/110 V dont l'approvisionnement n'est pas des plus aisés. On n'est pas à 10 Hz près.
Mais la solution la plus simple est tout vendre aux USA et d'approvisionner du matériel neuf en France.
Dans le cas contraire vous vous retrouvez au dos des appareils avec des masses de quelques kilogrammes de transformateurs, plus ou moins bruyants.
Une solution possible lourde et encombrante consiste à utiliser un ou plusieurs autotransformateurs de bonne taille 230/110 V dont l'approvisionnement n'est pas des plus aisés. On n'est pas à 10 Hz près.
Mais la solution la plus simple est tout vendre aux USA et d'approvisionner du matériel neuf en France.
Dans le cas contraire vous vous retrouvez au dos des appareils avec des masses de quelques kilogrammes de transformateurs, plus ou moins bruyants.
20 novembre 2012 à 09:51

Bonjour. Le tore se monte en sortie du DJ de branchement.
L'appareil est calibré par l'usager sur l'intensité que son contrat l'autorise à consommer (50 A pour un contrat 12 kVA). Quand le délesteur détecte une intensité voisine du maximum, il actionne un contact qui permet alors de soulager la consommation globale en agissant sur un gros consommateur.
Dans votre cas il y aura une commande à effectuer sur votre chaudière pour qu'elle consomme moins. Il faudra donc observer de près la notice de celle-ci pour déterminer la liaison à effectuer. Si vous ne trouvez pas vous pouvez appeler le distributeur.
Notons que le délestage est cyclique.
L'appareil est calibré par l'usager sur l'intensité que son contrat l'autorise à consommer (50 A pour un contrat 12 kVA). Quand le délesteur détecte une intensité voisine du maximum, il actionne un contact qui permet alors de soulager la consommation globale en agissant sur un gros consommateur.
Dans votre cas il y aura une commande à effectuer sur votre chaudière pour qu'elle consomme moins. Il faudra donc observer de près la notice de celle-ci pour déterminer la liaison à effectuer. Si vous ne trouvez pas vous pouvez appeler le distributeur.
Notons que le délestage est cyclique.
20 novembre 2012 à 09:42
