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Bonsoir Schuman.
Je pensais à une coupure générale.
Il serait préférable d'alimenter la pompe avec un DJ associé à son bloc Vigi. Il ne faudrait pas qu'un incident d'isolement sur n'importe quel autre récepteur coupe la pompe, et vice versa. Donc protection autonome de la pompe.
Le moteur de pompe mériterait quand même un démarreur, ne serait-ce que YD peu cher. Le réseau en amont pourra-t-il fournir cette intensité transitoire sans répercussion sur d'autres points de livraison ?
Pensez à l'éclairage de secours avec des blocs adaptés ATEX.
Votre projet est bien avancé.
Je pensais à une coupure générale.
Il serait préférable d'alimenter la pompe avec un DJ associé à son bloc Vigi. Il ne faudrait pas qu'un incident d'isolement sur n'importe quel autre récepteur coupe la pompe, et vice versa. Donc protection autonome de la pompe.
Le moteur de pompe mériterait quand même un démarreur, ne serait-ce que YD peu cher. Le réseau en amont pourra-t-il fournir cette intensité transitoire sans répercussion sur d'autres points de livraison ?
Pensez à l'éclairage de secours avec des blocs adaptés ATEX.
Votre projet est bien avancé.
16 octobre 2012 à 00:05

Bonjour SL77. Un avis rapide. D'après ce que vous écrivez précédemment, il semble qu'il y ait confusion entre ID et DJ.
Un ID déclenche en cas de défaut d'isolement, quel que soit le calibre du DJ en amont, Baco ou autre. Si le Consuel valide votre choix contrairement aux spécifications de la norme, il n'a pas raison.
Pour les détails, voir la contribution de CMT.
Un ID déclenche en cas de défaut d'isolement, quel que soit le calibre du DJ en amont, Baco ou autre. Si le Consuel valide votre choix contrairement aux spécifications de la norme, il n'a pas raison.
Pour les détails, voir la contribution de CMT.
15 octobre 2012 à 19:22

Bonjour. Un bon professionnel ne change pas un élément s'il n'a pas mis en évidence la défectuosité du produit, surtout un contacteur, appareil très facile à tester. Le gestionnaire d'énergie peut être vérifié également ; généralement un petit voyant rouge permanent indique qu'il reçoit la téléinformation issue du compteur électronique. Après, c'est plus difficile, mais pas infaisable.
Il y a erreur de diagnostic.
Affaire à suivre par votre électricien, ou un autre plus compétent.
Il y a erreur de diagnostic.
Affaire à suivre par votre électricien, ou un autre plus compétent.
15 octobre 2012 à 19:15

Bonjour Alex. Cette transformation n'a pas été prévue à la construction. On peut comprendre que déplacer la pieuvre (dont on peut penser qu'elle se trouve au niveau du plancher) consisterait à rallonger des conducteurs, donc à les couper pour mettre une boîte de dérivation à un autre endroit. Quoi que vous fassiez, il faut que toutes les connexions effectuées soient accessibles. On ne peut envisager de faire des connexions qui seraient ensuite inatteignables une fois les travaux effectués.
Ce peut être une tâche difficile pour qui est éloigné du métier, donc avec risque d'effectuer des connexions de mauvaise qualité pouvant engendrer des échauffements localisés. Et l'on connait les risques liés à l'échauffement des connexions.
En résumé, il faut que vous rallongiez cette pieuvre, avec obligation d'utiliser une voire deux boites de dérivation accessibles, encastrées dans une cloison ou le plafond.
Si vous ne pouvez faire ainsi, il faudra remplacer des conducteurs trop courts par des plus longs. Opération pouvant être rendue très difficile si les coudes de certaines gaines empêchent de remplacer des torons.
Ces travaux vont être définitifs. On ne peut penser que dans les combles, sous le plancher, se trouvent des dominos ou connecteurs rapides inaccessibles durant des dizaines d'années.
Il serait prudent de faire intervenir un électricien ; il pourra prendre les meilleures décisions en fonction de ce qu'il observera (avec connexions accessibles, on insiste) . Ce n'est pas du domaine de compétence du charpentier.
Ce peut être une tâche difficile pour qui est éloigné du métier, donc avec risque d'effectuer des connexions de mauvaise qualité pouvant engendrer des échauffements localisés. Et l'on connait les risques liés à l'échauffement des connexions.
En résumé, il faut que vous rallongiez cette pieuvre, avec obligation d'utiliser une voire deux boites de dérivation accessibles, encastrées dans une cloison ou le plafond.
Si vous ne pouvez faire ainsi, il faudra remplacer des conducteurs trop courts par des plus longs. Opération pouvant être rendue très difficile si les coudes de certaines gaines empêchent de remplacer des torons.
Ces travaux vont être définitifs. On ne peut penser que dans les combles, sous le plancher, se trouvent des dominos ou connecteurs rapides inaccessibles durant des dizaines d'années.
Il serait prudent de faire intervenir un électricien ; il pourra prendre les meilleures décisions en fonction de ce qu'il observera (avec connexions accessibles, on insiste) . Ce n'est pas du domaine de compétence du charpentier.
15 octobre 2012 à 08:19

Effectivement Il manque un contact de d'automaintien. Et un contact coup de poing arrêt d'urgence (S1).
Or, vous utilisez un contacteur tétrapolaire avec commande manuelle 040 70 (référence à vérifier).
Il faut rajouter un contact auxiliaire 040 85 avec un contact OF. Mais si le moteur est alimenté en tripolaire, vous pouvez utiliser un des 4 contacts à fermeture ; on s'adapte.
Vous pouvez vous inspirer de ce document de Daniel Tambrun : Daniel Tambrun
etude schema de commande.pdf
Le rôle de chaque composant est expliqué. Dans votre cas vous pouvez réaliser un circuit de commande en 230 V, bien que l'on préfère le 24 V pour la sécurité des personnes.
Le voyant de signalisation peut être exceptionnellement branché en parallèle avec la bobine de contacteur, bien que cela ne fasse pas partie des règles de l'art ; il est d'usage de protéger ce voyant avec un fusible.
Néanmoins, il est encore plus d'usage de commander le voyant avec un contact auxiliaire, or il est déjà utilisé pour l'automaintien. Il aurait fallu un contacteur autre que celui choisi permettant de mettre un bloc de contacts auxiliaires.
Vous verrez qu'une protection par sectionneur fusible avec contact de précoupure est prévue. De même, un relais thermique moteur est inclus.
Vous faites au mieux, en assurant la sécurité des personnes et du matériel.
On constate que le schéma utilise les symboles normalisés, le minimum pou un document pédagogique.
Vous voyez qu'il faudra adapter ce schéma en fonction des conditions locales, avec toujours à l'esprit la sécurité.
Or, vous utilisez un contacteur tétrapolaire avec commande manuelle 040 70 (référence à vérifier).
Il faut rajouter un contact auxiliaire 040 85 avec un contact OF. Mais si le moteur est alimenté en tripolaire, vous pouvez utiliser un des 4 contacts à fermeture ; on s'adapte.
Vous pouvez vous inspirer de ce document de Daniel Tambrun : Daniel Tambrun
etude schema de commande.pdf
Le rôle de chaque composant est expliqué. Dans votre cas vous pouvez réaliser un circuit de commande en 230 V, bien que l'on préfère le 24 V pour la sécurité des personnes.
Le voyant de signalisation peut être exceptionnellement branché en parallèle avec la bobine de contacteur, bien que cela ne fasse pas partie des règles de l'art ; il est d'usage de protéger ce voyant avec un fusible.
Néanmoins, il est encore plus d'usage de commander le voyant avec un contact auxiliaire, or il est déjà utilisé pour l'automaintien. Il aurait fallu un contacteur autre que celui choisi permettant de mettre un bloc de contacts auxiliaires.
Vous verrez qu'une protection par sectionneur fusible avec contact de précoupure est prévue. De même, un relais thermique moteur est inclus.
Vous faites au mieux, en assurant la sécurité des personnes et du matériel.
On constate que le schéma utilise les symboles normalisés, le minimum pou un document pédagogique.
Vous voyez qu'il faudra adapter ce schéma en fonction des conditions locales, avec toujours à l'esprit la sécurité.
14 octobre 2012 à 23:21

Bonjour Philippo. Ces appareils de commande de marque Legrand assurent les mêmes fonctions que ceux de la marque Télémécanique Schneider Electric. A partir de là, vous faites votre schéma de commande puis vous câblez.
Peut-être sera t-il utile de rajouter un relais spécifique de contrôle de pompe. De même, il existe des contacteurs moteurs adaptés. On dimensionne un contacteur en fonction de la cadence des séquences arrêt-marche, entre autres paramètres.
Le câblage en conducteurs souples implique l'usage d'embouts de câble.
Peut-être sera t-il utile de rajouter un relais spécifique de contrôle de pompe. De même, il existe des contacteurs moteurs adaptés. On dimensionne un contacteur en fonction de la cadence des séquences arrêt-marche, entre autres paramètres.
Le câblage en conducteurs souples implique l'usage d'embouts de câble.
14 octobre 2012 à 10:25

Bonjour. Ce n'est pas forcément très simple. On peut supposer que l'installation est triphasée, et qu'elle comporte des récepteurs triphasés équilibrés ou presque, et d'autres en monophasé.
Il faudra répartir ces derniers sur les 3 phases de façon à équilibrer au mieux.
Il faut faire une estimation de la puissance active consommée (en watts) par chaque récepteur et faire la somme, puis voir comment vous pouvez équilibrer.
Concernant les machines il faut la puissance absorbée, supérieure à la puissance utile.
Ensuite, vous estimerez la puissance apparente en kVA.
Cette méthode reste approximative si l'on ne connait pas avec exactitude les puissances active et réactive consommées par les machines, climatisation y comprise.
Il faudra une réserve, au cas où tous les récepteurs fonctionneraient en même temps. De même, la puissance transitoire au démarrage des machines doit également être estimée pour le dimensionnement du point de livraison.
Pour les scientifiques, on met en œuvre la méthode de Boucherot.
Il faudra répartir ces derniers sur les 3 phases de façon à équilibrer au mieux.
Il faut faire une estimation de la puissance active consommée (en watts) par chaque récepteur et faire la somme, puis voir comment vous pouvez équilibrer.
Concernant les machines il faut la puissance absorbée, supérieure à la puissance utile.
Ensuite, vous estimerez la puissance apparente en kVA.
Cette méthode reste approximative si l'on ne connait pas avec exactitude les puissances active et réactive consommées par les machines, climatisation y comprise.
Il faudra une réserve, au cas où tous les récepteurs fonctionneraient en même temps. De même, la puissance transitoire au démarrage des machines doit également être estimée pour le dimensionnement du point de livraison.
Pour les scientifiques, on met en œuvre la méthode de Boucherot.
14 octobre 2012 à 10:16

Bonjour réponse 3.
Avec ce schéma Jimmy va pouvoir vérifier le câblage et le remettre à jour.
"La bobine de démarrage sera donc la mesure de la plus petite valeur"
Il semble y avoir une légère erreur concernant l'enroulement auxiliaire.
Généralement, il se peut que les deux bobinages n'aient pas une résistance identique.
Dans ce cas, le condensateur se met en série avec l'enroulement le plus résistant.
Si l'on appelle R1 la résistance de B1, et R2 la résistance de B2, B1 et B2 étant les enroulements auxiliaire et principal, on doit avoir R1 >= R2. Sauf erreur.
Les moteurs de lave-linge actuels ne fonctionnent pas suivant ce principe.
Cordialement
Avec ce schéma Jimmy va pouvoir vérifier le câblage et le remettre à jour.
"La bobine de démarrage sera donc la mesure de la plus petite valeur"
Il semble y avoir une légère erreur concernant l'enroulement auxiliaire.
Généralement, il se peut que les deux bobinages n'aient pas une résistance identique.
Dans ce cas, le condensateur se met en série avec l'enroulement le plus résistant.
Si l'on appelle R1 la résistance de B1, et R2 la résistance de B2, B1 et B2 étant les enroulements auxiliaire et principal, on doit avoir R1 >= R2. Sauf erreur.
Les moteurs de lave-linge actuels ne fonctionnent pas suivant ce principe.
Cordialement
13 octobre 2012 à 09:12

Bonjour Jimmy. Vu d'ici, on ne peut pas savoir. Par contre, en tapant branchement condensateur moteur dans le moteur de recherche, on arrive à la question 10908 qui traite ce sujet, avec des liens pouvant vous être utiles.
Vous avez déjà approvisionné un condensateur ?
Il semble que le bleu horizontal soit le neutre du secteur. Dans ce cas, vous pouvez brancher les deux bleus ensemble et tenter une mise sous tension rapide, quitte à ce qu'une protection déclenche.
Avec un peu de chance, le moteur pourrait tourner. Mais c'est juste une idée en passant. Il faudrait être sur place et faire quelques relevés. De la carcasse moteur, il doit sortir 3 ou 4 fils.
Le vendeur vous a fait un cadeau empoisonné si vous êtes éloigné du métier.
Vous avez déjà approvisionné un condensateur ?
Il semble que le bleu horizontal soit le neutre du secteur. Dans ce cas, vous pouvez brancher les deux bleus ensemble et tenter une mise sous tension rapide, quitte à ce qu'une protection déclenche.
Avec un peu de chance, le moteur pourrait tourner. Mais c'est juste une idée en passant. Il faudrait être sur place et faire quelques relevés. De la carcasse moteur, il doit sortir 3 ou 4 fils.
Le vendeur vous a fait un cadeau empoisonné si vous êtes éloigné du métier.
12 octobre 2012 à 15:40

Bonjour Lujuce. Ce n'est pas facile, de toute façon vous serez obligé de faire une saignée dans l'angle. Il sera prudent de passer les conducteurs dans le tube annelé (de 20) avant la pose.
Pour augmenter le rayon de courbure de façon à pouvoir effectuer une transformation éventuelle, on peut changer le plan horizontal dans l'angle droit. Par exemple, sur un mur la saignée est à 50 cm du sol, sur le mur perpendiculaire à 70 cm. Ainsi, les deux coudes feront une sorte de S (à deux plans) avec deux rayons plus grands successifs. Si les saignées sont à la même altitude, le rayon de l'unique coude ne permettra aucun passage ultérieur des conducteurs. Mais si l'installation est définitive, pourquoi pas. Il faudra prévoir une bonne longueur en sortie de boite, choisie profonde. On peut également passer non des conducteurs rigides, mais de préférence du souple de même section.
Pour augmenter le rayon de courbure de façon à pouvoir effectuer une transformation éventuelle, on peut changer le plan horizontal dans l'angle droit. Par exemple, sur un mur la saignée est à 50 cm du sol, sur le mur perpendiculaire à 70 cm. Ainsi, les deux coudes feront une sorte de S (à deux plans) avec deux rayons plus grands successifs. Si les saignées sont à la même altitude, le rayon de l'unique coude ne permettra aucun passage ultérieur des conducteurs. Mais si l'installation est définitive, pourquoi pas. Il faudra prévoir une bonne longueur en sortie de boite, choisie profonde. On peut également passer non des conducteurs rigides, mais de préférence du souple de même section.
12 octobre 2012 à 09:16

Bonjour Luka. C'est très simple en théorie. En pratique il faut mesurer la consommation des récepteurs triphasés, équilibrés ou non, et fonctionnant au maximum. Ensuite, on fait de même avec les récepteurs monophasés. Puis on fait un bilan écrit et l'on dispatche alors les récepteurs sur les 3 phases, en supposant que les intensités s'additionnent arithmétiquement, ce qui est bien entendu faux dans l'absolu.
Il faut être du métier et savoir se servir d'une pince ampèremétrique.
Il serait prudent de confier ce travail très spécifique à votre électricien.
On rappelle qu'à part les locations saisonnières et les meublés, chaque logement doit posséder son point de livraison propre avec son comptage.
Il faut être du métier et savoir se servir d'une pince ampèremétrique.
Il serait prudent de confier ce travail très spécifique à votre électricien.
On rappelle qu'à part les locations saisonnières et les meublés, chaque logement doit posséder son point de livraison propre avec son comptage.
11 octobre 2012 à 15:25

Bonjour Baroudi. Il n'est pas certain que le moteur possède un condensateur. Souvent, ces petits moteurs asynchrones monophasés sont à "spires de Frager", donc sans condensateur.
Si le ventilateur est muni d'un variateur de vitesse (comme les aspirateurs), ce dernier peut-être à l'origine du dysfonctionnement. Il reste donc des vérifications à effectuer, notamment la continuité du circuit.
Si le moteur démarre en le lançant, il peut y avoir un condensateur défectueux.
Si le ventilateur est muni d'un variateur de vitesse (comme les aspirateurs), ce dernier peut-être à l'origine du dysfonctionnement. Il reste donc des vérifications à effectuer, notamment la continuité du circuit.
Si le moteur démarre en le lançant, il peut y avoir un condensateur défectueux.
11 octobre 2012 à 08:39

Bien reçu Phildar;
"A votre avis vers quel organisme (sérieux) les particuliers peuvent se tourner pour faire une recherche des causes de leur problème ?"
Un problème spécifique dans votre lotissement est peu probable. La corrosion des chauffe-eau est un phénomène bien connu et les constructeurs mettent en œuvre des remèdes, anode soluble ou anode active comme dans le cas des ACI+ (bien montés avec le raccord isolant).
Je n'ai donc pas de réponse à votre question.
"S'il s'agissait d'un problème en amont du lotissement, comment solliciter le fournisseur d'électricité pour qu'il fasse un bilan de son réseau ?"
Celui ci n'est pas responsable. Il délivre l'énergie électrique à partir d'un transformateur de quelques centaines de kVA situé dans le poste d'alimentation du quartier, par l’intermédiaire de lignes 3 Ph + N en schéma de liaison à la terre TT. Rien de compliqué, c'est le basique de la distribution.
Donc rien à faire de ce côté là.
Vous pouvez demander l'avis d'un service relation clientèle d'un grand constructeur comme Atlantic. On aimerait connaitre leur point de vue concernant ce problème.
L'électrochimie c'est compliqué, mais passionnant. Les coques de bateau sont protégées par des électrodes en zinc qui se dégradent à la longue à la place de la coque. C'est pratiquement la même chose dans les chauffe-eau. 10 ans et plus est une durée normale de vie d'un bon modèle bien monté.
"A votre avis vers quel organisme (sérieux) les particuliers peuvent se tourner pour faire une recherche des causes de leur problème ?"
Un problème spécifique dans votre lotissement est peu probable. La corrosion des chauffe-eau est un phénomène bien connu et les constructeurs mettent en œuvre des remèdes, anode soluble ou anode active comme dans le cas des ACI+ (bien montés avec le raccord isolant).
Je n'ai donc pas de réponse à votre question.
"S'il s'agissait d'un problème en amont du lotissement, comment solliciter le fournisseur d'électricité pour qu'il fasse un bilan de son réseau ?"
Celui ci n'est pas responsable. Il délivre l'énergie électrique à partir d'un transformateur de quelques centaines de kVA situé dans le poste d'alimentation du quartier, par l’intermédiaire de lignes 3 Ph + N en schéma de liaison à la terre TT. Rien de compliqué, c'est le basique de la distribution.
Donc rien à faire de ce côté là.
Vous pouvez demander l'avis d'un service relation clientèle d'un grand constructeur comme Atlantic. On aimerait connaitre leur point de vue concernant ce problème.
L'électrochimie c'est compliqué, mais passionnant. Les coques de bateau sont protégées par des électrodes en zinc qui se dégradent à la longue à la place de la coque. C'est pratiquement la même chose dans les chauffe-eau. 10 ans et plus est une durée normale de vie d'un bon modèle bien monté.
10 octobre 2012 à 23:51

Votre problème est spécifique et il faudra utiliser les appareils respectant la réglementation ATEX concernant la zone 2 (risque d'explosion accidentelle, en cas de dysfonctionnement d'un process (pompage dans votre cas), ou pendant de courtes durées). La réglementation précise des définitions de groupe en chiffres et non en lettres. Mais je n'ai pas tous les documents à disposition.
Vous devrez mettre en œuvre des matériels de la catégorie 3 : appareils conçus pour assurer un niveau normal de protection avec une faible probabilité de formation d’atmosphère explosive et pour une courte période.
Il faudra choisir un coffret compatible avec la règlementation tel que le coffret Thalassa, certifié ATEX. Bon choix.
Concernant la partie électrique, on peut suggérer une coupure générale du coffret avec inter-sectionneur en tête de tableau, avec les signalisations normalisées bien visibles. Une coupure d'urgence est obligatoire. Peut-être faudrait-il des coupures déportées.
Un DJ différentiel avec Vigi (je préfèrerais 30 mA en attendant de trouver la norme) pour la pompe. Je mettrais bien un relais de surveillance spécifique moteur de pompe, associé au contacteur moteur. L'ensemble avec les signalisations adéquates.
Le démarrage direct en triangle, pourrait être remplacé par un YD, voire un démarreur statorique électronique. Cela évitera les chutes de tension en ligne au démarrage qui ne manqueront pas d'être visibles. Et cela évitera également un déclenchement du DB, magnétique ou thermique suivant la surcharge et sa durée.
Il faudra penser au déclassement du contacteur moteur en fonction de la cadence des démarrages.
Pour les circuits PC et lumière, un ID 30 mA avec les DJ modulaires en cascade. Ou de préférence DJ différentiels 30 mA (on a les moyens je suppose).
Pour la ligne annexe, je mettrais bien un DJ différentiel 300 mA en amont, et les protections classiques en aval, avec ID ou DJ 30 mA. Penser à la coupure générale du coffret annexe ; et à la signalisation.
La puissance souscrite devra tenir compte de la puissance consommée par la pompe et les annexes.
Une erreur semble-t-il : "6kVA 30A Triphasé" : en réalité c'est 6 kVA par phase pour 30 A disponible par phase, donc abonnement 18 kVA.
18,5 kW pour la pompe est la puissance utile nominale sur l'arbre. Avec le rendement, la puissance apparente nominale absorbée ne doit pas être très loin de 24 à 27 kVA (à mesurer) ; estimation à la louche.
Voilà donc quelques réflexions d'ordre général, les détails devront être développés.
D'autres avis pourront vous être proposés.
Cordialement.
Vous devrez mettre en œuvre des matériels de la catégorie 3 : appareils conçus pour assurer un niveau normal de protection avec une faible probabilité de formation d’atmosphère explosive et pour une courte période.
Il faudra choisir un coffret compatible avec la règlementation tel que le coffret Thalassa, certifié ATEX. Bon choix.
Concernant la partie électrique, on peut suggérer une coupure générale du coffret avec inter-sectionneur en tête de tableau, avec les signalisations normalisées bien visibles. Une coupure d'urgence est obligatoire. Peut-être faudrait-il des coupures déportées.
Un DJ différentiel avec Vigi (je préfèrerais 30 mA en attendant de trouver la norme) pour la pompe. Je mettrais bien un relais de surveillance spécifique moteur de pompe, associé au contacteur moteur. L'ensemble avec les signalisations adéquates.
Le démarrage direct en triangle, pourrait être remplacé par un YD, voire un démarreur statorique électronique. Cela évitera les chutes de tension en ligne au démarrage qui ne manqueront pas d'être visibles. Et cela évitera également un déclenchement du DB, magnétique ou thermique suivant la surcharge et sa durée.
Il faudra penser au déclassement du contacteur moteur en fonction de la cadence des démarrages.
Pour les circuits PC et lumière, un ID 30 mA avec les DJ modulaires en cascade. Ou de préférence DJ différentiels 30 mA (on a les moyens je suppose).
Pour la ligne annexe, je mettrais bien un DJ différentiel 300 mA en amont, et les protections classiques en aval, avec ID ou DJ 30 mA. Penser à la coupure générale du coffret annexe ; et à la signalisation.
La puissance souscrite devra tenir compte de la puissance consommée par la pompe et les annexes.
Une erreur semble-t-il : "6kVA 30A Triphasé" : en réalité c'est 6 kVA par phase pour 30 A disponible par phase, donc abonnement 18 kVA.
18,5 kW pour la pompe est la puissance utile nominale sur l'arbre. Avec le rendement, la puissance apparente nominale absorbée ne doit pas être très loin de 24 à 27 kVA (à mesurer) ; estimation à la louche.
Voilà donc quelques réflexions d'ordre général, les détails devront être développés.
D'autres avis pourront vous être proposés.
Cordialement.
10 octobre 2012 à 23:31

Bonjour Mattenen. Si le réseau classique est effectivement 110 V, vous devriez avoir à disposition un réseau 220 V utilisé notamment pour le gros électroménager, le chauffage (plinthes électriques) et peut-être la cuisson.
A priori, et sauf erreur, vous n'avez pas besoin de convertisseur (si tant est que cela soit disponible pour pas trop cher aux US). Un transformateur ou auto-transformateur (1 kVA pour être tranquille) serait volumineux, lourd et cher. Mais c'est une solution si vous êtes amené à revenir en Europe à terme.
Conclusion provisoire : adressez vous aux voisins et contactez éventuellement un électricien sur place ; vous serez ainsi renseigné sur les réseaux disponibles dans l'habitat américain. Restera à traiter l'influence du schéma de liaison à la terre local avant de brancher quoi que ce soit..
Merci de partager les précisions que vous pourrez obtenir.
A priori, et sauf erreur, vous n'avez pas besoin de convertisseur (si tant est que cela soit disponible pour pas trop cher aux US). Un transformateur ou auto-transformateur (1 kVA pour être tranquille) serait volumineux, lourd et cher. Mais c'est une solution si vous êtes amené à revenir en Europe à terme.
Conclusion provisoire : adressez vous aux voisins et contactez éventuellement un électricien sur place ; vous serez ainsi renseigné sur les réseaux disponibles dans l'habitat américain. Restera à traiter l'influence du schéma de liaison à la terre local avant de brancher quoi que ce soit..
Merci de partager les précisions que vous pourrez obtenir.
10 octobre 2012 à 20:37

Bonjour Marco. Vous êtes peut-être devant le phénomène bien connu du forum : les tensions induites.
Voir la question 6847 qui aborde ce sujet. Dans votre cas, il n'y aurait pas grand chose à faire.
Un doute : "Bonjour, non, c'est un néon, et la phase et neutre du néon rebrancher le problème persiste.". S'agit-il d'une réglette fluorescente comme on peut le penser ?
Voir la question 6847 qui aborde ce sujet. Dans votre cas, il n'y aurait pas grand chose à faire.
Un doute : "Bonjour, non, c'est un néon, et la phase et neutre du néon rebrancher le problème persiste.". S'agit-il d'une réglette fluorescente comme on peut le penser ?
10 octobre 2012 à 14:37

Bonjour Cyril. Vous avez résolu le problème de la nature de la charge avec la lampe à incandescence.
Il est difficile de comprendre le défaut car un détecteur IR est sensible au mouvement, et dans votre cas il n'y en n'a pas.
On comprend que le système clignote, mais on ne voit pas pourquoi l’extinction réenclenche le système. Qui dit que c'est l'autre détecteur qui agit ?. Sont-ce des détecteurs de premier prix ou de grande marque leader sur le marché ?
A suivre.
Il est difficile de comprendre le défaut car un détecteur IR est sensible au mouvement, et dans votre cas il n'y en n'a pas.
On comprend que le système clignote, mais on ne voit pas pourquoi l’extinction réenclenche le système. Qui dit que c'est l'autre détecteur qui agit ?. Sont-ce des détecteurs de premier prix ou de grande marque leader sur le marché ?
A suivre.
10 octobre 2012 à 14:26

Bonjour. La rédaction claire des réponses (et l'intervention sur le terrain) nécessite la connaissance et la compréhension des schémas de liaison à la terre, et leur mise en œuvre.
Dans le domestique, le SLT est de type TT. Cela implique la connexion de toutes les masses métalliques à la terre, avec les organes de protection adéquats.
Dans le cas décrit par SL 77, il fallait contrôler de près la mise à la terre et les protections différentielles 30 mA de l'habitat, et détecter les récepteurs défectueux.
Cordialement.
Dans le domestique, le SLT est de type TT. Cela implique la connexion de toutes les masses métalliques à la terre, avec les organes de protection adéquats.
Dans le cas décrit par SL 77, il fallait contrôler de près la mise à la terre et les protections différentielles 30 mA de l'habitat, et détecter les récepteurs défectueux.
Cordialement.
10 octobre 2012 à 10:01

Bonjour Bob35 ; ravi de vous retrouver sur ce forum tout neuf et tout rapide.
Bonjour Schuman. Votre question est intéressante, et quelques indications pourraient nous être utiles.
On peut supposer qu'il s'agit d'une étude théorique dans le cadre d'une formation ; est-ce le cas ? Et si oui, à quel niveau ?
Dans quel environnement ce coffret doit-il être installé ? Industriel (atmosphère explosible ou non ?) ou domestique (ferme par exemple) ?
Quelle est l'utilité de la pompe ? Gaz, liquide, chaud, froid, sous pression ? Démarre-telle en direct ?
Un incident sur la pompe peut-il engendrer des dégâts sur le process si elle ne démarre pas ?
Le DB est-il intégré au coffret, ou ce dernier est-il éloigné ?
Quel contrat EDF a été souscrit pour ce point de livraison semblant être unique ?
Avec ces précisions, on pourra alors vous suggérer une structure aux normes de sécurité actuelles du coffret de protection et de commande de la pompe et des annexes.
Pour les PC, circuit lumière et départ annexe (quelle section ?) on reste dans le classique.
A suivre.
Bonjour Schuman. Votre question est intéressante, et quelques indications pourraient nous être utiles.
On peut supposer qu'il s'agit d'une étude théorique dans le cadre d'une formation ; est-ce le cas ? Et si oui, à quel niveau ?
Dans quel environnement ce coffret doit-il être installé ? Industriel (atmosphère explosible ou non ?) ou domestique (ferme par exemple) ?
Quelle est l'utilité de la pompe ? Gaz, liquide, chaud, froid, sous pression ? Démarre-telle en direct ?
Un incident sur la pompe peut-il engendrer des dégâts sur le process si elle ne démarre pas ?
Le DB est-il intégré au coffret, ou ce dernier est-il éloigné ?
Quel contrat EDF a été souscrit pour ce point de livraison semblant être unique ?
Avec ces précisions, on pourra alors vous suggérer une structure aux normes de sécurité actuelles du coffret de protection et de commande de la pompe et des annexes.
Pour les PC, circuit lumière et départ annexe (quelle section ?) on reste dans le classique.
A suivre.
10 octobre 2012 à 09:07

Bien reçu Chouchou.
Vous pouvez donc déjà éliminer le problème des alimentations 12 V. Ces incidents laissent présager un mauvais contact sur un départ de ligne d'alimentation ou dans une boite de dérivation (grésillement aléatoire quand le circuit est normalement alimenté - odeur de grillé - lampes qui clignotent).
Le télérupteur remplace avantageusement les multiples points d'allumage d'une ligne. Pour deux on met généralement un va et vient ; au delà on préfère des boutons-poussoirs commandant un télérupteur.
La méthode de recherche consiste donc à définir chaque circuit lumière et sa commande, et voir où il peut y avoir un mauvais contact (peut-être une connexion desserrée sur un appareillage).
Pour l'allumage gradué, l'hypothèse est la même. On peut même supprimer cette fonction et la remplacer par un allumage tout ou rien.
Une lampe qui grille n'a pas d'incidence sur les autres du même circuit, le branchement étant parallèle.
Outillage nécessaire : tournevis isolé, pince longs becs coudée isolée, + patience, méthode et prudence.
Vous pouvez donc déjà éliminer le problème des alimentations 12 V. Ces incidents laissent présager un mauvais contact sur un départ de ligne d'alimentation ou dans une boite de dérivation (grésillement aléatoire quand le circuit est normalement alimenté - odeur de grillé - lampes qui clignotent).
Le télérupteur remplace avantageusement les multiples points d'allumage d'une ligne. Pour deux on met généralement un va et vient ; au delà on préfère des boutons-poussoirs commandant un télérupteur.
La méthode de recherche consiste donc à définir chaque circuit lumière et sa commande, et voir où il peut y avoir un mauvais contact (peut-être une connexion desserrée sur un appareillage).
Pour l'allumage gradué, l'hypothèse est la même. On peut même supprimer cette fonction et la remplacer par un allumage tout ou rien.
Une lampe qui grille n'a pas d'incidence sur les autres du même circuit, le branchement étant parallèle.
Outillage nécessaire : tournevis isolé, pince longs becs coudée isolée, + patience, méthode et prudence.
09 octobre 2012 à 22:06

Bonjour Chouchou. Avant d'envisager un dysfonctionnement de convertisseurs spécifiques pour lampes à incandescence, il faut vous assurer de la tension d'alimentation des spots. Est-ce 230 V ou 12 V ?
Vous parlez de position moyenne ; y aurait-il un allumage gradué ?
Vous parlez de position moyenne ; y aurait-il un allumage gradué ?
09 octobre 2012 à 19:09

Bonjour réponse 5. On peut supposer qu’il s'agit d'un alternateur triphasé avec induit couplé en étoile. U, V et W sont les phases, et N le neutre. Reste à savoir s'il s'agit d'un modèle 127/220 V ou 230/400 V.
08 octobre 2012 à 14:30

Bonjour Phildar. Quelques précisions d’ordre électrique.
La mesure de tensions sur des circuits "en l'air" (terre de l'habitat non reliée à l'installation dans votre cas), et qui plus est avec un appareil numérique, n'est nullement significative. Donc, ne pas tenir comptes des valeurs trouvées, 84 V et 34 V.
La valeur d'une prise de terre ainsi que le contrôle de sensibilité d'un DDR (dispositif différentiel résiduel) ne se fait pas avec une lampe à incandescence. Ceci a été maintes fois expliqué sur le forum.
Pour ce qui concerne le chauffe-eau, on peut supposer que s'agissant d'un lotissement, les modèles installés sont peut-être de premier prix, pas franchement protégés contre la corrosion.
Rappelons qu'un chauffe-eau moderne est muni d'une électrode interne alimentée par un dispositif autonome dont le bon fonctionnement est généralement indiqué par un voyant vert. D'autre part le circuit d'alimentation en eau comporte un raccord isolé à placer sur l'arrivée ou le départ.
Voir sur le net "chauffe-eau ACI". De tels modèles sont plus chers que les ordinaires, mais l'anticorrosion est efficace. Il faut donc y mettre le prix, le prix de la tranquillité et de la longue vie de la cuve.
Le réseau électrique de l'habitat n'y est pour rien. Pas plus que l'isolement de l'installation. C'est juste un problème de plomberie et de bon produit.
La mesure de tensions sur des circuits "en l'air" (terre de l'habitat non reliée à l'installation dans votre cas), et qui plus est avec un appareil numérique, n'est nullement significative. Donc, ne pas tenir comptes des valeurs trouvées, 84 V et 34 V.
La valeur d'une prise de terre ainsi que le contrôle de sensibilité d'un DDR (dispositif différentiel résiduel) ne se fait pas avec une lampe à incandescence. Ceci a été maintes fois expliqué sur le forum.
Pour ce qui concerne le chauffe-eau, on peut supposer que s'agissant d'un lotissement, les modèles installés sont peut-être de premier prix, pas franchement protégés contre la corrosion.
Rappelons qu'un chauffe-eau moderne est muni d'une électrode interne alimentée par un dispositif autonome dont le bon fonctionnement est généralement indiqué par un voyant vert. D'autre part le circuit d'alimentation en eau comporte un raccord isolé à placer sur l'arrivée ou le départ.
Voir sur le net "chauffe-eau ACI". De tels modèles sont plus chers que les ordinaires, mais l'anticorrosion est efficace. Il faut donc y mettre le prix, le prix de la tranquillité et de la longue vie de la cuve.
Le réseau électrique de l'habitat n'y est pour rien. Pas plus que l'isolement de l'installation. C'est juste un problème de plomberie et de bon produit.
08 octobre 2012 à 09:30

Bonjour Yann. Vous ne dites pas si 2 fils étaient réunis ensemble sur une même borne. Si c'est le cas, vous recâblez à l'identique.
Les essais au testeur à lampe néon ne sont pas significatifs.
A suivre.
Les essais au testeur à lampe néon ne sont pas significatifs.
A suivre.
07 octobre 2012 à 22:57

Bonjour réponse 10. La responsabilité de ERDF se limite à la sortie du disjoncteur de branchement, ce dernier monophasé désormais.
C'est à vous, donc à l"électricien, d'effectuer les transformations sur le tableau de répartition à partir de la sortie de ce disjoncteur de branchement..
Il est donc inutile d'écrire à ERDF.
C'est à vous, donc à l"électricien, d'effectuer les transformations sur le tableau de répartition à partir de la sortie de ce disjoncteur de branchement..
Il est donc inutile d'écrire à ERDF.
07 octobre 2012 à 18:30

Il faut que vous repériez les fils gris et noir par rapport aux BP. Ensuite, chaque BP doit relier la phase à 5, 7 ou 9. Observez bien le schéma de raccordement.
Bonjour Carminas. J'espère qu'avant la fin du WE le montage va fonctionner.
Bonjour Carminas. J'espère qu'avant la fin du WE le montage va fonctionner.
06 octobre 2012 à 18:09

Bien reçu. Vous avez bien compris. Le ballast a pour utilité de limiter le courant absorbé, tout en faisant chuter la tension appliquée à la charge. Comme tout composant appelé "ballast".
Étant un élément inductif fonctionnant en régime alternatif, le ballast consomme essentiellement de l'énergie réactive. Mais son bobinage et le fait qu'il soit bobiné sur un circuit ferromagnétique, font que des pertes d'énergie active apparaissent sous forme de chaleur.
Attention. Le ballast est normalement en série avec la lampe. C'est donc l'ensemble qui est soumis à une tension de 230 V. Voir le schéma de raccordement sur le ballast.
Étant un élément inductif fonctionnant en régime alternatif, le ballast consomme essentiellement de l'énergie réactive. Mais son bobinage et le fait qu'il soit bobiné sur un circuit ferromagnétique, font que des pertes d'énergie active apparaissent sous forme de chaleur.
Attention. Le ballast est normalement en série avec la lampe. C'est donc l'ensemble qui est soumis à une tension de 230 V. Voir le schéma de raccordement sur le ballast.
06 octobre 2012 à 18:01

Bonjour. En l'absence de toute notice explicite disponible sur le net ni lien vers le constructeur, et sans expérience sur ce matériel particulier, on ne pourra malheureusement pas vous répondre. Sauf si un contributeur expérimenté passe par le site.
Il faudrait vous rapprocher du constructeur ou du distributeur. Désolé.
Il faudrait vous rapprocher du constructeur ou du distributeur. Désolé.
06 octobre 2012 à 17:23

Bonjour. Tout d'abord, un électricien sur place (en France ?) pourrait vous aider. Néanmoins, voici quelques explications. Il faudrait définir quelles sont les lignes monophasées prioritaires à alimenter, et les relier à un commutateur manuel. Ainsi, ces lignes pourraient être alimentées à la demande sur le réseau triphasé, ou sur la sortie monophasée du groupe. Il faut bien évidemment que ces lignes, alimentées par l'une ou l'autre source, soient dument protégées, tant vis à vis des surintensités possibles qu'en cas de défaut d'isolement.
Pour une petite puissance comme la votre on ne peut envisager un fonctionnement en automatique.
Tout ceci est du domaine de compétences d'un électricien qualifié. C'est pourquoi vous devez faire appel à un professionnel.
Pour une petite puissance comme la votre on ne peut envisager un fonctionnement en automatique.
Tout ceci est du domaine de compétences d'un électricien qualifié. C'est pourquoi vous devez faire appel à un professionnel.
06 octobre 2012 à 12:02

Bonjour. Il y a manifestement un défaut d'isolement peu franc. Il faut être sur place avec un multimètre et effectuer quelques manipulations (fonction ohmmètre).
Apparemment, le moteur ou sa commande seraient en cause. C'est dans cette direction qu'il faut chercher.
Le moteur est monophasé. Le condensateur est-il métallique relié à la terre ? Ce moteur
monophasé tourne-t-il sans problème ou faut-il le lancer ?
Un électricien compétent saurait établir le diagnostic. Il suffit d'en trouver un dans votre environnement. Mais regardez le condensateur tout d'abord.
A suivre.
Apparemment, le moteur ou sa commande seraient en cause. C'est dans cette direction qu'il faut chercher.
Le moteur est monophasé. Le condensateur est-il métallique relié à la terre ? Ce moteur
monophasé tourne-t-il sans problème ou faut-il le lancer ?
Un électricien compétent saurait établir le diagnostic. Il suffit d'en trouver un dans votre environnement. Mais regardez le condensateur tout d'abord.
A suivre.
05 octobre 2012 à 13:57

Bonjour. C'est un appareil bien ancien dont on ne peut trouver le schéma ; et il ne mesure plus les tensions - sur tous les calibres ?
On peut toujours essayer de chercher un fusible interne, ou bien une résistance qui aurait fortement chauffé. Bref, il faut l'ouvrir, observer et sentir.
Vu l'ancienneté, il vaut mieux acquérir un multimètre récent muni de toutes les protections actuelles. Le marché en propose beaucoup.
On peut toujours essayer de chercher un fusible interne, ou bien une résistance qui aurait fortement chauffé. Bref, il faut l'ouvrir, observer et sentir.
Vu l'ancienneté, il vaut mieux acquérir un multimètre récent muni de toutes les protections actuelles. Le marché en propose beaucoup.
05 octobre 2012 à 13:47

Bonjour Christian. Vous pouvez consulter la question 8252 qui aborde partiellement ce sujet, avec un lien vers un produit Hager à sortie sur relais.Les deux détecteurs sont alimenté Ph + N sur les bornes repérées L et N, et on relie ensemble les deux phases coupées L'. Et cela fonctionne du premier coup.
05 octobre 2012 à 13:40

Bonjour. Vous ne précisez pas de quel type de détecteur il s'agit. Avec des modèles à sortie sur relais il n'y a aucun problème engendré par la nature de la charge.
Un détecteur de présence est normalement actif en fonction du déplacement de l'opérateur ou d'un objet.
A suivre.
Un détecteur de présence est normalement actif en fonction du déplacement de l'opérateur ou d'un objet.
A suivre.
05 octobre 2012 à 10:33

Bonjour. La réponse est oui, à condition que vous fassiez ce pontage en sécurité. Il faut bien évidemment disposer de Ph + N + T, l'interrupteur coupant alors la phase.
05 octobre 2012 à 10:27

Bonjour. TL est un télérupteur pour commande lumière, non utilisé pour le chauffe-eau.
A droite se trouve le contacteur chauffe-eau dont le bouton est en position auto (A). Le chauffe-eau sera donc alimenté la nuit. Pour forcer la chauffe, il faut mettre ce bouton en I.
A droite se trouve le contacteur chauffe-eau dont le bouton est en position auto (A). Le chauffe-eau sera donc alimenté la nuit. Pour forcer la chauffe, il faut mettre ce bouton en I.
05 octobre 2012 à 10:24

Bonjour réponse 2. CMT explique en 1 le branchement de la liaison téléreport.
Ne confondez vous pas avec la téléinformation, nécessaire pour commander un gestionnaire d'énergie ?
Ne confondez vous pas avec la téléinformation, nécessaire pour commander un gestionnaire d'énergie ?
03 octobre 2012 à 23:57

Bien reçu. Sur le Legrand, il y a une arrivée Ph + N directe en haut, une sortie neutre en bas, ainsi que la phase graduée.
Sur le Hager, seule la phase graduée sort en bas en 2. Il faut donc raccorder ensemble les 2 neutres, arrivée et départ alors confondus en 1. Surtout, vous ne branchez rien en 4 et 6 (au risque de griller l'appareil) ; ce sont des entrées analogiques 0 + 10 V, inutilisées dans votre cas.
Voir la notice ev102.pdf
Vous ne pouvez alimenter que des lampes à incandescence. Au besoin, vous faites un montage en fils volants sur l'établi.
Sur le Hager, seule la phase graduée sort en bas en 2. Il faut donc raccorder ensemble les 2 neutres, arrivée et départ alors confondus en 1. Surtout, vous ne branchez rien en 4 et 6 (au risque de griller l'appareil) ; ce sont des entrées analogiques 0 + 10 V, inutilisées dans votre cas.
Voir la notice ev102.pdf
Vous ne pouvez alimenter que des lampes à incandescence. Au besoin, vous faites un montage en fils volants sur l'établi.
03 octobre 2012 à 23:47

Bonjour Madjid. N'en sachant pas plus que vous, mais connaissant quand même le principe de fonctionnement du montage, j'ai recherché la caractéristique de la lampe chez France lampes : lampe vapeur de mercure ainsi que le ballast compatible BHL 125 Philips : Ballasts Imprégnés MK4 BHL
Et vous verrez ainsi que les deux sont compatibles.
La tension secteur se répartit entre le ballast et la lampe à décharge. Bonne lecture.
Et vous verrez ainsi que les deux sont compatibles.
La tension secteur se répartit entre le ballast et la lampe à décharge. Bonne lecture.
03 octobre 2012 à 20:21

Bonjour Sizu. Il n'y a pas de grandes différences de câblage concernant ces télévariateurs. Bien que le 03670 ne soit apparemment plus au catalogue Legrand, on peut s'inspirer du câblage du 03671. La commande de chaque se fait par un BP relié à la phase directe et à une borne d'entrée. Il faut donc consulter les notices produit. Celle du 03670 pourra vous être fournie par Legrand (relations clientèle). Celle du EV102 est disponible sur le net.
Le changement par un modèle Legrand aurait été plus simple.
Le changement par un modèle Legrand aurait été plus simple.
03 octobre 2012 à 17:48

Bonjour Dominique en réponse 10. On peut comprendre que le lave linge présente un défaut d'isolement si le disjoncteur de branchement déclenche, en toute absence de déclenchement d'une protection modulaire contre les surintensités (disjoncteur ou fusible), et en toute absence de protection différentielle 30 mA présente sur le tableau de distribution.
Le phénomène constaté dans la salle de bains (vous ressentez une tension ? Dans quelles conditions exactement ?) nécessite des investigations sur place avec vérification du circuit de terre.
Le phénomène salle de bains doit être résolu au plus vite ; il y a danger.
Il vaut mieux appeler un professionnel ; il saura discriminer les circuits en cause et diagnostiquer les problèmes. GL
Le phénomène constaté dans la salle de bains (vous ressentez une tension ? Dans quelles conditions exactement ?) nécessite des investigations sur place avec vérification du circuit de terre.
Le phénomène salle de bains doit être résolu au plus vite ; il y a danger.
Il vaut mieux appeler un professionnel ; il saura discriminer les circuits en cause et diagnostiquer les problèmes. GL
02 octobre 2012 à 20:38

Bonjour réponse 5. Sauf erreur, tous les intervenants sur cette question ne font pas bien la différence entre tension (entre deux points - se mesure avec un voltmètre) et courant ou intensité du courant dans un conducteur (se mesure avec un ampèremètre) ; le testeur à lampe néon est sensible à la tension entre la pointe de touche et l'opérateur plus ou moins relié à la terre (on ne peut rentrer trop dans les détails faisant appel à la notion de champ électrique). Pour approfondir les phénomènes d'induction, voir la question 6847 qui traite ce sujet.
23 septembre 2012 à 23:33

Bonjour réponse 4. Le problème du compresseur entrainé par moteur asynchrone est l'intensité absorbée au démarrage direct. En plus, le fonctionnement du compresseur implique un démarrage en charge, deux raisons pour lesquelles le groupe doit être capable de délivrer une pointe d'intensité transitoire largement supérieure à son intensité nominale. Trois fois la puissance nominale utile est certainement une bonne indication, mais sans certitude que cela suffise ; et le coût du sur-dimensionnement n'est pas négligeable. Un essai serait nécessaire. Un vendeur expérimenté pourrait éventuellement vous conseiller sur la valeur minimum du multiplicateur.
Pour en avoir le cur net, un électrotechnicien ferait une mesure de l'intensité au démarrage direct avec une pince ampèremétrique possédant une fonction mémoire ("inrush"); le choix du groupe se ferait ensuite en fonction de l'intensité transitoire maximum possible de la génératrice synchrone.
Mais vous pourrez observer que les maçons faisant de l'enduit de façade projeté utilisent des groupes compresseurs à moteur thermique. Il y a une raison.
Pour en avoir le cur net, un électrotechnicien ferait une mesure de l'intensité au démarrage direct avec une pince ampèremétrique possédant une fonction mémoire ("inrush"); le choix du groupe se ferait ensuite en fonction de l'intensité transitoire maximum possible de la génératrice synchrone.
Mais vous pourrez observer que les maçons faisant de l'enduit de façade projeté utilisent des groupes compresseurs à moteur thermique. Il y a une raison.
22 septembre 2012 à 09:39

Bonjour réponse 2. Vous ne dites pas grand chose sur cette application, en mono ou triphasé, la longueur de la ligne, la nature de la charge. Pour vous répondre néanmoins, pour 1,1 kW utile en monophasé sur une longueur raisonnable, on peut vous conseiller une ligne de section 2,5 mm². Qui peut le plus peut le moins.
N'oublions pas qu'en démarrage direct, un moteur asynchrone absorbe une intensité transitoire entre 5 et 8 fois lintensité nominale, ce qui occasionne une chute de tension transitoire en ligne non négligeable.
N'oublions pas qu'en démarrage direct, un moteur asynchrone absorbe une intensité transitoire entre 5 et 8 fois lintensité nominale, ce qui occasionne une chute de tension transitoire en ligne non négligeable.
22 septembre 2012 à 09:03

Bonjour réponse 1. Effectivement. Si l'on tente une interprétation de l'exposé, on peut supposer que rouge = phase directe, blanc = phase coupée, et bleu = neutre. Si c'est cela, le neutre ne fait que passer et n'est pas raccordé sur l'appareillage. Mais depuis plus de cinq ans, l'internaute a dû faire le tri dans ses couleurs de conducteurs.
17 septembre 2012 à 18:00

Bonjour réponse 3. Cette question mal posée date de Mathusalem. L'auteur ne semble pas connaître le fonctionnement de l'appareillage, et les réponses 1 et 2 sont hors sujet, voire énigmatiques. Dans un interrupteur de ce type, la phase directe arrive sur une borne de l'interrupteur, puis en série avec la phase coupée on trouve le fusible dont la borne de sortie est reliée à la lampe (soit 2 conducteurs dans l'appareillage et non 3). Le neutre arrive directement à la lampe. Bref, un montage classique.
17 septembre 2012 à 17:55

Bonjour réponse 6. Si aucun disjoncteur ni interrupteur différentiel ne déclenche alors que tout (tout quoi exactement ?) se coupe, on peut envisager un mauvais contact quelque part, peut-être en sortie du disjoncteur de branchement si "tout" se coupe de façon sporadique (ou sur les bornier Ph N de votre tableau mal serré, ou bien une rangée de peignes).
Il faut donc vérifier les connexions du tableau et toutes les resserrer, installation hors tension. Pas bien grave à première vue.
Il faut donc vérifier les connexions du tableau et toutes les resserrer, installation hors tension. Pas bien grave à première vue.
17 septembre 2012 à 00:41

Bonjour réponse 7. C'est simple, il y a un circuit lumière dont phase et neutre ne sont pas en aval du même différentiel. Il faut donc identifier phase et neutre de ce circuit et les brancher en aval d'un seul différentiel.
17 septembre 2012 à 00:28

Bonjour Zebulon en réponse 6. Il faut considérer votre méthode comme un exercice qualitatif (juste pour voir), car en théorie on trouverait la somme de la résistance de l'habitat (Rh) plus la résistance du poste (Rp). De toute façon, votre conclusion est très prudente.
Approfondissons pour les curieux. Si on néglige la résistance du poste par rapport à Rh, en notant Ro la résistance de mesure, en notant E la valeur efficace de la ddp phase terre et Um l'indication du voltmètre, il vient (pont diviseur) Um = E. Ro/(Ro +Rh). Ce qui donne après calcul Rh = Ro(E-Um)/Um.
Faisons une application numérique avec Rh = 100 ohms, puis 1 000 ohms. Dans le premier cas, E = 220 V, on trouve Um = 218,8 V, et dans le deuxième avec une mauvaise prise de terre Um = 208,5 V. Ces deux valeurs sont assez comparables et l'on ne peut en tirer vraiment une certitude sur la bonne valeur de Rh. Déduire la valeur de Rh est possible, mais le calcul d'incertitude effectué sur une mesure par différence de valeurs très voisines donnerait un résultat s'exprimant certainement en dizaines de % en tenant compte de l'incertitude relative des 3 paramètres.
Conclusion : rien ne vaut un bon telluromètre ; mieux vaut oublier cette méthode. A la limite (à déconseiller totalement à tout bricoleur), il vaut mieux déclencher un DDR 30 mA en créant une dérivation vers la terre d'un courant de 22 mA eff permanent sans transitoire. Très facile en labo avec de l'instrumentation de mesure tout en étant du métier. Cordialement.
Approfondissons pour les curieux. Si on néglige la résistance du poste par rapport à Rh, en notant Ro la résistance de mesure, en notant E la valeur efficace de la ddp phase terre et Um l'indication du voltmètre, il vient (pont diviseur) Um = E. Ro/(Ro +Rh). Ce qui donne après calcul Rh = Ro(E-Um)/Um.
Faisons une application numérique avec Rh = 100 ohms, puis 1 000 ohms. Dans le premier cas, E = 220 V, on trouve Um = 218,8 V, et dans le deuxième avec une mauvaise prise de terre Um = 208,5 V. Ces deux valeurs sont assez comparables et l'on ne peut en tirer vraiment une certitude sur la bonne valeur de Rh. Déduire la valeur de Rh est possible, mais le calcul d'incertitude effectué sur une mesure par différence de valeurs très voisines donnerait un résultat s'exprimant certainement en dizaines de % en tenant compte de l'incertitude relative des 3 paramètres.
Conclusion : rien ne vaut un bon telluromètre ; mieux vaut oublier cette méthode. A la limite (à déconseiller totalement à tout bricoleur), il vaut mieux déclencher un DDR 30 mA en créant une dérivation vers la terre d'un courant de 22 mA eff permanent sans transitoire. Très facile en labo avec de l'instrumentation de mesure tout en étant du métier. Cordialement.
15 septembre 2012 à 20:01

Bien reçu réponse 4. Si vous êtes en milieu industriel vous observez les armoires existantes ; vous verrez que les portes sont d'office reliées par construction aux enveloppes métalliques constituant l'armoire par des tresses de bonne section.
Mais normalement vous êtes mandaté par la hiérarchie ou par un donneur d'ordre et ce serait davantage vers eux qu'il faudrait vous orienter en cas de doute persistant ; mais la norme rappelée précédemment est très claire.
On ne peut imaginer que l'ensemble de l'armoire ne soit pas relié au PE. Imaginez un contact accidentel mettant la seule porte au potentiel sans déclenchement d'une protection ou d'une alarme...
Il n'est pas certain que le cahier des charges de l'installation stipule cette obligation qui fait partie des règles du métier.
Pourquoi avez-vous des doutes concernant ce problème technique ?
Mais normalement vous êtes mandaté par la hiérarchie ou par un donneur d'ordre et ce serait davantage vers eux qu'il faudrait vous orienter en cas de doute persistant ; mais la norme rappelée précédemment est très claire.
On ne peut imaginer que l'ensemble de l'armoire ne soit pas relié au PE. Imaginez un contact accidentel mettant la seule porte au potentiel sans déclenchement d'une protection ou d'une alarme...
Il n'est pas certain que le cahier des charges de l'installation stipule cette obligation qui fait partie des règles du métier.
Pourquoi avez-vous des doutes concernant ce problème technique ?
03 septembre 2012 à 21:52

Bonjour réponse 2. Selon la norme EN 60439-1, les essais individuels de réception d'un ensemble comportent :
- une inspection d'ensemble y compris de la filerie, après une vérification des marquages et des repérages et ainsi que d'éventuels tests électriques,
- une vérification de l'isolement par test diélectrique ou par mesure de la résistance d'isolement,
- une vérification des mesures de protection contre les contacts indirects et de la continuité du circuit de protection.
Il est donc bien évident que tous les constituants de lenveloppe métallique sont reliés au circuit de protection, toutes les portes y comprises.
- une inspection d'ensemble y compris de la filerie, après une vérification des marquages et des repérages et ainsi que d'éventuels tests électriques,
- une vérification de l'isolement par test diélectrique ou par mesure de la résistance d'isolement,
- une vérification des mesures de protection contre les contacts indirects et de la continuité du circuit de protection.
Il est donc bien évident que tous les constituants de lenveloppe métallique sont reliés au circuit de protection, toutes les portes y comprises.
02 septembre 2012 à 09:14
