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a posté 20 715 messages sur le forum Électricité :
Bonjour. Ce tableau mériterait d'être refait. La protection 32 A convient, on n'est jamais à fond avec une plaque de cuisson et à 32 A consommé, le DJ ne déclenchera pas. Rappel : ID type A.
13 décembre 2009 à 09:49

Bonjour Dominique. Réponse : normalement oui ; référez vous à la notice du produit pour connaître les conditions d'emploi. D'autres questions abordent le même sujet.
13 décembre 2009 à 09:41

Bonjour. Ben... , on ne sait pas trop quoi vous répondre. On ne connait pas cet appareil. Il faudrait voir sur place. Faites vous aider éventuellement par un professionnel. Attention néanmoins : vous n'avez pas le droit de revendre de l'énergie électrique consommée dans le cas d'une location. Dans ce cas, le locataire doit avoir un abonnement autonome. Pour une location saisonnière, les frais peuvent être inclus dans une partie des charges, mais sans facturation à part.
13 décembre 2009 à 09:39

Le plus simple et le plus en sécurité est d'utiliser un petit spot sur pince et isolé classe II (sans terre). Oubliez le laiton, trop dangereux pour une installation apparente.
13 décembre 2009 à 09:32

Apparemment, votre question laisse les contributeurs dubitatifs. Si les phénomènes persistent, il faudra faire appel à un professionnel sur place.
13 décembre 2009 à 09:27

Bonjour. Il n'y a pas de fuite de quoi que ce soit. On rappelle que les variateurs usuels sont prévus pour alimenter des lampes à incandescence 220 V et aucun autre type de lampe (led ou fluocompacte, 220 V ou 12 V). S'il y a un éclairement résiduel, il peut s'agir d'un seuil mal réglé, qu'un potentiomètre de réglage interne devrait permettre de compenser.
13 décembre 2009 à 09:20

Il n'y a pas d'appareil de mesure défectueux. On expose souvent la même chose, à savoir qu'utiliser un appareil de mesure, numérique de surcroit, nécessite des connaissances et un minimum de pratique. Voir entre autre, la question 6847 qui aborde quelques problèmes de mesurage. Il peut y avoir un problème de contact dans la douille, voire lampe neuve HS, qui sait ?
13 décembre 2009 à 00:28

Bonjour.
1. Le vendeur est incompétent en électricité.
1 bis. Sa fonction est aussi de vous fournir les indications de branchement. Ou alors il fait appel à un collègue expérimenté, ou vous propose de faire réaliser le branchement par un technicien.
2. Il faut joindre la notice si vous voulez que l'on puisse tenter de vous dépanner. A bientôt.
1. Le vendeur est incompétent en électricité.
1 bis. Sa fonction est aussi de vous fournir les indications de branchement. Ou alors il fait appel à un collègue expérimenté, ou vous propose de faire réaliser le branchement par un technicien.
2. Il faut joindre la notice si vous voulez que l'on puisse tenter de vous dépanner. A bientôt.
13 décembre 2009 à 00:23

Bonjour JF. Vous tapez "interrupteur horaire" ou "horloge modulaire", et vous allez arriver, outre Radiopares, chez les habituels constructeurs que nous recommandons régulièrement (SE, L, H).
12 décembre 2009 à 13:47

Bonjour. Le plus simple est de faire l'installation en 230 V alternatif, puis d'alimenter les éventuels luminaires en BT avec leur propre alimentation électronique. La section des conducteurs sera globalement en rapport inverse de la tension, et couper un fort courant continu est plus délicat que de couper un petit courant alternatif, les circuits étant automatiquement inductifs. Il vous faudrait un stock d'interrupteurs à changer tous les mois, d'autant plus qu'il semble que le matériel qui conviendrait n'existe pas pour le domestique. Idée à abandonner, car peu réaliste et inutile.
11 décembre 2009 à 18:17

Bonjour. On peut mettre un antiparasite pour moteur. C'est simplement une petite capacité de quelques fractions de microfarad 250 V. Essayez chez Radiospares. On peut aussi essayer d'en récupérer un sur un vieil aspirateur.
11 décembre 2009 à 18:03

Bonjour JF. Je n'ai rien trouvé qui fonctionnerait sur pile et qui délivrerait un contact sec. Sur secteur, on trouve facilement.
11 décembre 2009 à 17:58

Bonjour. Si vous êtes pompier ou gendarme ou policier ou ambulancier, il y a sans doute une réglementation à respecter. C'est par cela qu'il faudrait commencer l'étude afin de savoir ce que dit le Droit.
11 décembre 2009 à 17:55

Pour rep 3. Ce type de question n'appelle qu'une seule réponse faisant référence aux normes, en apportant quelques précisions si besoin est. C'est ce qu'à fait rapidement et de façon complète CMT en réponse 2. Votre contribution d'électricien (pas fausse néanmoins) est trop fondée sur l'habitude.
10 décembre 2009 à 10:05

C'est juste pour apporter une information supplémentaire sur les fonctions disponibles, il y avait de la place à droite et la photo est particulièrement nette. Pareil pour le zoom du cadran juste au dessous où je précise les caractéristiques habituelles des appareils analogiques magnétoélectriques, classe de précision et résistance spécifique en fonction voltmètre en DC et AC. Normalement, vous en savez plus désormais qu'un électricien moyen.
10 décembre 2009 à 09:44

Bonjour M. Je me permets d'apporter quelques précisions.
Les thermostats à bulbes, voire à bilames étaient des générateurs de parasites radio-électriques très importants, la commutation se faisant comme elle pouvait par des contacts ± oxydés et ± rapides à des instants quelconques de l'onde de tension (donc de courant).
Le triac en lui même ne génère pas de parasite. Dans le cas de la commande électronique des convecteurs (gradateur à train d'ondes), le triac est utilisé en interrupteur statique : il devient passant au zéro de tension, et se bloque au zéro de courant.
Ainsi, il n'y a aucune variation rapide de courant pouvant engendrer un quelconque parasite rayonné ou conduit (Ldi/dt est minimum ; les théoriciens comprendront).
On ne peut en dire autant des gradateurs à réglage de phase ; ceux-ci doivent au minimum être équipés chacun d'un filtre qui minimise Ldi/dt à l'amorçage.
On peut en effet voir une inductance bobinée sur un tore quand on ouvre un petit gradateur. La commande électronique des convecteur permet une régulation (au demi degré) et une programmation que les thermostats à bulbes ou à bilames ne permettaient pas.
Pour le problème de l'internaute, il s'agit certainement d'un thermostat mécanique qui génère un parasite à l'ouverture.
Un petit condensateur en parallèle avec le contact résoudrait peut-être le problème. Mais il faudrait également revoir en priorité le circuit d'antenne de l'habitation.
Les thermostats à bulbes, voire à bilames étaient des générateurs de parasites radio-électriques très importants, la commutation se faisant comme elle pouvait par des contacts ± oxydés et ± rapides à des instants quelconques de l'onde de tension (donc de courant).
Le triac en lui même ne génère pas de parasite. Dans le cas de la commande électronique des convecteurs (gradateur à train d'ondes), le triac est utilisé en interrupteur statique : il devient passant au zéro de tension, et se bloque au zéro de courant.
Ainsi, il n'y a aucune variation rapide de courant pouvant engendrer un quelconque parasite rayonné ou conduit (Ldi/dt est minimum ; les théoriciens comprendront).
On ne peut en dire autant des gradateurs à réglage de phase ; ceux-ci doivent au minimum être équipés chacun d'un filtre qui minimise Ldi/dt à l'amorçage.
On peut en effet voir une inductance bobinée sur un tore quand on ouvre un petit gradateur. La commande électronique des convecteur permet une régulation (au demi degré) et une programmation que les thermostats à bulbes ou à bilames ne permettaient pas.
Pour le problème de l'internaute, il s'agit certainement d'un thermostat mécanique qui génère un parasite à l'ouverture.
Un petit condensateur en parallèle avec le contact résoudrait peut-être le problème. Mais il faudrait également revoir en priorité le circuit d'antenne de l'habitation.
09 décembre 2009 à 23:58

Bonjour. Il n'y a pas de signal, seulement un contact sec (C1 C2) qui se ferme en HC.
Voir question 6682 où un lien vers un document théoriquement explicite est proposé.
Vous y retrouverez le schéma en votre possession, mais développé.
Sur le tableau, vous avez la place pour rajouter les 2 DJ (2 et 20 A)+ le contacteur ; la puissance doit être câblée en 2,5 mm² et la commande en 1,5 mm².
Mais il serait prudent de sous-traiter ce travail si vous êtes éloigné de la partie.
Voir question 6682 où un lien vers un document théoriquement explicite est proposé.
Vous y retrouverez le schéma en votre possession, mais développé.
Sur le tableau, vous avez la place pour rajouter les 2 DJ (2 et 20 A)+ le contacteur ; la puissance doit être câblée en 2,5 mm² et la commande en 1,5 mm².
Mais il serait prudent de sous-traiter ce travail si vous êtes éloigné de la partie.
09 décembre 2009 à 23:27

Cours d'élec. Chapitre "caractéristiques des batteries au plomb usuelles".
L'étiquette signalétique d'une batterie au plomb montée sous le capot d'un véhicule comporte 3 indications : la tension nominale (12 V correspond à 6 éléments en série, donc 6 bouchons de remplissage pour une batterie à électrolyte liquide), le courant pointe susceptible d'être délivré lors du démarrage d'un moteur thermique (voir le graphe en question 6855), et la capacité exprimée en Ah. Cette dernière est normalisée et correspond au débit d'un courant constant en 10 h (C/10). Ainsi, pour une batterie 100 Ah en bon état, on peut disposer en théorie d'un courant constant de 10 A pendant 10 h. Mais en une heure, on n'aura jamais 100 A.
L'internaute devra choisir des lampes qui fonctionnent en courant continu, puis connaître le courant nominal de chacune. A partir de là, il pourra estimer la durée de fonctionnement correspondant à 80% maxi de la capacité nominale de la batterie. Mais le panneau solaire est peut-être une meilleure idée, l'ensemble capteur + batterie + diodes électroluminescentes formant un kit complet autonome.
L'étiquette signalétique d'une batterie au plomb montée sous le capot d'un véhicule comporte 3 indications : la tension nominale (12 V correspond à 6 éléments en série, donc 6 bouchons de remplissage pour une batterie à électrolyte liquide), le courant pointe susceptible d'être délivré lors du démarrage d'un moteur thermique (voir le graphe en question 6855), et la capacité exprimée en Ah. Cette dernière est normalisée et correspond au débit d'un courant constant en 10 h (C/10). Ainsi, pour une batterie 100 Ah en bon état, on peut disposer en théorie d'un courant constant de 10 A pendant 10 h. Mais en une heure, on n'aura jamais 100 A.
L'internaute devra choisir des lampes qui fonctionnent en courant continu, puis connaître le courant nominal de chacune. A partir de là, il pourra estimer la durée de fonctionnement correspondant à 80% maxi de la capacité nominale de la batterie. Mais le panneau solaire est peut-être une meilleure idée, l'ensemble capteur + batterie + diodes électroluminescentes formant un kit complet autonome.
09 décembre 2009 à 15:07

OK Bob35, je n'avais même pas vu cela. En bref, tout le tableau est à revoir. L'internaute peut s'inspirer des nombreux exemples de tableaux disponibles sur le forum.
09 décembre 2009 à 14:24

Bonjour. On pourrait ajouter que la téléinformation n'est pas indispensable, notamment dans le cas où le compteur est électromécanique. En effet, le but du jeu est de couper de façon cyclique différents convecteurs répartis en 2 ou 3 zones de l'habitation. Dans ce cas, il faut un programmateur avec fonction délestage équipé d'un tore de mesure de courant. Si vous n'êtes pas familier de ces techniques, le plus sage serait de faire intervenir un professionnel qui raccordera tous les convecteurs en aval d'un même ID, le programmateur qu'il aura défini à partir de vos besoins, et les fils pilote.
09 décembre 2009 à 14:19

Bonjour. Ce système se nomme "relais de surveillance d'intensité". Chauvin Arnoux en propose, de même que Pilz dont vous pouvez avoir un aperçu en suivant ce lien :
www.audin.fr-pilz-relais-de-surveillance
Mais mettre en uvre un système engageant votre responsabilité en cas d'accident sur un système accessible au public, dont vous auriez modifié la structure, serait plutôt du ressort du constructeur et de son bureau d'études. Le système doit être fiable à 100 %, les protections redondantes, et sans doute certifié par un organisme de contrôle habilité.
www.audin.fr-pilz-relais-de-surveillance
Mais mettre en uvre un système engageant votre responsabilité en cas d'accident sur un système accessible au public, dont vous auriez modifié la structure, serait plutôt du ressort du constructeur et de son bureau d'études. Le système doit être fiable à 100 %, les protections redondantes, et sans doute certifié par un organisme de contrôle habilité.
09 décembre 2009 à 10:18

Bonjour. Il y a une ligne dont le neutre est sous l'ID du bas, et la phase sur l'ID du haut. Il faut appairer les Ph et N d'un même circuit sous le même ID. Il y a déclenchement quand un circuit (lumière ou PC) débite. En opérant par coupures successives des circuits, vous devriez arriver à localiser le défaut. C'est un grand classique de la rénovation. Les modes opératoires sont décrits dans certaines questions du forum. Remarque globale : il n'y a pas assez d'ID. Celui du bas est sous-dimensionné, il faut passer à 63 A type A ; celui du haut mériterait le même traitement.
08 décembre 2009 à 14:28

Bonjour. Vous pourrez obtenir des renseignements en suivant ce lien : chiffrage.batiactu.com&
Vous pourriez peut-être obtenir des informations ou une assistance auprès de la Chambre Syndicale du Bâtiment de votre région.
Vous pourriez peut-être obtenir des informations ou une assistance auprès de la Chambre Syndicale du Bâtiment de votre région.
08 décembre 2009 à 12:05

Bonjour Semlab. Une consultation du site Heidolph n'apporte pas de renseignements techniques ; 1002 mbar est pratiquement la pression atmosphérique. Cette pompe ne fonctionne pas. Il faut contacter le fabricant ou le revendeur agréé.
08 décembre 2009 à 11:02

Bonjour. C'est simple, un détecteur de passage (qui fonctionne comme un interrupteur temporisé), n'est pas compatible avec un montage télérupteur, qui fonctionne par appuis successifs sur un bouton poussoir.
07 décembre 2009 à 14:47

Bonjour. Cette question semble être posée dans le cadre d'une formation. Dans ce cas il faut vous documenter sur les propriétés physiques et mécaniques des deux matériaux (résistivité, coefficient de température, ductilité, résistances mécaniques diverses) et prix de revient. Ensuite, vous en déduirez vous même les conditions d'emploi de ces deux matériaux dans le transport de l'énergie électrique. Pourquoi n'utilise-t-on pas le fer comme conducteur ? Bonne recherche.
07 décembre 2009 à 14:43

Bonjour. Pour une initiation à distance sur ce multimètre analogique et ses petits frères maintenant bien anciens (mais fort pratiques), il est possible de consulter ce document récemment terminé :
Pour agrandir les images, cliquez dessus.







également utilisation multimetre metrix bv2009.pdf.
Pour agrandir les images, cliquez dessus.







également utilisation multimetre metrix bv2009.pdf.
06 décembre 2009 à 10:55

Bonjour. Vous n'allez pas mettre en uvre des spots de forte puissance. Dans ce cas, il vaut mieux utiliser de petites alimentations électroniques faciles à incorporer comme celle décrite en question 6571. En 6592 vous trouverez un lien proposé par CMT vers un document Promotelec propre aux salles d'eau (qui vous évitera peut-être des frais supplémentaires). Il vaut mieux éviter les solutions lourdes en domestique, avec les inconvénients décrits par DB.
05 décembre 2009 à 14:19

Révision de décembre - actualisation de celle d'octobre.
Les termes "voltage" et "ampérage" souvent employés sur le forum ne font pas partie du vocabulaire de la physique, bien qu'ils soient malheureusement utilisés par la langue courante. Quel que soit le niveau de formation en électrotechnique ou en physique depuis des dizaines d'année en pays francophones, on utilise "tension" et "intensité du courant", voire "intensité" tout court ou "courant".
L'expression de la puissance exprimée par DB est valable en régime continu. En alternatif ou régime variable c'est totalement différent. Ce n'est pas la loi d'ohm.
Les termes "voltage" et "ampérage" souvent employés sur le forum ne font pas partie du vocabulaire de la physique, bien qu'ils soient malheureusement utilisés par la langue courante. Quel que soit le niveau de formation en électrotechnique ou en physique depuis des dizaines d'année en pays francophones, on utilise "tension" et "intensité du courant", voire "intensité" tout court ou "courant".
L'expression de la puissance exprimée par DB est valable en régime continu. En alternatif ou régime variable c'est totalement différent. Ce n'est pas la loi d'ohm.
04 décembre 2009 à 09:22

Bonjour internaute 2. Je crois que vous faites une erreur.
02 décembre 2009 à 20:02

Pour en savoir plus, demarrage groupe 25 kva bricovideo gl.pdf, dont voici la capture en image :
Pour agrandir l'image, cliquez dessus.

concernant l'enregistrement d'un courant de démarrage d'un groupe électrogène 25 kVA à vide.
Pour agrandir l'image, cliquez dessus.

concernant l'enregistrement d'un courant de démarrage d'un groupe électrogène 25 kVA à vide.
02 décembre 2009 à 10:55

Bonjour. Le plus simple et le moins cher est de faire une mesure du courant dans la ligne avec un ampèremètre de tableau ferromagnétique à lecture directe (voir le modèle 287-2059 calibre 25 A chez Radiospares). En attendant, le plus simple est d'ouvrir la porte de temps en temps et d'écouter si le cycle est terminé.
02 décembre 2009 à 10:15

Bonjour Tania. Mis à part que vous ne pourrez faire fonctionner la lampe fluocompacte avec votre gradateur, vous pouvez vérifier le fusible interne dans le boîtier comme dit en réponse 1, et également les contacts du support de lampe halogène tubulaire si c'est de cela qu'il s'agit et qui ont la fâcheuse tendance à s'oxyder. Le triac mort est plus souvent en court-circuit que non passant. On peut le contrôler en démontant, mais il faut savoir le faire. Donc contacts de lampe et continuité de la ligne vers la douille à vérifier.
02 décembre 2009 à 09:50

Bonjour Treker. Voir la question 6847 qui aborde ce sujet. Il n'y a rien à faire pour le moment, c'est un problème de fonctionnement du triac inventé il y a des dizaines d'années, composant bien pratique pour commuter des courants importants (éclairage et commande de moteurs universels - aspirateurs, lave linge, perçeuses etc.), et pas adapté aux petites charges.
02 décembre 2009 à 09:39

Bonjour M. F. A priori le principe est bon, il faudrait faire l'essai rien que pour le plaisir ; vous voulez sans doute parler de la transmission de signaux sur ligne symétrique.
Mais la mise en uvre dans une installation domestique où ce ne sont pas des petits signaux mais de la distribution d'énergie serait un peu lourde (au figuré comme au propre) pour le bénéfice que l'on en attend, et on changerait le schéma de liaison à la terre (anciennement régime de neutre).
Cela signifierait de monter autant de transformateurs bien lourds que de lignes comportant des spots à led ou de fluocompactes 1er choix.
Ce problème s'ajoute au fait que les détecteurs ou variateurs à triacs prévus pour les lampes à incandescence ne fonctionnent pas avec ces lampes (du fait de l'allure du courant consommé qui n'est pas sinusoïdal).
On aimerait connaître les avis de MM Osram, Philips et autres chinois qui mettent sur le marché des produits défaillants par construction. Quant à M. Legrand, il a peut-être des produits en projets dans ses tiroirs. Franck n'a pas trop de solution, à part celles précédemment évoquées.
Mais la mise en uvre dans une installation domestique où ce ne sont pas des petits signaux mais de la distribution d'énergie serait un peu lourde (au figuré comme au propre) pour le bénéfice que l'on en attend, et on changerait le schéma de liaison à la terre (anciennement régime de neutre).
Cela signifierait de monter autant de transformateurs bien lourds que de lignes comportant des spots à led ou de fluocompactes 1er choix.
Ce problème s'ajoute au fait que les détecteurs ou variateurs à triacs prévus pour les lampes à incandescence ne fonctionnent pas avec ces lampes (du fait de l'allure du courant consommé qui n'est pas sinusoïdal).
On aimerait connaître les avis de MM Osram, Philips et autres chinois qui mettent sur le marché des produits défaillants par construction. Quant à M. Legrand, il a peut-être des produits en projets dans ses tiroirs. Franck n'a pas trop de solution, à part celles précédemment évoquées.
02 décembre 2009 à 09:27

Bonjour. Voir ce lien vers le site du Palais de la découverte : www.palais-decouverte.fr fiches expériences la pile au citron.pdf, dont voici un extrait en image :
Pour agrandir l'image, cliquez dessus.

Les pièces de 20 c permettent aux électrodes d'avoir une grande surface de contact avec l'électrolyte (jus de citron = acide citrique).
Le courant généré est faible (la résistance interne de la pile est grande) ; il est donc préférable d'allumer une led, et de mettre plusieurs citrons en série.
Ne pas oublier que la chaîne de conducteurs doit être dissymétrique (Cu Zn par exemple).
Faire la même chose avec le vinaigre.
Mesurer la tension à vide (appelée "force électromotrice" ou FEM) et comparer.
Brancher la led ensuite (faire attention au sens) - courant de quelques mA.
Une expérience facile à faire : dans la main gauche, un corps de critérium en aluminium, et dans la main droite une grosse mine de crayon.
On fait toucher le graphite et l'aluminium sur les bornes d'un voltmètre (petit calibre continu) ; observer et interpréter par rapport aux expériences précédentes.
Puisque vous êtes débutant, bannissez tout de suite les termes voltage et ampérage.
Pour agrandir l'image, cliquez dessus.

Les pièces de 20 c permettent aux électrodes d'avoir une grande surface de contact avec l'électrolyte (jus de citron = acide citrique).
Le courant généré est faible (la résistance interne de la pile est grande) ; il est donc préférable d'allumer une led, et de mettre plusieurs citrons en série.
Ne pas oublier que la chaîne de conducteurs doit être dissymétrique (Cu Zn par exemple).
Faire la même chose avec le vinaigre.
Mesurer la tension à vide (appelée "force électromotrice" ou FEM) et comparer.
Brancher la led ensuite (faire attention au sens) - courant de quelques mA.
Une expérience facile à faire : dans la main gauche, un corps de critérium en aluminium, et dans la main droite une grosse mine de crayon.
On fait toucher le graphite et l'aluminium sur les bornes d'un voltmètre (petit calibre continu) ; observer et interpréter par rapport aux expériences précédentes.
Puisque vous êtes débutant, bannissez tout de suite les termes voltage et ampérage.
01 décembre 2009 à 22:25

Bonjour. Pour revendre de l'énergie et que ça en vaille la peine, il faut des dizaines ou centaines de m² de panneaux. L'interface entre panneaux et réseau EDF est un onduleur triphasé qui est configuré pour débiter dans le réseau. C'est pareil pour certains générateurs tournants à vitesse variable et débitant de l'énergie en alternatif à fréquence fixe (par exemple, le réseau de bord 400 Hz dans les avions); un onduleur fait le travail.
01 décembre 2009 à 10:24

Bonjour. Une question préalable : c'est un appareil électro-portatif avec moteur asynchrone triphasé ? Dans ce cas, est-ce un matériel de professionnel ? Vous pouvez joindre la documentation, cela peut intéresser les lecteurs.
Pour ce qui est de faire fonctionner un moteur tri en mono, voir la question 6787 qui aborde un problème analogue.
Pour ce qui est de faire fonctionner un moteur tri en mono, voir la question 6787 qui aborde un problème analogue.
01 décembre 2009 à 10:13

Bonjour. Le mieux serait que vous posiez directement vos questions ici même et je rédigerai un document résumé accessible à tous les lecteurs ayant les mêmes problèmes. Mais vous pouvez déjà vous procurer un livre de classe de premier niveau (CAP, BEP, Bac pro) sur les fondamentaux de l'électricité, à commencer par les définitions basiques tensions et courants, régimes continu et alternatif. La tension est analogue à la pression, le courant est analogue à un débit. Vous entrevoyez alors la façon de disposer les appareils de mesure voltmètre et ampèremètre (vous savez brancher un manomètre, idem pour un débitmètre); de même, vous savez qu'il peut y avoir pression, mais pas débit si un robinet est fermé ; voila pour la première leçon.
01 décembre 2009 à 09:59

Bonjour. C'est simple, un petit voyant 220 V branché entre les bornes A1 et A2 du contacteur de chauffe eau. Voir question 6682 où un lien vers un document théoriquement explicite est proposé.
01 décembre 2009 à 09:41

Si c'est dans le cadre d'une formation, il faut que vous cherchiez les fonctions à réaliser. Ensuite, vous mettez en application les données du cours et des TP, pour le fonctionnement et l'arrêt d'urgence.
01 décembre 2009 à 09:38

Bonjour. Il n'y a pas de fil pilote, seulement un contact sec qui se ferme en HC. Voir question 6682 où un lien vers un document théoriquement explicite est proposé. Pour la mesure des tensions, voir question 6847.
01 décembre 2009 à 09:36

Bonjour Franck. J'ai repris en gros ce que j'avais dit en 6618, vous trouverez également une autre version en 6524 qui évoque les essais de A+ en réponse 4. M. propose la même explication. En conclusion, il y a 3 aspects à ce problème :
1. La présence de tensions induites sur un fil en l'air et c'est inévitable ; entre phase coupée et neutre on a alors une source de tension parfaite en série avec une grande résistance interne qui peut être mise en évidence avec un testeur à lampe néon ou un voltmètre numérique de très grande impédance interne, les deux ne consommant pratiquement rien ; cette tension s'écroule dès l'instant ou l'on charge cette source avec une impédance faible, lampe témoin ou voltmètre analogique ou numérique Low Z (effet pont diviseur).
2. La mesure des tensions - voir ci-dessus. L'importance de la résistance d'entrée du voltmètre doit être prise en compte vis à vis de la résistance interne de la source de tension équivalente. Il y a un effet pont diviseur de tension entre la résistance de source et la résistance interne de l'appareil de mesure qui peut alors perturber la mesure.
3. La sensibilité des lampes led ou autres charges ne consommant pratiquement rien (comme les testeurs) et produisant un faible éclairement.
4. Remèdes. Trouver des lampes insensibles à ce phénomène par construction. Brancher sur la ligne une lampe à incandescence. Brancher sur la ligne une capacité qui shuntera la tension résiduelle, mais cela reste du bricolage (en fin de vie, cette capacité émet une fumée blanche très dense, avec une forte odeur de brulé).
Voila pour quelques explications théoriques. Quant à l'énergie consommée, c'est négligeable.
1. La présence de tensions induites sur un fil en l'air et c'est inévitable ; entre phase coupée et neutre on a alors une source de tension parfaite en série avec une grande résistance interne qui peut être mise en évidence avec un testeur à lampe néon ou un voltmètre numérique de très grande impédance interne, les deux ne consommant pratiquement rien ; cette tension s'écroule dès l'instant ou l'on charge cette source avec une impédance faible, lampe témoin ou voltmètre analogique ou numérique Low Z (effet pont diviseur).
2. La mesure des tensions - voir ci-dessus. L'importance de la résistance d'entrée du voltmètre doit être prise en compte vis à vis de la résistance interne de la source de tension équivalente. Il y a un effet pont diviseur de tension entre la résistance de source et la résistance interne de l'appareil de mesure qui peut alors perturber la mesure.
3. La sensibilité des lampes led ou autres charges ne consommant pratiquement rien (comme les testeurs) et produisant un faible éclairement.
4. Remèdes. Trouver des lampes insensibles à ce phénomène par construction. Brancher sur la ligne une lampe à incandescence. Brancher sur la ligne une capacité qui shuntera la tension résiduelle, mais cela reste du bricolage (en fin de vie, cette capacité émet une fumée blanche très dense, avec une forte odeur de brulé).
Voila pour quelques explications théoriques. Quant à l'énergie consommée, c'est négligeable.
01 décembre 2009 à 09:26

Doublement non (CMT et BB). Si vous ne pouvez monter une boîte, vous pouvez repasser une ligne avec des fils plus longs, et rallonger la gaine ICT avec un manchon.
La règle anti incendie d'origine électrique est que toutes les connexions doivent être accessibles et les fils protégés.
La règle anti incendie d'origine électrique est que toutes les connexions doivent être accessibles et les fils protégés.
30 novembre 2009 à 13:50

Bonjour. Il y a 3 modes de fonctionnement de la téléinformation : veille - métrologie - téléinformation. L'agent EDF programme en fonction du contrat souscrit. Après avoir vérifié que la ligne entre le compteur (bornes I1 I2) et l'entrée gestionnaire est correctement branchée, il ne restera qu'a appeler un agent EDF en cas de problème persistant afin qu'il vérifie l'état de la sortie téléinformation.
30 novembre 2009 à 10:02

Bonjour. Voir la question 6618 qui traite ce sujet. Les lampes led ou certaines fluocompactes, pas toutes, ont la fâcheuse tendance à se comporter comme les testeurs à lampe néon lorsque qu'un fil de phase est coupé par un interrupteur.
Vous mesurez la tension entre neutre et un fil en l'air qui est soumis à des tensions induites du fait de son environnement, avec un multimètre de haute impédance d'entrée, et celui ci indique une valeur erronée. Si vous mettez entre les pointes de touche une lampe témoin à incandescence cette tension va s'écrouler ; si vous utilisez un multimètre numérique avec la fonction volts AC Low Z, il en sera de même ; et si vous utilisez le MX 430 magnétoélectrique de la question 6840, du fait de sa faible résistance d'entrée de 4 k. ohms/V en alternatif, la mesure des tensions sera correcte.
On attend de vos nouvelles.
Vous mesurez la tension entre neutre et un fil en l'air qui est soumis à des tensions induites du fait de son environnement, avec un multimètre de haute impédance d'entrée, et celui ci indique une valeur erronée. Si vous mettez entre les pointes de touche une lampe témoin à incandescence cette tension va s'écrouler ; si vous utilisez un multimètre numérique avec la fonction volts AC Low Z, il en sera de même ; et si vous utilisez le MX 430 magnétoélectrique de la question 6840, du fait de sa faible résistance d'entrée de 4 k. ohms/V en alternatif, la mesure des tensions sera correcte.
On attend de vos nouvelles.
30 novembre 2009 à 09:25

Bonjour. Il y a une contradiction. Dans le titre vous écrivez "analogique", et dans le texte "numérique". En analogique vous êtes obligé de faire une interpolation entre graduations puis d'en déduire la valeur, et en numérique il n'y a qu'à lire.
Dans un cas comme dans l'autre, en régime continu on utilise la fonction continue, l'appareil indique la valeur moyenne de la grandeur.
Si vous rajoutez une diode en série, il y a peut-être une utilité que vous ne développez pas, mais dans ce cas, il faut que le montage piles + diode débite.
Dans un cas comme dans l'autre, en régime continu on utilise la fonction continue, l'appareil indique la valeur moyenne de la grandeur.
Si vous rajoutez une diode en série, il y a peut-être une utilité que vous ne développez pas, mais dans ce cas, il faut que le montage piles + diode débite.
29 novembre 2009 à 21:18

Bonjour. Vous avez fait une très bonne affaire. Vous pouvez consulter mx430 gl.pdf, dont voici la première page :
Pour agrandir l'image, cliquez dessus.

Vous y trouverez les caractéristiques et le mode d'emploi, plus quelques annotations personnelles. Cet appareil n'est électriquement pas fragile, sauf en fonction mesure intensité, mais comme tous les multimètres. Il faut simplement approvisionner les bons fusibles. Dites ce que vous voulez savoir de plus après lecture du document.
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Vous y trouverez les caractéristiques et le mode d'emploi, plus quelques annotations personnelles. Cet appareil n'est électriquement pas fragile, sauf en fonction mesure intensité, mais comme tous les multimètres. Il faut simplement approvisionner les bons fusibles. Dites ce que vous voulez savoir de plus après lecture du document.
29 novembre 2009 à 12:51

Bonjour 1Insp. J'ai trouvé bizarre que certaines réponses, sans doute fondées sur l'habitude, soient si catégoriques alors qu'effectivement les textes concernant l'installation électrique des locaux d'habitation ne font que conseiller l'usage d'un transformateur de sécurité pour les installations extérieures sans qu'il y ait obligation.
En résumé pour l'internaute ayant posé la question : au choix, commande en BT, 230 V (avec BP IP24 minimum et IK07, voir gamme Plexo) ou radio.
Cordialement,
En résumé pour l'internaute ayant posé la question : au choix, commande en BT, 230 V (avec BP IP24 minimum et IK07, voir gamme Plexo) ou radio.
Cordialement,
28 novembre 2009 à 20:16

Bonjour DB. Il ne s'agit pas d'un tableau de répartition principal mais secondaire qui alimente un local annexe. Les règles concernant la prise de terre sont disponibles dans les documents régulièrement rappelés sur le forum. En effet, écrire "il faut... " implique une obligation irrémédiable, ce qui n'est pas le cas. L'internaute est au Canada (donc Amérique du nord), où la distribution n'est pas la même qu'en France. Il faut donc plus que jamais argumenter en connaissance de cause et avec les précautions d'usage. Cordialement,
27 novembre 2009 à 09:25
