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a posté 20 678 messages sur le forum Électricité :
Bonjour. Une devinette du soir.
Ce carillon s'alimente en 230 V. En est-il de même de votre ancienne sonnette ? Comment était-elle branchée ?
A partir de là, on pourrait supposer que le rouge serait une phase directe, le noir qui part la phase coupée par le BP, le bleu serait le neutre, le blanc, on ne sait pas.
Avec une lampe témoin vous vérifiez qu'elle s'allume si, branchée entre bleu et noir, elle s'allume lors de l'appui sur le BP. Si oui, vous connectez ces fils sur le bornier 230 V du carillon.
Tout cela n'est qu'une déduction à partir des couleurs, et du seul renseignement disponible concernant le carillon : alimentation 230 V.
Vous faites quelques vérifications avant de brancher.
Mais on ne voit pas la fonction du fil blanc ; essayez de chercher.
Cordialement.
Ce carillon s'alimente en 230 V. En est-il de même de votre ancienne sonnette ? Comment était-elle branchée ?
A partir de là, on pourrait supposer que le rouge serait une phase directe, le noir qui part la phase coupée par le BP, le bleu serait le neutre, le blanc, on ne sait pas.
Avec une lampe témoin vous vérifiez qu'elle s'allume si, branchée entre bleu et noir, elle s'allume lors de l'appui sur le BP. Si oui, vous connectez ces fils sur le bornier 230 V du carillon.
Tout cela n'est qu'une déduction à partir des couleurs, et du seul renseignement disponible concernant le carillon : alimentation 230 V.
Vous faites quelques vérifications avant de brancher.
Mais on ne voit pas la fonction du fil blanc ; essayez de chercher.
Cordialement.
25 avril 2015 à 23:48

Bonjour.
Il faut vous assurer que chaque circuit lumière Ph + N est bien appairé et donc en aval d'un même interrupteur différentiel.
Si avant changement de différentiel aucun déclenchement ne se produisait par mise en service des lampes, c'est qu'il y a peut-être une erreur de câblage.
Que voulez-vous dire ?
Il faudrait approfondir vos observations. On suppose que c'est toujours par allumage de lampes. La technique régulièrement rappelée consiste à abaisser tous les DJ, puis on les remonte un par un pour voir quel circuit fait déclencher un ou deux interrupteurs différentiels simultanément.
A suivre.
Cordialement.
Il faut vous assurer que chaque circuit lumière Ph + N est bien appairé et donc en aval d'un même interrupteur différentiel.
Si avant changement de différentiel aucun déclenchement ne se produisait par mise en service des lampes, c'est qu'il y a peut-être une erreur de câblage.
Citation :
Phase à la terre
Que voulez-vous dire ?
Citation :
...trois font sauter.
Il faudrait approfondir vos observations. On suppose que c'est toujours par allumage de lampes. La technique régulièrement rappelée consiste à abaisser tous les DJ, puis on les remonte un par un pour voir quel circuit fait déclencher un ou deux interrupteurs différentiels simultanément.
A suivre.
Cordialement.
24 avril 2015 à 23:19

Bonjour. 380 V tri + neutre 16 A signifie 16 A par phase. Donc le montage est équivalent à 3 sources monophasées 230 V 16 A.
Approfondissons. Si l'on suppose que le disjoncteur de branchement est tétrapolaire 10 à 30 A réglable par paliers de 5 A, en 15 A 230 V, la puissance totale disponible est de 10 350 VA, ce qui correspond à 3 450 VA par phase sous 230 V (et ce n'est pas beaucoup).
Le disjoncteur se moque de la puissance qui le traverse ; seule l'intensité compte. On parle bien de la puissance apparente en VA, la puissance active en W, suivant la nature des récepteurs, est plus petite sauf pour les récepteurs résistifs (tout ce qui chauffe avec une simple résistance).
Cordialement.
Approfondissons. Si l'on suppose que le disjoncteur de branchement est tétrapolaire 10 à 30 A réglable par paliers de 5 A, en 15 A 230 V, la puissance totale disponible est de 10 350 VA, ce qui correspond à 3 450 VA par phase sous 230 V (et ce n'est pas beaucoup).
Le disjoncteur se moque de la puissance qui le traverse ; seule l'intensité compte. On parle bien de la puissance apparente en VA, la puissance active en W, suivant la nature des récepteurs, est plus petite sauf pour les récepteurs résistifs (tout ce qui chauffe avec une simple résistance).
Citation :Eh non.
10518 W ou 8414 VA
Cordialement.
23 avril 2015 à 19:15

Bonjour.
Vous verrez que dans votre cas, une lampe est bien en série avec l'interrupteur, alors que l'autre est directement alimentée par le secteur 230 V. Il faut que la lampe allumée en permanence soit branchée en parallèle avec celle qui fonctionne normalement. Il n'y a peut-être qu'un seul conducteur à déplacer.
Vous ne devriez pas avoir mal à la tête après cet exercice.
Il faut un début en électricité. C'est aujourd'hui.
Cordialement.
Citation :C'est vous qui le dites, mais vous allez progresser. Vous aller réviser le montage simple allumage, celui qui vous permet d'allumer la lumière dans une pièce, ou de pouvoir allumer une lampe de chevet.
...car je suis nul en ce domaine.
Vous verrez que dans votre cas, une lampe est bien en série avec l'interrupteur, alors que l'autre est directement alimentée par le secteur 230 V. Il faut que la lampe allumée en permanence soit branchée en parallèle avec celle qui fonctionne normalement. Il n'y a peut-être qu'un seul conducteur à déplacer.
Vous ne devriez pas avoir mal à la tête après cet exercice.
Il faut un début en électricité. C'est aujourd'hui.
Cordialement.
23 avril 2015 à 18:51

Bonjour. On ne pourra pas vous aider à distance. Le plus simple serait de remettre la carte en configuration usine, puis de programmer de nouveau en suivant pas à pas les instructions.
Voir la documentation ici :
http://www.france-automatismes.com/fr/pdf/files/11_EA244.pdf
En cas de nouveau défaut de programmation, vous pouvez contacter la société.
Cordialement.
Voir la documentation ici :
http://www.france-automatismes.com/fr/pdf/files/11_EA244.pdf
En cas de nouveau défaut de programmation, vous pouvez contacter la société.
Cordialement.
23 avril 2015 à 12:04

Citation :
je ne vois rien sur mon tableau ?
C'est embêtant.
Vous devriez y trouver fusibles ou disjoncteurs pour les différents circuits, lumière et prises de courant, plus les circuits spécialisés cuisson, lave-linge etc.
Une photo du tableau nous permettrait de voir plus clair. Mais si cette prise est commandée par un interrupteur, elle doit appartenir exclusivement à un circuit lumière (d'où la section actuelle).
Si vous voulez créer une prise pour y raccorder une brosse à dent électrique, pourquoi pas ; pour un lave-linge cela ne convient pas.
Si vous êtes propriétaire et que vous pensez que l'installation électrique, peut-être très vieille, est hors normes de sécurité, il faudrait la montrer à un professionnel qui effectuera un diagnostic.
A suivre.
Cordialement.
22 avril 2015 à 22:38

Bonjour. Ce n'est pas un problème, mais il faudrait que vous connaissiez le calibre de la protection surintensité de cette ligne, disjoncteur ou fusible. Assurez vous de la présence de la terre et de sa continuité depuis votre tableau de répartition.
Cordialement.
Cordialement.
22 avril 2015 à 20:04

Bonjour
Cordialement.
Citation :Oui, mais quoi et où exactement ?
....ça saute
Citation :Sur quoi vous raccordez vous, et quels sont les caractéristiques de la source ? (intensité disponible, calibre de la protection ?)
Quel type de raccordement devrais-je utiliser...
Citation :Un peu...
J'espère avoir été clair.
Cordialement.
22 avril 2015 à 19:36

Merci pour votre retour.
On va vous suivre cet été.
Un réglage manuel sera plus simple, directement au niveau du variateur.
On suppose que le moteur est triphasé. les petits variateurs mono/tri sont d'un usage simple et fiable.
Cordialement.
On va vous suivre cet été.
Un réglage manuel sera plus simple, directement au niveau du variateur.
On suppose que le moteur est triphasé. les petits variateurs mono/tri sont d'un usage simple et fiable.
Cordialement.
22 avril 2015 à 17:01

Bonjour. Ce lien est très intéressant.
Ne s'agissant pas d'une installation industrielle avec des intensités élevées, et d'autant plus que, sauf indication contraire, votre livraison est en monophasée, un DDR type A Si conviendra.
Beaucoup de laboratoires d'essais de machines tournantes fonctionnent ainsi, et qui plus est avec des DDR type AC triphasés, ceux-ci ne déclenchent pas.
On parle bien de protections différentielles A ou AC ou A Si et non de disjoncteurs.
Mais une simple ventilation à vitesse unique conviendrait. Ainsi le budget variateur et composants associés dont la sonde deviendrait nul. Une économie substantielle.
La sonde COV ne semble pas être utilisée dans un milieu industriel.
Conclusion : un bon interrupteur arrêt marche pour le ventilateur semblerait suffire.
Cordialement.
Ne s'agissant pas d'une installation industrielle avec des intensités élevées, et d'autant plus que, sauf indication contraire, votre livraison est en monophasée, un DDR type A Si conviendra.
Beaucoup de laboratoires d'essais de machines tournantes fonctionnent ainsi, et qui plus est avec des DDR type AC triphasés, ceux-ci ne déclenchent pas.
On parle bien de protections différentielles A ou AC ou A Si et non de disjoncteurs.
Mais une simple ventilation à vitesse unique conviendrait. Ainsi le budget variateur et composants associés dont la sonde deviendrait nul. Une économie substantielle.
La sonde COV ne semble pas être utilisée dans un milieu industriel.
Conclusion : un bon interrupteur arrêt marche pour le ventilateur semblerait suffire.
Cordialement.
22 avril 2015 à 15:17

Bonjour.
Pas de problème, vous équipez votre cordon avec la fiche qui convient, certes un peu grosse, mais pourquoi pas.
Cordialement.
Pas de problème, vous équipez votre cordon avec la fiche qui convient, certes un peu grosse, mais pourquoi pas.
Cordialement.
21 avril 2015 à 10:14

Bonjour. Le tableau est certainement conforme aux normes d'époque de la construction.
Le diagnostiqueur ne doit pas contrôler la conformité vis à vis de la norme C15-100 actuelle.
Il contrôle la présence des dispositifs de protection surintensité et différentielles 30 mA entre autres.
Les détails des points de contrôle sont sur le net.
S'il n'y a pas de ligne 32 A, il faudra en monter une vous même.
Cordialement.
Le diagnostiqueur ne doit pas contrôler la conformité vis à vis de la norme C15-100 actuelle.
Il contrôle la présence des dispositifs de protection surintensité et différentielles 30 mA entre autres.
Les détails des points de contrôle sont sur le net.
S'il n'y a pas de ligne 32 A, il faudra en monter une vous même.
Cordialement.
20 avril 2015 à 18:19

Bien reçu. Le plus simple est de démonter.
Comme vous êtes désormais dans vos murs, vous faites le tour de l'appartement et voyez si électriquement l'installation est saine, avec les protections surintensité et différentielles 30 mA si possible.
Vous devez avoir un diagnostic à disposition.
Cordialement.
Comme vous êtes désormais dans vos murs, vous faites le tour de l'appartement et voyez si électriquement l'installation est saine, avec les protections surintensité et différentielles 30 mA si possible.
Vous devez avoir un diagnostic à disposition.
Cordialement.
20 avril 2015 à 11:02

Bonjour.
Vous avez effectué un achat, mais la photo semble prise dans un habitat, et donc le montage serait un bricolage.
On pourrait penser qu'une autre prise est à proximité et que ce serait ainsi une sorte de prolongateur de un mètre avec sortie sur une prise murale.
Un bricolo qu'il vaudrait mieux éviter.
A quoi sert l'autre boitier ?
Cordialement.
Citation :Difficile à dire. Mais pas très sain.
A quoi sert ce montage et est-ce dangereux?
Vous avez effectué un achat, mais la photo semble prise dans un habitat, et donc le montage serait un bricolage.
On pourrait penser qu'une autre prise est à proximité et que ce serait ainsi une sorte de prolongateur de un mètre avec sortie sur une prise murale.
Un bricolo qu'il vaudrait mieux éviter.
A quoi sert l'autre boitier ?
Cordialement.
20 avril 2015 à 10:16

Bonjour. Les piles sont en réalité de petits accumulateurs Ni-MH.
Manifestement la quatrième batterie a subi une surcharge entrainant un dégagement de chaleur anormal.
Il est probable qu'elle soit détruite. On ne sait si l'inversion de position éventuelle dans la boitier peut être la cause du dysfonctionnement, mais on suppose que les quatre batteries étaient dans le bon sens ; à vérifier néanmoins.
Le chargeur intelligent est censé arrêter la charge, mais ici il ne l'a pas fait pour une cause indéterminée.
Vous pouvez mettre en œuvre une autre charge avec d'autres batteries, en observant si l'alvéole utilisée la première fois fonctionne bien avec une batterie en état.
On ne sait si le chargeur détecte la bonne polarité de la batterie insérée dans son alvéole.
Bref, il faut expérimenter. Le chargeur semble évolué.
La garantie du produit est de 3 ans.
Cordialement.
Manifestement la quatrième batterie a subi une surcharge entrainant un dégagement de chaleur anormal.
Il est probable qu'elle soit détruite. On ne sait si l'inversion de position éventuelle dans la boitier peut être la cause du dysfonctionnement, mais on suppose que les quatre batteries étaient dans le bon sens ; à vérifier néanmoins.
Le chargeur intelligent est censé arrêter la charge, mais ici il ne l'a pas fait pour une cause indéterminée.
Vous pouvez mettre en œuvre une autre charge avec d'autres batteries, en observant si l'alvéole utilisée la première fois fonctionne bien avec une batterie en état.
On ne sait si le chargeur détecte la bonne polarité de la batterie insérée dans son alvéole.
Bref, il faut expérimenter. Le chargeur semble évolué.
La garantie du produit est de 3 ans.
Cordialement.
20 avril 2015 à 09:39

Bonjour. On avait bien reconnu l'origine du message.
Il faut que vous agissiez méthodiquement, et connaitre tout d'abord les caractéristiques d'alimentation du ventilateur et sa lumière incorporée, normalement deux circuits indépendants.
Idem pour le variateur pour lequel il faut bien différencier l'entrée et la sortie ; ici, les couleurs ne nous sont d'aucun secours avec N1 R1 J1.
On n'ira malheureusement pas plus loin, car la notice est quelque peu absconse, même si les couleurs des conducteurs du réseau Hydro-Québec et les tensions afférentes nous sont connues.
Il vaudrait mieux que vous fassiez intervenir un électricien sur place.
Cordialement.
Il faut que vous agissiez méthodiquement, et connaitre tout d'abord les caractéristiques d'alimentation du ventilateur et sa lumière incorporée, normalement deux circuits indépendants.
Idem pour le variateur pour lequel il faut bien différencier l'entrée et la sortie ; ici, les couleurs ne nous sont d'aucun secours avec N1 R1 J1.
On n'ira malheureusement pas plus loin, car la notice est quelque peu absconse, même si les couleurs des conducteurs du réseau Hydro-Québec et les tensions afférentes nous sont connues.
Il vaudrait mieux que vous fassiez intervenir un électricien sur place.
Cordialement.
19 avril 2015 à 23:07

Bonjour.
Les solutions les plus simples sont les meilleures.
Vous vous compliquez la vie pour pas grand chose. Un bon vieil interrupteur et l'on n'en parle plus.
En imaginant que vous effectuiez cette installation, comment ferez vous quand elle sera en panne, sachant que l'on suppose que vous êtes éloigné du métier ?
Un détecteur temporisé pour éclairer la cour quand on sort la nuit, pourquoi pas. Mais dans l'habitat, un interrupteur suffit. Moins il y a d'électronique, mieux c'est.
Cordialement.
Les solutions les plus simples sont les meilleures.
Vous vous compliquez la vie pour pas grand chose. Un bon vieil interrupteur et l'on n'en parle plus.
En imaginant que vous effectuiez cette installation, comment ferez vous quand elle sera en panne, sachant que l'on suppose que vous êtes éloigné du métier ?
Un détecteur temporisé pour éclairer la cour quand on sort la nuit, pourquoi pas. Mais dans l'habitat, un interrupteur suffit. Moins il y a d'électronique, mieux c'est.
Cordialement.
19 avril 2015 à 22:46

Bonjour. Le plus simple est de faire intervenir un électricien de métier qui effectuera une installation en toute sécurité, et qui répondra à votre projet après étude de vos besoins.
En effet, il faut être sur place et non derrière l'écran pour effectuer l'étude préalable, sans compter le temps nécessaire.
Legrand, Hager, Schneider-Electric ont chacun une offre en interrupteurs horaires.
On comprend que l'installateur de piscine soit hésitant. A chacun son métier.
Un interrupteur crépusculaire associé à un interrupteur horaire pourrait être une solution.
Mais vous pouvez également utiliser des projecteurs à leds fonctionnant en permanence à des périodes horaires déterminées.
Une télécommande ça se perd, le chien la mange, un pied l'écrase etc.
Mais un interrupteur tout simple peut être la meilleure solution : simple, efficace, pas cher, sans panne.
Cordialement.
En effet, il faut être sur place et non derrière l'écran pour effectuer l'étude préalable, sans compter le temps nécessaire.
Legrand, Hager, Schneider-Electric ont chacun une offre en interrupteurs horaires.
On comprend que l'installateur de piscine soit hésitant. A chacun son métier.
Un interrupteur crépusculaire associé à un interrupteur horaire pourrait être une solution.
Mais vous pouvez également utiliser des projecteurs à leds fonctionnant en permanence à des périodes horaires déterminées.
Une télécommande ça se perd, le chien la mange, un pied l'écrase etc.
Mais un interrupteur tout simple peut être la meilleure solution : simple, efficace, pas cher, sans panne.
Cordialement.
19 avril 2015 à 22:41

Bonjour. Vous ne précisez pas de quelles interférences supposées il s'agit.
Si les liaisons entre sources et entrées des amplificateurs sont effectuées avec des cordons spécifiques, il n'y a rien à craindre.
Pour information, dans un grand spectacle où les circuits son et lumière transmettent des kilowatts de signaux complexes, il n'y a aucune interaction des uns sur les autres.
Et pas de filtres de quelque nature que ce soit.
Cordialement.
Si les liaisons entre sources et entrées des amplificateurs sont effectuées avec des cordons spécifiques, il n'y a rien à craindre.
Pour information, dans un grand spectacle où les circuits son et lumière transmettent des kilowatts de signaux complexes, il n'y a aucune interaction des uns sur les autres.
Et pas de filtres de quelque nature que ce soit.
Cordialement.
19 avril 2015 à 22:30

Bonjour.
Voir la fiche de dépannage en question 6682 : Problème branchement cumulus HC et HP
Le circuit de commande semble en défaut. Vous shuntez C1C2 ; le contacteur devrait s'enclencher.
Cordialement.
Voir la fiche de dépannage en question 6682 : Problème branchement cumulus HC et HP
Le circuit de commande semble en défaut. Vous shuntez C1C2 ; le contacteur devrait s'enclencher.
Cordialement.
19 avril 2015 à 22:20

Bonjour. Le plus simple serait de remplacer ces bidules par des boitiers Batibox pour cloisons creuses ou pleines (dans ce cas on scelle) de diamètre 67 mm environ.
Cordialement
Cordialement
19 avril 2015 à 01:19

Bonjour. Vous montez un petit tableau contigu et l'on n'en parle plus.
Cordialement.
Cordialement.
17 avril 2015 à 11:10

Bonjour.
Vous ne faites rien de particulier,
Faites les mesures DJ fermé, et vous devriez retrouver des valeurs normales.
Si votre installation est en état, ce que vous précisez initialement.
Cordialement.
Citation :
Faut-il faire quelques choses ou ce n'est pas très grave ?
Vous ne faites rien de particulier,
Faites les mesures DJ fermé, et vous devriez retrouver des valeurs normales.
Si votre installation est en état, ce que vous précisez initialement.
Cordialement.
17 avril 2015 à 11:08

Bonjour réponse 37.
On comprend qu'il s'agit d'une pompe de puissance non spécifiée, qui serait à vitesse variable, mais on ne sait par quel procédé, dont vous mesurez l'intensité avec une pince ampèremétrique probablement non adaptée suivant la forme d'onde du courant et les calibres.
Donc beaucoup d'incertitudes qui peuvent être levées si vous apportez quelques précisions.
Cordialement.
On comprend qu'il s'agit d'une pompe de puissance non spécifiée, qui serait à vitesse variable, mais on ne sait par quel procédé, dont vous mesurez l'intensité avec une pince ampèremétrique probablement non adaptée suivant la forme d'onde du courant et les calibres.
Donc beaucoup d'incertitudes qui peuvent être levées si vous apportez quelques précisions.
Cordialement.
17 avril 2015 à 09:16

Vous regardez là, ce devrait être bon si l'on se fie aux couleurs et au branchement actuel :
Pour agrandir l'image, cliquez dessus.

Pour agrandir l'image, cliquez dessus.

16 avril 2015 à 15:51

Bonjour Langevin.
On a les mêmes points de vue avec l'ami CMT concernant les extracteurs par rapport aux VMC.
Un extracteur est par nature très bruyant, et son usage à chaque allumage de lumière ne se justifie pas systématiquement, notamment pour un petit pipi la nuit quand la maisonnée dort.
C'est pourquoi la commande à durée temporisée automatique est l'usage classique, mais quand on veut rester maitre du fonctionnement, on insère un interrupteur ou un bouton poussoir à fermeture dans le circuit de commande, le fil jaune vers la borne T.
Dans le cas d'une VMC à fonctionnement permanent et silencieux le problème ne se pose pas.
Cordialement.
On a les mêmes points de vue avec l'ami CMT concernant les extracteurs par rapport aux VMC.
Un extracteur est par nature très bruyant, et son usage à chaque allumage de lumière ne se justifie pas systématiquement, notamment pour un petit pipi la nuit quand la maisonnée dort.
C'est pourquoi la commande à durée temporisée automatique est l'usage classique, mais quand on veut rester maitre du fonctionnement, on insère un interrupteur ou un bouton poussoir à fermeture dans le circuit de commande, le fil jaune vers la borne T.
Dans le cas d'une VMC à fonctionnement permanent et silencieux le problème ne se pose pas.
Cordialement.
16 avril 2015 à 13:30

Bonjour. La photo de gauche concerne le nouveau groupe.
Le raccordement est classique avec le neutre direct, et les vitesses 1 ou 2 par commutation de la phase sur le brun ou le noir. C'est ce que doit préciser la notice ; à vérifier.
Vous vérifiez que le câble du bas est bien l'arrivée secteur (avec le neutre bleu à vérifier), le câble du haut doit aller vers le commutateur 2 vitesses.
Dans la foulée, vous identifiez bien les conducteurs noir bleu et marron aux bornes du commutateur.
Un petit dessin serait bienvenu. Et si tout va bien, vous aurez découvert vous même comment recâbler.
Vous vérifiez cela puis vous revenez.
Cordialement.
Le raccordement est classique avec le neutre direct, et les vitesses 1 ou 2 par commutation de la phase sur le brun ou le noir. C'est ce que doit préciser la notice ; à vérifier.
Vous vérifiez que le câble du bas est bien l'arrivée secteur (avec le neutre bleu à vérifier), le câble du haut doit aller vers le commutateur 2 vitesses.
Dans la foulée, vous identifiez bien les conducteurs noir bleu et marron aux bornes du commutateur.
Un petit dessin serait bienvenu. Et si tout va bien, vous aurez découvert vous même comment recâbler.
Vous vérifiez cela puis vous revenez.
Cordialement.
15 avril 2015 à 22:35

Bien reçu Vince. Eh oui, ça ne vous aide pas car le système deux câbles tendus est prévu pour être branché en sortie d'un bon vieux gros transformateur. Donc le convertisseur ne pourra pas être utilisé pour cet usage car les lampes doivent être réparties sur les trois sorties.
Une bonne nouvelle malgré tout. Le transformateur n'est pas grillé ; par contre son fusible thermique interne certainement. Pour quelques dizaines de centimes d'euros cela se change. On en trouve chez Conrad.
Cordialement.
Une bonne nouvelle malgré tout. Le transformateur n'est pas grillé ; par contre son fusible thermique interne certainement. Pour quelques dizaines de centimes d'euros cela se change. On en trouve chez Conrad.
Cordialement.
15 avril 2015 à 21:12

Bonjour. Il y a 3 sorties que vous ne pouvez pas, à priori, interconnecter (il n'est pas certain qu'elles soient en parallèle, il faudrait démonter). Vous alimentez donc les charges réparties sur les 3 sorties.
transformateur osram halotronic.pdf
Cordialement.
transformateur osram halotronic.pdf
Cordialement.
15 avril 2015 à 17:50

Bien reçu. Les mesures sur des circuits ouverts sont non significatives (vous dites bien "je coupe le disjoncteur uniquement de cette ligne". La lampe témoin est un bon outil.
Cordialement.
Cordialement.
15 avril 2015 à 13:27

Ok. Regardez chez les constructeurs principaux, les matériels et fonctionnements sont généralement bien expliqués. Ou ici, on a un peu d'expérience.
Cordialement.
Cordialement.
15 avril 2015 à 12:23

Bonjour frogmobile. A part l’allumage des lampes et les sections il n'y a pas de problème particulier.
Pour les petits redresseurs double alternance, sans refaire les calculs on compte à la louche 1 000 µF / A pour filtrer la tension (la rendre la moins ondulée possible). Et cela suffit la plupart du temps.
Dans ce cas on utilise des électrochimiques.
Pour ce qui concerne le lissage du courant unidirectionnel dans une charge, on dispose des inductances (de lissage) en série, et non des capacités.
Dans le cas de l'électrolyse artisanale comme vous le faites, normalement il n'y a pas lieu de filtrer la tension, ni lisser le courant.
Dans l'industriel on préfère redresser le triphasé, ainsi la tension sera peu ondulée, sa valeur moyenne sera proche de la valeur crête, et le courant suivra.
A bientôt sur le forum pour d'autres nouvelles.
Cordialement.
Pour les petits redresseurs double alternance, sans refaire les calculs on compte à la louche 1 000 µF / A pour filtrer la tension (la rendre la moins ondulée possible). Et cela suffit la plupart du temps.
Dans ce cas on utilise des électrochimiques.
Pour ce qui concerne le lissage du courant unidirectionnel dans une charge, on dispose des inductances (de lissage) en série, et non des capacités.
Dans le cas de l'électrolyse artisanale comme vous le faites, normalement il n'y a pas lieu de filtrer la tension, ni lisser le courant.
Dans l'industriel on préfère redresser le triphasé, ainsi la tension sera peu ondulée, sa valeur moyenne sera proche de la valeur crête, et le courant suivra.
A bientôt sur le forum pour d'autres nouvelles.
Cordialement.
15 avril 2015 à 09:57

Bonjour. Vous ne pourrez monter des interrupteurs différentiels que si tous les circuits Ph + N sont appairés.
Mesurer des tensions ne peut se faire que sur des circuits "au potentiel", donc non ouverts comme vous le faites en déclenchant un disjoncteur.
Il est normal que le voltmètre, certainement numérique et de haute impédance d'entrée, indique n'importe quoi.
Voir sur le forum les questions qui traitent des tensions induites (mots clés pour le moteur de recherche)..
Cordialement.
Mesurer des tensions ne peut se faire que sur des circuits "au potentiel", donc non ouverts comme vous le faites en déclenchant un disjoncteur.
Il est normal que le voltmètre, certainement numérique et de haute impédance d'entrée, indique n'importe quoi.
Voir sur le forum les questions qui traitent des tensions induites (mots clés pour le moteur de recherche)..
Cordialement.
15 avril 2015 à 09:45

Bonjour. C'est bien possible que la lampe émette des UV, sachant que le rayonnement principal semble déjà assez bleuté, et que les UV sont juste derrière et ne se voient pas (UV = rayonnement électromagnétique invisible de longueur d'onde plus faible que le violet visible - voir les différences entre UV A, UV B, UV C).
Pour vos yeux, il vaut mieux éviter de regarder en direct, tout comme les tubes luminescents.
Comme les poissons ne subissent pas de coups de soleil, on en déduit que ces rayonnements sont absorbés par l'eau.
Que dit la notice de la lampe ?
Cordialement.
Pour vos yeux, il vaut mieux éviter de regarder en direct, tout comme les tubes luminescents.
Comme les poissons ne subissent pas de coups de soleil, on en déduit que ces rayonnements sont absorbés par l'eau.
Que dit la notice de la lampe ?
Cordialement.
15 avril 2015 à 00:32

Il vaudrait mieux effectuer une recherche méthodique et non des essais au hasard.
Faites au mieux, quitte à appeler un professionnel.
Pour les photos, utilisez la fonction Ajouter nouveau fichier.
Cordialement.
Faites au mieux, quitte à appeler un professionnel.
Pour les photos, utilisez la fonction Ajouter nouveau fichier.
Cordialement.
13 avril 2015 à 22:12

Bien reçu frogmobile. Effectivement, pour participer au forum c'est plus simple si l'on n'a pas de biberons à préparer, et si l'on a quelque expérience personnelle à partager ; donc on se doute bien que la moyenne d'âge des participants réguliers est peut-être supérieure à votre estimation.
On peut imaginer le bruit du diésel "touf touf touf" régulier régulé en vitesse. L'alternateur à 4 pôles saillants doit tourner à 1 500 tr/min pour délivrer du 50 Hz.
Pour les sections, il peut y avoir un problème. En prenant 12 kVA monophasé 230 V, l'intensité est de l'ordre de 52 A ce qui nécessiterait une section de 16 mm².
Pour le domestique 3 000 W en 230 V l'intensité est de 13 A environ ; du 2,5 mm² pour le régime permanent convient, mais en cas de surcharge brève ce serait insuffisant et cause de chute de tension. C'est peut-être d'ailleurs ce qui arrive.
Du côté continu, si les batteries débitent, 3 000 W sous 12 V engendrerait une intensité de l'ordre de 250 A et il faut donc une section suffisante, celle que l'on trouve sur les démarreurs de camion.
Pour l'onduleur il faudrait connaitre s'il peut débiter sur une charge capacitive et combien de VAr..
Pour le frigo, avec 150 W et 230 V cela ferait environ 0,6 A et vous annoncez 9 A. Bizarre. A moins que son facteur de puissance soit particulièrement mauvais mais ce serait étrange quand même avec une telle valeur. Mais c'est peut-être l'intensité totale en charge.
Imaginons une capacité C qui soumise à U volts avec une fréquence de 50 Hz.doit fournir 50 VAr.
Sachant que Q = C.U².oméga avec les unités VAr, farads, V, rad/s (oméga = 2.pi.f - f = fréquence en Hz), on trouverait environ 3 microfarads. Brancher ce condensateur aux bornes du moteur du frigo diminuerait le courant en ligne, mais si le moteur ne tourne pas, la sortie de l'onduleur débiterait un courant capacitif pur, et il n'est pas certain que l'électronique interne soit conçue pour. Il y a donc un doute derrière l'écran : quel va être le comportement de l'onduleur ?
En conclusion, on ne sait si la présence d'un condensateur puisse diminuer significativement l'intensité débitée par l'onduleur, d'autant plus que les 9 A concernent certainement davantage de charge que le frigo. Si l'on passe à 30 microfarads, ce serait environ 500 VAr que n'aurait pas à fournir la sortie de l'onduleur. Mais sera-t-elle capable de délivrer un courant capacitif pur.si jamais aucune autre charge n'y est connectée ?
Vous voyez donc que derrière l'écran on est un peu bloqué, car la théorie c'est bien, mais il faudrait en connaitre plus sur les caractéristiques de sortie de l'onduleur et la charge globale qu'il alimente. Une recherche sur le net pour des modèles de puissance équivalente ne mène à rien de précis pour le moment.
Il vous faudrait une pince ampèremétrique à effet Hall, ou plutôt deux, une pour les intensités de moins de 20 A CC et CA, et l'autre jusqu'à 500 A CC et CA. Essayez déjà avec ce que vous avez comme capacités non polarisées dans votre stock, en partant des petites valeurs. Mais augmenter les sections semble de toute façon indispensable.
Une visite sur les sites proposés à partir des mots clés, montre des machines auxquelles on n'est plus habitués dans nos campagnes ; de beaux objets.
Cordialement.
On peut imaginer le bruit du diésel "touf touf touf" régulier régulé en vitesse. L'alternateur à 4 pôles saillants doit tourner à 1 500 tr/min pour délivrer du 50 Hz.
Pour les sections, il peut y avoir un problème. En prenant 12 kVA monophasé 230 V, l'intensité est de l'ordre de 52 A ce qui nécessiterait une section de 16 mm².
Pour le domestique 3 000 W en 230 V l'intensité est de 13 A environ ; du 2,5 mm² pour le régime permanent convient, mais en cas de surcharge brève ce serait insuffisant et cause de chute de tension. C'est peut-être d'ailleurs ce qui arrive.
Du côté continu, si les batteries débitent, 3 000 W sous 12 V engendrerait une intensité de l'ordre de 250 A et il faut donc une section suffisante, celle que l'on trouve sur les démarreurs de camion.
Pour l'onduleur il faudrait connaitre s'il peut débiter sur une charge capacitive et combien de VAr..
Pour le frigo, avec 150 W et 230 V cela ferait environ 0,6 A et vous annoncez 9 A. Bizarre. A moins que son facteur de puissance soit particulièrement mauvais mais ce serait étrange quand même avec une telle valeur. Mais c'est peut-être l'intensité totale en charge.
Imaginons une capacité C qui soumise à U volts avec une fréquence de 50 Hz.doit fournir 50 VAr.
Sachant que Q = C.U².oméga avec les unités VAr, farads, V, rad/s (oméga = 2.pi.f - f = fréquence en Hz), on trouverait environ 3 microfarads. Brancher ce condensateur aux bornes du moteur du frigo diminuerait le courant en ligne, mais si le moteur ne tourne pas, la sortie de l'onduleur débiterait un courant capacitif pur, et il n'est pas certain que l'électronique interne soit conçue pour. Il y a donc un doute derrière l'écran : quel va être le comportement de l'onduleur ?
En conclusion, on ne sait si la présence d'un condensateur puisse diminuer significativement l'intensité débitée par l'onduleur, d'autant plus que les 9 A concernent certainement davantage de charge que le frigo. Si l'on passe à 30 microfarads, ce serait environ 500 VAr que n'aurait pas à fournir la sortie de l'onduleur. Mais sera-t-elle capable de délivrer un courant capacitif pur.si jamais aucune autre charge n'y est connectée ?
Vous voyez donc que derrière l'écran on est un peu bloqué, car la théorie c'est bien, mais il faudrait en connaitre plus sur les caractéristiques de sortie de l'onduleur et la charge globale qu'il alimente. Une recherche sur le net pour des modèles de puissance équivalente ne mène à rien de précis pour le moment.
Il vous faudrait une pince ampèremétrique à effet Hall, ou plutôt deux, une pour les intensités de moins de 20 A CC et CA, et l'autre jusqu'à 500 A CC et CA. Essayez déjà avec ce que vous avez comme capacités non polarisées dans votre stock, en partant des petites valeurs. Mais augmenter les sections semble de toute façon indispensable.
Une visite sur les sites proposés à partir des mots clés, montre des machines auxquelles on n'est plus habitués dans nos campagnes ; de beaux objets.
Cordialement.
12 avril 2015 à 22:19

Bien reçu. Pour ce qui concerne le toron à retirer, c'est une question de sensation.
On peut déjà essayer de tirer un seul conducteur, et s'il vient de 1 cm ou deux, c'est déjà bon signe.
On déconnecte alors tous les conducteurs, on les réunit avec soin, voire en soudant, on rajoute un tire fil maison rigide (6mm²), l'un pousse et l'autre tire. Une fois le toron dehors, on le change pour un neuf un peu plus long, on évite les torsades génératrices de volume plus grand (on étale les n+1 conducteurs rectilignes en éventail par terre, on rajoute le conducteur manquant, on fixe l'ensemble en recouvrant d'adhésif, puis l'un tire et l'autre pousse.
On peut utiliser des conducteurs souples comme du rigide. Préférence pour le souple.
Pour les VMC à vitesse fixe ce n'est pas plus compliqué. Les bouches sont de 19 cm de diamètre environ. Mais il faut commander les bouches WC et cuisine. Si aucun fil n'est tiré, on les télécommande, étant alors alimentées par piles. Pas plus compliqué que cela.
Une vitesse au lieu de deux, c'est ne pas tirer profit à fond de la VMC. Et laquelle choisir ? Peut-être la plus petite.
Vous faites au mieux, le toron d'abord.
Cordialement.
On peut déjà essayer de tirer un seul conducteur, et s'il vient de 1 cm ou deux, c'est déjà bon signe.
On déconnecte alors tous les conducteurs, on les réunit avec soin, voire en soudant, on rajoute un tire fil maison rigide (6mm²), l'un pousse et l'autre tire. Une fois le toron dehors, on le change pour un neuf un peu plus long, on évite les torsades génératrices de volume plus grand (on étale les n+1 conducteurs rectilignes en éventail par terre, on rajoute le conducteur manquant, on fixe l'ensemble en recouvrant d'adhésif, puis l'un tire et l'autre pousse.
On peut utiliser des conducteurs souples comme du rigide. Préférence pour le souple.
Pour les VMC à vitesse fixe ce n'est pas plus compliqué. Les bouches sont de 19 cm de diamètre environ. Mais il faut commander les bouches WC et cuisine. Si aucun fil n'est tiré, on les télécommande, étant alors alimentées par piles. Pas plus compliqué que cela.
Une vitesse au lieu de deux, c'est ne pas tirer profit à fond de la VMC. Et laquelle choisir ? Peut-être la plus petite.
Vous faites au mieux, le toron d'abord.
Cordialement.
12 avril 2015 à 11:54

Bonjour. Les VMC deux vitesses sont très basiques et sont depuis un certain temps remplacées par des modèles à bouches hygrométriques à commandes électriques filaires, ou à piles et télécommande (cuisine), ou détecteur (WC). La turbine tourne à fréquence de rotation constante (entrainée par un petit moteur à commande électronique - à la place du bon vieil asynchrone et ses deux vitesses), la variation de débit est assurée par l'ouverture variable de chaque bouche.
Le problème est qu'il semble que vous ayez approvisionné une VMC basique, alors qu'une plus moderne est certes plus chère pour ce qui concerne les bouches hygrométriques, mais tellement silencieuse et efficace.
Vous faites au mieux. Regardez les produits Atlantic et Aldes, mais il y en a d'autres.
Nota : on ne file pas un conducteur supplémentaire dans une gaine encombrée, on tire l'ensemble du toron de n conducteurs, et on fait passer un nouveau toron avec n+1 conducteurs, HO7V-K pour la souplesse si l'on veut.
Cordialement.
Le problème est qu'il semble que vous ayez approvisionné une VMC basique, alors qu'une plus moderne est certes plus chère pour ce qui concerne les bouches hygrométriques, mais tellement silencieuse et efficace.
Vous faites au mieux. Regardez les produits Atlantic et Aldes, mais il y en a d'autres.
Nota : on ne file pas un conducteur supplémentaire dans une gaine encombrée, on tire l'ensemble du toron de n conducteurs, et on fait passer un nouveau toron avec n+1 conducteurs, HO7V-K pour la souplesse si l'on veut.
Cordialement.
11 avril 2015 à 22:46

Bonsoir et merci ami mf06. Pas de mérite, je connais un peu ce sujet. Maniper sur l'équipement serait intéressant, mais le budget voyages d'étude du forum est à sec.
Depuis le temps on aurait pu faire le tour du monde avec quelques piscines à Tahiti ou en Nouvelle Calédonie, de nombreux panneaux au Québec (dont on n'a pratiquement jamais de retours), un tour en Afrique avec des réseaux antiques et des groupes électrogènes capricieux ; pas grand chose à Menton par contre...
Attendons les précisions de frogmobile sur son installation, des questions restent en suspens.
Cordialement.
Depuis le temps on aurait pu faire le tour du monde avec quelques piscines à Tahiti ou en Nouvelle Calédonie, de nombreux panneaux au Québec (dont on n'a pratiquement jamais de retours), un tour en Afrique avec des réseaux antiques et des groupes électrogènes capricieux ; pas grand chose à Menton par contre...
Attendons les précisions de frogmobile sur son installation, des questions restent en suspens.
Cordialement.
11 avril 2015 à 21:56

Bien reçu.
Cordialement.
Citation :Oui, il suffit de trouver le modèle qui convient. Il y en a chez Conrad.
Le fusible thermique ? Ça se change ?
Cordialement.
11 avril 2015 à 21:05

Bien reçu. Des réponses comme cela il y en a très peu sur le forum car les demandes traitent davantage des problèmes domestiques que de l'industriel.
Votre problème change un peu des va et vient récalcitrants, et est dans nos cordes.
Le problème est alors plus simple qu'il n'y parait, car on peut comprendre qu'il s'agit bien d'un groupe électrogène avec alternateur, mais mono ou triphasé ? Une recherche avec Listéroïde mène à astéroïde.
Ce doit être un moteur thermique. La contribution précédente était plutôt axée sur l'ensemble onduleur et charges non linéaires.
Concernant la chute de tension au démarrage de certains moteurs, elle peut être réduite par l'emploi de démarreurs. Elle doit quand même être conséquente si les lampes à décharge s'éteignent.
Et comme vous dites, ces lampes n'aiment pas les cycles allumage extinction trop nombreux.
Peut-être pourriez vous en trouver d'autres si vous n'avez pas trop besoin de lumière blanche.
Les mesures sur le générateur 12 kVA sont plus simples, faut-il encore avoir le matériel et savoir s'en servir.
Il s'agit d'électrotechnique simple. Un multimètre un peu élaboré, et une pince wattmétrique seraient un minimum.
Si le facteur de puissance en sortie de groupe est mauvais, une compensation par condensateurs peut être envisagée.
Le frigo peut être en test sur l'onduleur, s'il n'est pas du début du 20ème siècle.
Donc pas de feu au lac. La première chose à faire serait de mesurer les intensités en régimes permanents et transitoires afin de cibler les causes des chutes de tension.
Des compléments ou détails peuvent être abordés, notamment si la distribution est triphasée, ce qui pourrait être indispensable si les moteurs sont asynchrones, ce qui est supposé dans cette deuxième contribution..
Quels ont vos activités avec four, moteurs etc. ?
Ici, pas spécialement chaud, les jonquilles sont pratiquement terminées, le muguet bientôt, plein de bourgeons sur les arbres.
A suivre, avec des précisions.
Cordialement.
Votre problème change un peu des va et vient récalcitrants, et est dans nos cordes.
Le problème est alors plus simple qu'il n'y parait, car on peut comprendre qu'il s'agit bien d'un groupe électrogène avec alternateur, mais mono ou triphasé ? Une recherche avec Listéroïde mène à astéroïde.
Ce doit être un moteur thermique. La contribution précédente était plutôt axée sur l'ensemble onduleur et charges non linéaires.
Concernant la chute de tension au démarrage de certains moteurs, elle peut être réduite par l'emploi de démarreurs. Elle doit quand même être conséquente si les lampes à décharge s'éteignent.
Et comme vous dites, ces lampes n'aiment pas les cycles allumage extinction trop nombreux.
Peut-être pourriez vous en trouver d'autres si vous n'avez pas trop besoin de lumière blanche.
Les mesures sur le générateur 12 kVA sont plus simples, faut-il encore avoir le matériel et savoir s'en servir.
Il s'agit d'électrotechnique simple. Un multimètre un peu élaboré, et une pince wattmétrique seraient un minimum.
Si le facteur de puissance en sortie de groupe est mauvais, une compensation par condensateurs peut être envisagée.
Le frigo peut être en test sur l'onduleur, s'il n'est pas du début du 20ème siècle.
Donc pas de feu au lac. La première chose à faire serait de mesurer les intensités en régimes permanents et transitoires afin de cibler les causes des chutes de tension.
Des compléments ou détails peuvent être abordés, notamment si la distribution est triphasée, ce qui pourrait être indispensable si les moteurs sont asynchrones, ce qui est supposé dans cette deuxième contribution..
Quels ont vos activités avec four, moteurs etc. ?
Ici, pas spécialement chaud, les jonquilles sont pratiquement terminées, le muguet bientôt, plein de bourgeons sur les arbres.
A suivre, avec des précisions.
Cordialement.
11 avril 2015 à 18:19

Bonjour.
Le transformateur délivre une tension alternative classique pour alimenter les spots à incandescence. Pour passer aux leds, il faut changer le système complet. Il faut des leds 3 000K. Le choix et l’approvisionnement ne sont pas aisés. Dans les GSB on ne trouve rien de bien. Que du tout venant.
Cordialement.
Citation :Ne serait-ce pas plutôt le fusible thermique du transformateur ?
Le transfo vient de me lâcher
Le transformateur délivre une tension alternative classique pour alimenter les spots à incandescence. Pour passer aux leds, il faut changer le système complet. Il faut des leds 3 000K. Le choix et l’approvisionnement ne sont pas aisés. Dans les GSB on ne trouve rien de bien. Que du tout venant.
Cordialement.
11 avril 2015 à 15:24

Bonjour.
Un petit résumé. Votre installation finale est alimentée par un onduleur autonome de 3 kVA et pouvant délivrer en pointe 9 kVA.
On préfère utiliser le kVA car la limitation de l'onduleur s'exprime en ampères, avec un facteur de puissance limite certainement spécifié.
Vous ne précisez pas si l'onduleur est triphasé et dans ce cas quelles sont ses tensions de sortie.
On pourrait comprendre que vous disposez d'un groupe électrogène de 12 kVA pour les grosses charges, A préciser. Mais à vous relire, on peut comprendre qu'il s'agit également d'un onduleur triphasé.
Les lampes de l'atelier sont de type à décharge certainement haute pression, dont le fonctionnement n'est pas linéaire (courants et tensions non proportionnels) le courant. pouvant alors présenter des transitoires que l'onduleur doit fournir notamment à la mise en service.
C'est alors qu'une instabilité avec mise en sécurité de l'onduleur peut se produire. La section de la ligne n'est pas en cause si elle est bien dimensionnée et qu'elle peut laisser passer les pointes d'intensité sans trop de chute de tension en bout de ligne, aux bornes des lampes. Les lampes à décharge sont des récepteurs dits "déformants".
Les condensateurs sont utiles quand les récepteurs comme des moteurs asynchrones ont un mauvais facteur de puissance, que ce soit en charge ou à vide, ce qui permet à puissance active égale (en watts) de diminuer l'intensité en ligne et par conséquent de diminuer la puissance apparente (en voltampères) fournie par l'onduleur.
Le problème des condensateurs est que lors de la mise sous tension, ils absorbent une pointe d'intensité qui, dans votre cas, doit être fournie par l'onduleur. A noter que plutôt que le paramètre P surge (en W), on préfèrerait le paramètre S surge (en VA) et le paramètre I surge car entendons nous bien, l'onduleur est dimensionné en courant.
Avant de disposer des condensateurs comme on pourrait le faire sur des installations alimentées sur le réseau où les grandeurs sont sinusoïdales avec un taux d'harmoniques de courant réduit, il faut faire une analyse des grandeurs de sortie de l'onduleur avec un analyseur de réseau, qui mesurera et visualisera sur un écran toutes les grandeurs évoquées précédemment, mais surtout les courants avec leurs composantes fondamentale (à 60 Hz), et harmoniques impaires (180 Hz et 300 Hz principalement).
Ensuite, on travaille sur les récepteurs supposés non compensés absorbant des courants harmoniques importants comme les lampes à décharge classiques, et l'on voit si leur fonctionnement n'engendre pas de surcharge sur l'onduleur. Et c'est ce qui pourrait arriver chez vous si les lampes à décharge sont des modèles classiques avec allumeurs gourmands en transitoires d'intensité avec composantes harmoniques non négligeables.
Alors que faire ? On ne peut mettre des condensateurs un peu au hasard pour compenser un facteur de puissance partiel (au niveau de chaque moteur) ou général 'en sortie d'onduleur comme si l'on avait affaire à un réseau classique de puissance infinie (en VA, W et VAr). Compenser un moteur ou une installation n'est pas aussi simple que l'on pourrait le penser.
En conclusion : il faut que vous trouviez sur place un technicien très compétant en analyse énergétique des réseaux autonomes.
Sur une petite installation comme la votre, un changement des luminaires d'atelier pourrait suffire : groupes de réglettes fluorescentes avec ballasts électroniques, ou bien des projecteurs de puissance à leds. L'incandescence est à oublier car trop énergivore.
Il existe dans le marché industriels des compensateurs d'énergie réactive.
Mots clés : "compensateur actif facteur puissance" - Mais le solaire ne s traite pas comme les installations sur le réseau classique.
Vou pouvez aussi vous rapprocher de l'installateur de votre alimentation solaire, certainement à même de faire l'analyse énergétique de vos besoins.
De même, les caractéristiques complètes de l'onduleur pourraient aider à valider les hypothèses précédentes concernant les conditions de mise en œuvre et de fonctionnement.
Les gros moteurs peuvent être équipés de démarreurs pour lisser les pointes d'intensité.
On sait que le démarrage d'un compresseur est électriquement violent. Une solution simple à envisager, qui limiterait les surcharges d'intensité que l'onduleur doit fournir.
Pour le forum, un petit reportage photo de vos systèmes serait intéressant.
Vous pouvez les transmettre à images.bricovideo@gmail.com pour mise en forme éventuelle.
En espérant que ces développements théoriques pourront vous guider quelque peu. Les condensateurs ne semblent pas être une bonne solution sur une installation de ce type.
Attendons d'autres avis.
Cordialement.
Citation :Oui au niveau des principes.
Vous me suivez..
Un petit résumé. Votre installation finale est alimentée par un onduleur autonome de 3 kVA et pouvant délivrer en pointe 9 kVA.
On préfère utiliser le kVA car la limitation de l'onduleur s'exprime en ampères, avec un facteur de puissance limite certainement spécifié.
Vous ne précisez pas si l'onduleur est triphasé et dans ce cas quelles sont ses tensions de sortie.
On pourrait comprendre que vous disposez d'un groupe électrogène de 12 kVA pour les grosses charges, A préciser. Mais à vous relire, on peut comprendre qu'il s'agit également d'un onduleur triphasé.
Les lampes de l'atelier sont de type à décharge certainement haute pression, dont le fonctionnement n'est pas linéaire (courants et tensions non proportionnels) le courant. pouvant alors présenter des transitoires que l'onduleur doit fournir notamment à la mise en service.
C'est alors qu'une instabilité avec mise en sécurité de l'onduleur peut se produire. La section de la ligne n'est pas en cause si elle est bien dimensionnée et qu'elle peut laisser passer les pointes d'intensité sans trop de chute de tension en bout de ligne, aux bornes des lampes. Les lampes à décharge sont des récepteurs dits "déformants".
Les condensateurs sont utiles quand les récepteurs comme des moteurs asynchrones ont un mauvais facteur de puissance, que ce soit en charge ou à vide, ce qui permet à puissance active égale (en watts) de diminuer l'intensité en ligne et par conséquent de diminuer la puissance apparente (en voltampères) fournie par l'onduleur.
Le problème des condensateurs est que lors de la mise sous tension, ils absorbent une pointe d'intensité qui, dans votre cas, doit être fournie par l'onduleur. A noter que plutôt que le paramètre P surge (en W), on préfèrerait le paramètre S surge (en VA) et le paramètre I surge car entendons nous bien, l'onduleur est dimensionné en courant.
Avant de disposer des condensateurs comme on pourrait le faire sur des installations alimentées sur le réseau où les grandeurs sont sinusoïdales avec un taux d'harmoniques de courant réduit, il faut faire une analyse des grandeurs de sortie de l'onduleur avec un analyseur de réseau, qui mesurera et visualisera sur un écran toutes les grandeurs évoquées précédemment, mais surtout les courants avec leurs composantes fondamentale (à 60 Hz), et harmoniques impaires (180 Hz et 300 Hz principalement).
Ensuite, on travaille sur les récepteurs supposés non compensés absorbant des courants harmoniques importants comme les lampes à décharge classiques, et l'on voit si leur fonctionnement n'engendre pas de surcharge sur l'onduleur. Et c'est ce qui pourrait arriver chez vous si les lampes à décharge sont des modèles classiques avec allumeurs gourmands en transitoires d'intensité avec composantes harmoniques non négligeables.
Alors que faire ? On ne peut mettre des condensateurs un peu au hasard pour compenser un facteur de puissance partiel (au niveau de chaque moteur) ou général 'en sortie d'onduleur comme si l'on avait affaire à un réseau classique de puissance infinie (en VA, W et VAr). Compenser un moteur ou une installation n'est pas aussi simple que l'on pourrait le penser.
En conclusion : il faut que vous trouviez sur place un technicien très compétant en analyse énergétique des réseaux autonomes.
Sur une petite installation comme la votre, un changement des luminaires d'atelier pourrait suffire : groupes de réglettes fluorescentes avec ballasts électroniques, ou bien des projecteurs de puissance à leds. L'incandescence est à oublier car trop énergivore.
Il existe dans le marché industriels des compensateurs d'énergie réactive.
Mots clés : "compensateur actif facteur puissance" - Mais le solaire ne s traite pas comme les installations sur le réseau classique.
Vou pouvez aussi vous rapprocher de l'installateur de votre alimentation solaire, certainement à même de faire l'analyse énergétique de vos besoins.
De même, les caractéristiques complètes de l'onduleur pourraient aider à valider les hypothèses précédentes concernant les conditions de mise en œuvre et de fonctionnement.
Les gros moteurs peuvent être équipés de démarreurs pour lisser les pointes d'intensité.
On sait que le démarrage d'un compresseur est électriquement violent. Une solution simple à envisager, qui limiterait les surcharges d'intensité que l'onduleur doit fournir.
Pour le forum, un petit reportage photo de vos systèmes serait intéressant.
Vous pouvez les transmettre à images.bricovideo@gmail.com pour mise en forme éventuelle.
En espérant que ces développements théoriques pourront vous guider quelque peu. Les condensateurs ne semblent pas être une bonne solution sur une installation de ce type.
Attendons d'autres avis.
Cordialement.
11 avril 2015 à 10:49

Bien reçu de nouveau. Tout à fait prêt à aller plus loin, mais sans "billes", c'est difficile.
Avec les caractéristiques du pavé on pourrait approfondir un tant soit peu ; l'option générateur de courant extérieur est certainement valable, mais il faut que ce soit spécifié quelque part.
Bonne recherche.
Cordialement.
Avec les caractéristiques du pavé on pourrait approfondir un tant soit peu ; l'option générateur de courant extérieur est certainement valable, mais il faut que ce soit spécifié quelque part.
Bonne recherche.
Cordialement.
10 avril 2015 à 20:00

Bien reçu. On ne voit rien. Il semble que ce soit un pavé de leds destiné à on ne sait pas quoi, et qui nécessite certainement une alimentation spécifique telle que l'on en trouve dans certains spots. En général ils fournissent 300 mA (courant continu constant).
Mais ici, on ne peut rien répondre à partir de cette image.
Suivant votre application, il existe certainement des produits tous faits prêts à brancher sur le secteur par l'intermédiaire de convertisseurs.
Cordialement.
Mais ici, on ne peut rien répondre à partir de cette image.
Suivant votre application, il existe certainement des produits tous faits prêts à brancher sur le secteur par l'intermédiaire de convertisseurs.
Cordialement.
10 avril 2015 à 18:32

Bien reçu. On ne peut répondre avec précision que si les explications sont détaillées. Or, sans vouloir vous offenser, vous n'avez pas précisé qu'il s'agissait d'un micro électrostatique, auquel cas il aurait été compréhensible qu'un préampli avec alimentation phantôme était nécessaire.
En regardant les deux photos, on s'aperçoit tout d'abord que l'embase est celle du préampli (erreur dans le post de 16 h 19), par contre rien sur la tension d'alimentation, on ne peut interpréter l'indication 110 120 sur l'embase. On aimerait trouver ce paramètre sur la plaque arrière du préampli, ou dans la notice.
De même, l'absence de référence de l'appareil dans vos descriptions ne permet pas de chercher. sur le net.
Si votre appareil est importé directement des USA ou d'autres pays comme le Japon (à vérifier), la tension d'emploi pourrait être 120 V.
Il est probable que l'onduleur ne délivre pas une tension sinusoïdale, ce qui pourrait être source de bruit de fond ou grésillement en sortie de préampli si sa propre alimentation est exigeante vis à vis de la forme de l'onde de tension.
Conclusion personnelle : l'onduleur est inutile dans votre configuration, car vous n'avez apparemment pas de disparition secteur à suppléer.
Cordialement.
Citation :Oui, bien entendu;
Micro en XLR -> préampli -> carte son -> PC est un branchement très courant,.
En regardant les deux photos, on s'aperçoit tout d'abord que l'embase est celle du préampli (erreur dans le post de 16 h 19), par contre rien sur la tension d'alimentation, on ne peut interpréter l'indication 110 120 sur l'embase. On aimerait trouver ce paramètre sur la plaque arrière du préampli, ou dans la notice.
De même, l'absence de référence de l'appareil dans vos descriptions ne permet pas de chercher. sur le net.
Si votre appareil est importé directement des USA ou d'autres pays comme le Japon (à vérifier), la tension d'emploi pourrait être 120 V.
Il est probable que l'onduleur ne délivre pas une tension sinusoïdale, ce qui pourrait être source de bruit de fond ou grésillement en sortie de préampli si sa propre alimentation est exigeante vis à vis de la forme de l'onde de tension.
Conclusion personnelle : l'onduleur est inutile dans votre configuration, car vous n'avez apparemment pas de disparition secteur à suppléer.
Citation :D'autant plus que vous ne connaissez pas la tension d'alimentation du préamplificateur..
...je ne sais toujours pas si je peux...
Citation :On fait de notre mieux, suivant les renseignements fournis, ou les pistes de recherche.
...ce serait très sympa.
Cordialement.
10 avril 2015 à 18:26

Bien reçu. Il s'agit d'un onduleur de secours pour suppléer la disparition secteur, quand on alimente un PC tour.
Un portable se supplée lui même par sa batterie avec une autonomie de 2 heures environ, ou plus suivant le modèle.
Une bonne prise multiple suffit pour alimenter vos équipements sur le secteur.
Le PC doit comporter une entrée micro de type jack femelle 3,5 mm stéréo. Dans ce cas le préampli micro est inutile.
Su la photo, un reflet de flash masque la tension nominale d'alimentation.
250 V 0,5 A sont les caractéristiques du fusible.
Conclusion : Il vaut mieux ne pas faire compliqué, et remettre l'onduleur dans sa boite.. Pour un branchement sur PC, un préampli micro ne se justifie pas.
Cordialement.
Un portable se supplée lui même par sa batterie avec une autonomie de 2 heures environ, ou plus suivant le modèle.
Une bonne prise multiple suffit pour alimenter vos équipements sur le secteur.
Le PC doit comporter une entrée micro de type jack femelle 3,5 mm stéréo. Dans ce cas le préampli micro est inutile.
Su la photo, un reflet de flash masque la tension nominale d'alimentation.
250 V 0,5 A sont les caractéristiques du fusible.
Citation :Pas forcément, vu le volume de l'onduleur, et ses prises de sorties incompatibles avec la connectique européano-française.
En tout cas mieux que de brancher le préampli sur une simple multiprise.
Conclusion : Il vaut mieux ne pas faire compliqué, et remettre l'onduleur dans sa boite.. Pour un branchement sur PC, un préampli micro ne se justifie pas.
Cordialement.
10 avril 2015 à 16:19

Bonjour. On ne comprend pas trop ce que vous voulez savoir si vous avez lu les caractéristiques de la lampe sur son culot.
On peut déjà préciser qu'une led seule se commande à courant constant.
Cordialement.
On peut déjà préciser qu'une led seule se commande à courant constant.
Cordialement.
10 avril 2015 à 13:27

Bonjour.
L'onduleur possède des sorties 10 A / 230 V.
Normal, mais vous ne pourrez tirer plus de 2 300 VA maximum sur l'onduleur.
La protection en entrée du préampli est de 0,5 A, ce qui signifie qu'il ne consomme rien et que vous pouvez le brancher en sortie de l'onduleur. Assurez vous que le préampli est soit multi tensions, ou mono tension 230 V.
Sinon, il n'y a pas lieu, en temps normal, d'utiliser l'onduleur pour cet usage.
Cordialement.
Citation :En réalité il y a les caractéristiques des câbles, et celles de l'onduleur et du préampli.
Je vois des voltages de sorties et d'entrées qui diffèrent partout !
L'onduleur possède des sorties 10 A / 230 V.
Normal, mais vous ne pourrez tirer plus de 2 300 VA maximum sur l'onduleur.
La protection en entrée du préampli est de 0,5 A, ce qui signifie qu'il ne consomme rien et que vous pouvez le brancher en sortie de l'onduleur. Assurez vous que le préampli est soit multi tensions, ou mono tension 230 V.
Sinon, il n'y a pas lieu, en temps normal, d'utiliser l'onduleur pour cet usage.
Cordialement.
10 avril 2015 à 09:29

Bonjour.
Vous pouvez brancher la fiche du boitier dans une prise de courant classique 2 pôles + terre.
Le différentiel 10 mA est bien dans le boitier en photo. Appuyez de temps en temps sur test ; le différentiel doit déclencher.
Cordialement.
Vous pouvez brancher la fiche du boitier dans une prise de courant classique 2 pôles + terre.
Le différentiel 10 mA est bien dans le boitier en photo. Appuyez de temps en temps sur test ; le différentiel doit déclencher.
Cordialement.
10 avril 2015 à 09:20
