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a posté 20 692 messages sur le forum Électricité :
Bonjour Stef. Il faudrait déjà vous inquiéter de la valeur de cette tension en dehors de la fourchette normalisée de 230 V + - 10% (voir éventuellement le fournisseur d'énergie, censé vous fournir une énergie de qualité - et cela est très bien défini). Voir si les voisins ont des problèmes identiques.
Ensuite, la valeur mesurée est-elle permanente ? Transitoire, donc à certains moments seulement ? Mesurée avec un voltmètre aux performances garanties ?
Pour abaisser la tension on utilise un transformateur ou un autotransformateur. Mais le choix dépend des caractéristiques de consommation de la charge. Et pour passer de 264 V à 230 V ou moins, il faudra fabriquer un transformateur sur mesure.
Votre description succincte sans détails concernant les problèmes rencontrés ne permet pas de développer davantage.
Ensuite, la valeur mesurée est-elle permanente ? Transitoire, donc à certains moments seulement ? Mesurée avec un voltmètre aux performances garanties ?
Pour abaisser la tension on utilise un transformateur ou un autotransformateur. Mais le choix dépend des caractéristiques de consommation de la charge. Et pour passer de 264 V à 230 V ou moins, il faudra fabriquer un transformateur sur mesure.
Votre description succincte sans détails concernant les problèmes rencontrés ne permet pas de développer davantage.
05 juin 2013 à 13:40

Bonjour réponse 8. C'est peut-être une panne fortuite. Mais il faudrait déjà commencer par incriminer le câble d'alimentation ; le tester, le changer ou le réparer comme vous le feriez pour un câble de taille haies malencontreusement coupé.
05 juin 2013 à 09:12

Bonjour. On peut supposer que les contacts entre les broches mâles et femelles étaient mauvais : broches desserrées, broches oxydées ; ou bien les conducteurs mal serrés ; ou bien un conducteur au niveau de la fiche surmoulée partiellement coupé.
Il faudrait voir les appareillages en cause pour effectuer un diagnostic fiable.
Cela engendre une résistance non négligeable qui, parcourue par du courant, est le siège d'un effet calorifique localisé pouvant entrainer un échauffement potentiellement dangereux.
Le compteur, ou plutôt le disjoncteur de branchement, ne détectant pas de surintensité, ne déclenche pas.
On peut penser également que la tronçonneuse est à double isolation et donc non reliée à la terre. Le disjoncteur différentiel de branchement ne peut donc détecter un défaut d'isolement inexistant.
Il faudrait voir les appareillages en cause pour effectuer un diagnostic fiable.
Cela engendre une résistance non négligeable qui, parcourue par du courant, est le siège d'un effet calorifique localisé pouvant entrainer un échauffement potentiellement dangereux.
Le compteur, ou plutôt le disjoncteur de branchement, ne détectant pas de surintensité, ne déclenche pas.
Citation :Dans ces conditions, oui.
Est-ce normal ?
On peut penser également que la tronçonneuse est à double isolation et donc non reliée à la terre. Le disjoncteur différentiel de branchement ne peut donc détecter un défaut d'isolement inexistant.
04 juin 2013 à 22:41

Bonjour réponse 7.
Merci pour votre contribution et la double correction.
Mais Diego a écrit :
Ce qui ne correspond pas aux photos (couplage Y). Donc conformément à ses écrits, il s'agit bien d'un couplage triangle..
Mais depuis, Diego n'a pas donné signe de vie ; on ne peut donc savoir si sa machine tourne, et même s'il dispose d'un réseau mono ou triphasé.
Merci pour votre contribution et la double correction.
Mais Diego a écrit :
Citation :
J'ai mis les barrettes à la verticale.
Ce qui ne correspond pas aux photos (couplage Y). Donc conformément à ses écrits, il s'agit bien d'un couplage triangle..
Mais depuis, Diego n'a pas donné signe de vie ; on ne peut donc savoir si sa machine tourne, et même s'il dispose d'un réseau mono ou triphasé.
04 juin 2013 à 21:05

Bonjour. Extrait de la notice Yokis : "Ne convient pas aux fluorescents Ballasts Ferromagnétiques et éclairage à LED".
C'est fichu.
C'est fichu.
03 juin 2013 à 11:30

Bonsoir papagallo. Le moteur tourne-t-il en direct ? Autrement dit, la pompe est-elle en bon état ?
A la place de la pompe vous branchez une lampe à incandescence et vous simulez le fonctionnement avec la poire, le bouton du relais thermique etc. Il n'y a pas de raison pour que le montage ne fonctionne pas si vous avez testé l'état des contacts en fonctionnement nominal.
Il faut persévérer dans vos recherches, le courant doit finir par passer dans le moteur.
A la place de la pompe vous branchez une lampe à incandescence et vous simulez le fonctionnement avec la poire, le bouton du relais thermique etc. Il n'y a pas de raison pour que le montage ne fonctionne pas si vous avez testé l'état des contacts en fonctionnement nominal.
Il faut persévérer dans vos recherches, le courant doit finir par passer dans le moteur.
02 juin 2013 à 22:21

Bonsoir 1Insp. C'est peut-être ce que voulait dire PL. Effectivement, sur un circuit de commande alimenté entre phase et neutre (230 V) toutes les bobines ont une borne commune reliée au neutre.
Mais généralement, l'alimentation des circuits de commande des automatismes est en 24 V et on n'abordera pas ici les subtilités de la réalisation pratique de cette alimentation que les techniciens devraient connaitre. Sauf s'il y a une forte demande.
Cordialement.
Mais généralement, l'alimentation des circuits de commande des automatismes est en 24 V et on n'abordera pas ici les subtilités de la réalisation pratique de cette alimentation que les techniciens devraient connaitre. Sauf s'il y a une forte demande.
Cordialement.
02 juin 2013 à 22:13

Bonsoir PL.
"On coupe le neutre ?" Eh oui, comme le ferait n'importe quel DJ monophasé.
Ici, il s'agit d'alimenter un moteur asynchrone monophasé par l'intermédiaire d'un contacteur moteur et relais thermique tripolaires ; on fait donc ainsi.
"en régulation je crois que c'est hors norme? Non ? " Je ne comprends pas trop à quoi vous faites allusion.
Les coupures sont omnipolaires, même et surtout avec neutre distribué.
"On coupe le neutre ?" Eh oui, comme le ferait n'importe quel DJ monophasé.
Ici, il s'agit d'alimenter un moteur asynchrone monophasé par l'intermédiaire d'un contacteur moteur et relais thermique tripolaires ; on fait donc ainsi.
"en régulation je crois que c'est hors norme? Non ? " Je ne comprends pas trop à quoi vous faites allusion.
Les coupures sont omnipolaires, même et surtout avec neutre distribué.
02 juin 2013 à 21:24

Bien reçu réponse 10. C'est gagné.
Mais pour progresser, le forum est insuffisant. Il faut travailler par vous même, lire, poser des questions, vous documenter, faire les exercices, fignoler les réalisations, utiliser les bonnes unités etc.
Mais pour progresser, le forum est insuffisant. Il faut travailler par vous même, lire, poser des questions, vous documenter, faire les exercices, fignoler les réalisations, utiliser les bonnes unités etc.
02 juin 2013 à 21:13

Bien reçu papagallo. "Globalement" car j'ai observé les deux schémas sans les refaire en détail. Mais mettez en œuvre le schéma 1 où vous trouvez tous les organes de commande.
Les contacts du pressostat et de la poire doivent être en série pour alimenter la bobine du contacteur ainsi que le contact à ouverture du relais thermique. Vous vous assurez donc de la continuité du circuit de commande de la bobine.
Le circuit de puissance en monophasé doit être câblé comme sur la photo : le relais thermique étant différentiel il faut que les 3 pôles "voient" une même intensité, d'où la mise en série de deux pôles sur trois. Les deux schémas respectent cette condition.

Les contacts du pressostat et de la poire doivent être en série pour alimenter la bobine du contacteur ainsi que le contact à ouverture du relais thermique. Vous vous assurez donc de la continuité du circuit de commande de la bobine.
Le circuit de puissance en monophasé doit être câblé comme sur la photo : le relais thermique étant différentiel il faut que les 3 pôles "voient" une même intensité, d'où la mise en série de deux pôles sur trois. Les deux schémas respectent cette condition.

02 juin 2013 à 09:20

Bonjour. Les schémas sont globalement utilisables. Mais il faut armer le relais thermique (bouton en façade du relais). Vous pouvez vous assurer de la continuité du circuit de puissance puis du circuit de commande avec un ohmmètre, l'alimentation déconnectée bien entendu.
Nota : c'est le courant qui va circuler, si le circuit est bien passant.
Nota : c'est le courant qui va circuler, si le circuit est bien passant.
01 juin 2013 à 21:28

Bonjour réponse 17. Réponse 13 apporte les éléments de réponse dont il faut tenir compte.
Quelle est l'origine de cette nouvelle ligne sur le tableau de répartition ? Ligne mono ou triphasée ? Quels sont les récepteurs à brancher et leur consommation, les machines notamment ? La distance entre le tableau et le bâtiment est bien de 240 m ? Le passage sera-t-il souterrain ou aérien ?
A suivre, avec des précisions.
Quelle est l'origine de cette nouvelle ligne sur le tableau de répartition ? Ligne mono ou triphasée ? Quels sont les récepteurs à brancher et leur consommation, les machines notamment ? La distance entre le tableau et le bâtiment est bien de 240 m ? Le passage sera-t-il souterrain ou aérien ?
A suivre, avec des précisions.
01 juin 2013 à 21:23

Bien reçu.
Mais vous précisez qu'elle est aux normes, mais lesquelles ? La présence d'un cadenas de consigne du sectionneur d'alimentation n 'est pas suffisante.
Le plus simple serait de faire le changement du contacteur fil à fil par un modèle équivalent.
Vous démontez le contacteur actuel, vous repérez l'emplacement de tous les conducteurs, et vous approvisionnez un contacteur équivalent chez un grossiste ou un artisan avec le modèle.
Comme vous n'êtes pas du métier, il vaut mieux vous faire aider par un ami expérimenté ou un professionnel. Il en va de votre sécurité.
Attendons d'autres réponses.
Citation :Nous non plus, c'est pour cela que dans leurs réponses concernant des questions générales les contributeurs insistent sur la sécurité, que ce soit pour les installations électriques domestiques ou les machines. Et la votre est par principe dangereuse.
Je ne vois pas où est la sécurité dans ma demande.
Mais vous précisez qu'elle est aux normes, mais lesquelles ? La présence d'un cadenas de consigne du sectionneur d'alimentation n 'est pas suffisante.
Le plus simple serait de faire le changement du contacteur fil à fil par un modèle équivalent.
Vous démontez le contacteur actuel, vous repérez l'emplacement de tous les conducteurs, et vous approvisionnez un contacteur équivalent chez un grossiste ou un artisan avec le modèle.
Comme vous n'êtes pas du métier, il vaut mieux vous faire aider par un ami expérimenté ou un professionnel. Il en va de votre sécurité.
Attendons d'autres réponses.
31 mai 2013 à 14:01

Bonjour. C'est une question intéressante à laquelle certains camionneurs pourraient apporter une contribution efficace ; il s'agit de ceux qui déverrouillent ainsi le limiteur de vitesse de leur camion. Un reportage TV leur a été consacré il y a quelques mois.
En général, quand ils se font prendre, cela leur coute très cher.
Ce n'est pas certain du tout ; ils ne sont pas nés de la dernière pluie. Autrement dit, ce ne sont pas les perdreaux de l'année.
Trop tard, il ne fallait pas le dire.
Ce serait plus compliqué que cela.
Jamais aucun contributeur n'oserait penser que vous voulez contourner la loi.
Y aurait-il en France d'autres circuits que le circuit Carole ?
La lecture de cette étude de la Prévention routière n'incitera pas les contributeurs à vous apporter une aide pour débrider l'engin : Prévention routière des chiffres qui font réfléchir
Désolé, mais on préfèrerait que les jeunes meurent très vieux et en bon état.
En général, quand ils se font prendre, cela leur coute très cher.
Citation :
Il y a plusieurs variantes de limitateur qui sont malheureusement tous connus par la police sauf 1 !
Ce n'est pas certain du tout ; ils ne sont pas nés de la dernière pluie. Autrement dit, ce ne sont pas les perdreaux de l'année.
Citation :
Celui non connu est celui à aimant.
Trop tard, il ne fallait pas le dire.
Citation :
On m'a dit un relais ... mais sans plus !!
Ce serait plus compliqué que cela.
Citation :
je ne comptes pas contourner la loi comme on m'a déjà dit...
Jamais aucun contributeur n'oserait penser que vous voulez contourner la loi.
Citation :
Je roule sur circuit
Y aurait-il en France d'autres circuits que le circuit Carole ?
Citation :
Pourriez-vous m'aider ?
La lecture de cette étude de la Prévention routière n'incitera pas les contributeurs à vous apporter une aide pour débrider l'engin : Prévention routière des chiffres qui font réfléchir
Désolé, mais on préfèrerait que les jeunes meurent très vieux et en bon état.
30 mai 2013 à 20:59

Bonjour. Bien que la description de votre usage soit succincte, on comprend qu'il s'agit d'une machine particulièrement dangereuse ; elle doit être équipée des organes de sécurité réglementaires, pédale, arrêt d'urgence, barrière lumineuse etc.
Il faut vous adresser à une société spécialisée qui effectuera cette commande tout en respectant la réglementation machines.
Il faut vous adresser à une société spécialisée qui effectuera cette commande tout en respectant la réglementation machines.
30 mai 2013 à 12:55

Bonjour. L'appareil consomme entre 3,7 et 5,5 A ; le point de livraison ne peut délivrer au maximum que 3 A, intensité qui ne permet même pas de faire fonctionner une cafetière. Vous ne pourrez utiliser le système de climatisation dans ces conditions.
30 mai 2013 à 08:49

Bonjour. A priori il y a le compte en fusibles. Il n'y a plus qu'à déterminer les calibres. Bizarre que l'interrupteur crépusculaire puisse être alimenté par intermittence. Assurez vous qu'il ne fait pas un cycle quel que soit l'éclairement lors de la mise sous tension.
Le montage fonctionne-t-il ainsi ?
Les porte-fusibles sont-ils à coupure omnipolaire ?
Le montage fonctionne-t-il ainsi ?
Les porte-fusibles sont-ils à coupure omnipolaire ?
27 mai 2013 à 23:08

Bonjour Alain. Pourquoi est-il là ? Comme le souligne l'ami PL il va falloir ouvrir le tableau et pister les conducteurs en aval du contacteur.
On ne peut penser qu'il alimente en tout ou rien une série de radiateurs électriques. Mais des précisions sur le mode de chauffage seraient nécessaires.
Auriez vous sur le tableau un système de délestage ?
On ne peut penser qu'il alimente en tout ou rien une série de radiateurs électriques. Mais des précisions sur le mode de chauffage seraient nécessaires.
Auriez vous sur le tableau un système de délestage ?
25 mai 2013 à 21:20

Bonjour. Indépendamment du problème de déclenchement d'un ID, il serait souhaitable de vérifier la continuité du circuit de terre des prises concernées et de ce que vous appelez prises proches. Vous opérez tous les récepteurs débranchés comme vous avez fait initialement, et DJ de branchement déclenché.
On pourrait penser que certains conducteurs de terre sont branchés en cascade.
Il va certainement falloir démonter des socles de PC.
On pourrait penser que certains conducteurs de terre sont branchés en cascade.
Il va certainement falloir démonter des socles de PC.
25 mai 2013 à 20:50

Bien reçu. Mais attendez vous à devoir répondre aux question suivantes :
Pourquoi faut-il un fusible de 0,3 A (zéro virgule trois) à l'entrée, et qu'est-ce que cette entrée ?
De même, à quoi sert le fusible de 3 A ?
Que représentent pour vous l'entrée et la sortie de l'interrupteur crépusculaire tel que vous l'écrivez ?
C'est écrit avec un t (cela fait-il écrise ou écrite ?) Une règle simple que vous n'oublierez pas.
Pourquoi faut-il un fusible de 0,3 A (zéro virgule trois) à l'entrée, et qu'est-ce que cette entrée ?
De même, à quoi sert le fusible de 3 A ?
Que représentent pour vous l'entrée et la sortie de l'interrupteur crépusculaire tel que vous l'écrivez ?
C'est écrit avec un t (cela fait-il écrise ou écrite ?) Une règle simple que vous n'oublierez pas.
23 mai 2013 à 18:55

Bonjour réponse 17. Vous pouvez trouver le principe du variateur pour lampes à incandescence en faisant une recherche sur le net avec "gradateur à réglage de phase".
La tension instantanée n'est pas écrêtée.
Le variateur basique n'utilise pas de diode tunnel.
La consommation propre du variateur (quelques watts) est négligeable par rapport à la puissance dissipée par la lampe ; elle dépend du réglage de l'angle de retard à l'amorçage (qui impose la valeur de l'intensité dans le composant et la lampe). Mais les pertes d'énergie dans le triac transformées en chaleur imposent que ce dernier soit monté sur un radiateur.
La tension instantanée n'est pas écrêtée.
Le variateur basique n'utilise pas de diode tunnel.
La consommation propre du variateur (quelques watts) est négligeable par rapport à la puissance dissipée par la lampe ; elle dépend du réglage de l'angle de retard à l'amorçage (qui impose la valeur de l'intensité dans le composant et la lampe). Mais les pertes d'énergie dans le triac transformées en chaleur imposent que ce dernier soit monté sur un radiateur.
22 mai 2013 à 20:27

Bonjour. Eh oui, sauf que ce boitier est certainement plombé. Il comporte deux contacts, un pour la commutation du comptage en HC, et un autre pour la commande du contacteur de chauffe-eau. Normalement sur votre tableau de répartition vous devriez avoir une protection du circuit de commande (voir question 6682).
Vous court-circuitez le contact pour voir si le contacteur s'enclenche ; si c'est oui et après vérification complète du circuit de commande, il n'y a plus qu'à appeler ERDF pour le contrôle du relais 175 Hz.
Conclusion : vérifier en détail le circuit de commande, faire l'essai en shuntant le contact ERDF, appeler éventuellement le technicien ERDF.
Vous court-circuitez le contact pour voir si le contacteur s'enclenche ; si c'est oui et après vérification complète du circuit de commande, il n'y a plus qu'à appeler ERDF pour le contrôle du relais 175 Hz.
Citation :On peut comprendre que vous avez fait une fausse manipulation lors de ce changement de contacteur. N'auriez vous pas travaillé sous tension ?
Après changement du contacteur j/n pour chauffe bain...
Conclusion : vérifier en détail le circuit de commande, faire l'essai en shuntant le contact ERDF, appeler éventuellement le technicien ERDF.
21 mai 2013 à 14:06

Bonjour réponse 7. Hélas, on peut penser que seule la réponse 1 vous permettra d'utiliser votre lampe.
La fonction tactile semble être un gadget peu fiable.
La fonction tactile semble être un gadget peu fiable.
21 mai 2013 à 10:57

Bonjour jmb. Il faudrait que vous fassiez de nouveau le changement du condensateur en étant certain qu'il soit bon, donc avec un neuf de la valeur spécifiée par le constructeur. Si vous avez un moteur en tout point identique, vous faites l'échange. Vous essayez d'abord charge désaccouplée si c'est possible.
On suppose que vous avez contrôlé la continuité de l'enroulement auxiliaire.
Qu'est-ce qu'une PPE ?
On suppose que vous avez contrôlé la continuité de l'enroulement auxiliaire.
Qu'est-ce qu'une PPE ?
20 mai 2013 à 08:51

Bonjour. Il faudrait que vous déconnectiez le système photovoltaïque du secteur et refassiez vos mesures (mais c'est le réseau qui impose la valeur de la tension, pas l'onduleur).
Il faut que vous soyez certain des qualités de votre multimètre.
La tension simple normalisée est 230 V + ou - 10%. Les fluctuations sont assez fortes néanmoins chez vous. Quelques volts seraient davantage acceptables.
Vous pouvez également comparer avec les valeurs des tensions dans le voisinage proche.
Il faut que vous soyez certain des qualités de votre multimètre.
La tension simple normalisée est 230 V + ou - 10%. Les fluctuations sont assez fortes néanmoins chez vous. Quelques volts seraient davantage acceptables.
Vous pouvez également comparer avec les valeurs des tensions dans le voisinage proche.
19 mai 2013 à 23:22

Bonjour pascalblum. Il eût fallu préciser initialement le type de porte et de moteur utilisé.
Le problème vient du fait que le moteur fonctionne en 1,5 V, et que la commande qui nécessitera des relais devra fonctionner avec la tension nominale des bobines ; d'où l'obligation de deux alimentations, sans compter celle de l'horloge. Ce n'est pas infaisable, mais il faut du temps.
La solution du volet roulant est plus simple à mettre en œuvre.
Le problème vient du fait que le moteur fonctionne en 1,5 V, et que la commande qui nécessitera des relais devra fonctionner avec la tension nominale des bobines ; d'où l'obligation de deux alimentations, sans compter celle de l'horloge. Ce n'est pas infaisable, mais il faut du temps.
La solution du volet roulant est plus simple à mettre en œuvre.
19 mai 2013 à 00:27

Bonjour.
Le module 6410 possède effectivement un contact sec, ce qui signifie que ce contact est libre de tout potentiel. Vous faites ce que vous voulez avec ce contact équivalent à un vulgaire interrupteur.
La notice du 6410 est ici : branchement module delta dore 6410.pdf
Citation :Non, pas du tout, il n'envoie rien.
le tyxia 6410 envoie du 220V en contact sec impulsionnel.
Le module 6410 possède effectivement un contact sec, ce qui signifie que ce contact est libre de tout potentiel. Vous faites ce que vous voulez avec ce contact équivalent à un vulgaire interrupteur.
La notice du 6410 est ici : branchement module delta dore 6410.pdf
18 mai 2013 à 15:07

Bonjour. Vous demandez une étude complète qu'il est impossible de faire ici, dans la cadre d'un forum d'entraide ponctuelle.
C'est ce que font les constructeurs dans les bureaux d'étude à partir d'un cahier des charges précis dont votre description est très éloignée.
La commande de la porte doit comprendre des éléments de sécurité en cas de passage inopiné de personnes lors de la fermeture, une protection en cas de blocage, un ou des dispositifs d'arrêt d'urgence et de réouverture.
La motorisation par machine à courant continu n'est peut-être pas le meilleur choix.
Il faut que vous fassiez appel à une société spécialisée pour étudier et réaliser cet automatisme.
Mais s'il s'agit d'un exercice proposé dans le cadre d'une formation, il faut être beaucoup plus précis concernant le matériel à mettre en œuvre et ses caractéristiques, et l'usage de cette porte.
C'est ce que font les constructeurs dans les bureaux d'étude à partir d'un cahier des charges précis dont votre description est très éloignée.
La commande de la porte doit comprendre des éléments de sécurité en cas de passage inopiné de personnes lors de la fermeture, une protection en cas de blocage, un ou des dispositifs d'arrêt d'urgence et de réouverture.
La motorisation par machine à courant continu n'est peut-être pas le meilleur choix.
Il faut que vous fassiez appel à une société spécialisée pour étudier et réaliser cet automatisme.
Mais s'il s'agit d'un exercice proposé dans le cadre d'une formation, il faut être beaucoup plus précis concernant le matériel à mettre en œuvre et ses caractéristiques, et l'usage de cette porte.
18 mai 2013 à 09:25

Bien reçu. Tout ce que l'on peut faire est d'exploiter la plaque signalétique, la photo du bornier, les caractéristiques du constructeur.
Il s'agit d'un alternateur triphasé de 7,5 kVA dont l'induit est couplé en étoile avec neutre accessible (230 / 400 V) et autorégulé de façon électronique ; la roue polaire (rotor) est alimentée par l'intermédiaire de bagues et balais. Il doit tourner à vitesse constante de 3 000 tr/min.
On peut supposer qu'il est couplé à un moteur thermique pour constituer un groupe électrogène.
En état de marche, il suffit de l'entrainer, il s'autoexcite et est alors prêt à débiter.
Extrait des caractéristiques :
"The generators of this series are three-phase, with brushes and they are characterised by an innovative electronic voltage control...
The Latest-technology ASR regulator, assure an trouble-less use, a precise voltage control and an underfrequency protection."
Une belle machine classique.
Il s'agit d'un alternateur triphasé de 7,5 kVA dont l'induit est couplé en étoile avec neutre accessible (230 / 400 V) et autorégulé de façon électronique ; la roue polaire (rotor) est alimentée par l'intermédiaire de bagues et balais. Il doit tourner à vitesse constante de 3 000 tr/min.
On peut supposer qu'il est couplé à un moteur thermique pour constituer un groupe électrogène.
En état de marche, il suffit de l'entrainer, il s'autoexcite et est alors prêt à débiter.
Extrait des caractéristiques :
"The generators of this series are three-phase, with brushes and they are characterised by an innovative electronic voltage control...
The Latest-technology ASR regulator, assure an trouble-less use, a precise voltage control and an underfrequency protection."
Une belle machine classique.
18 mai 2013 à 09:09

Bien reçu. Il s'agit simplement de mesurer la résistance du galvanomètre. Mais pour ne pas le surcharger avec le courant injecté par votre ohmmètre supposé numérique, on le laisse en série avec sa résistance R1. Vous déconnectez sa borne de gauche, et vous branchez l'ohmmètre ; celui-ci doit indiquer un peu plus que R1, tandis que l'aiguille doit dévier. La résistance du cadre fait quelques dizaines d'ohms généralement.
L'autre façon de faire est de déconnecter une borne du galvanomètre, et de faire passer dans le cadre 40 microampères ou un peu moins (pile 4,5 V en série avec une résistance de 120 k.ohms. L'aiguille doit dévier presque à fond.
L'autre façon de faire est de déconnecter une borne du galvanomètre, et de faire passer dans le cadre 40 microampères ou un peu moins (pile 4,5 V en série avec une résistance de 120 k.ohms. L'aiguille doit dévier presque à fond.
18 mai 2013 à 00:05

Bonjour Leandre. Quelques précisions sur la structure de votre installation seraient bienvenues. A vous lire on peut supposer qu'il s'agit d'un groupe électrogène mais ce n'est pas certain.
On ne peut savoir derrière l'écran comment le neutre peut "s'allumer". De même, le sens de rotation de la machine reste mystérieux.
Cours d'élec : L'alternateur classique comporte un bobinage statorique triphasé couplé en étoile avec neutre sorti.
Le rotor peut être soit un aimant permanent (Permanent Magnet Alternator), soit un électro-aimant. L'avantage de l'électro-aimant est que la régulation de la tension de sortie en fonction du débit est possible. Ce rotor est entrainé à fréquence de rotation constante, afin que la fréquence des grandeurs de sortie (tensions et courants) le soit également.
Dans votre application, la machine fonctionne en génératrice. Mais il y a beaucoup d'applications ou la machine peut fonctionner en moteur.
A suivre si vous apportez des précisions.
On ne peut savoir derrière l'écran comment le neutre peut "s'allumer". De même, le sens de rotation de la machine reste mystérieux.
Cours d'élec : L'alternateur classique comporte un bobinage statorique triphasé couplé en étoile avec neutre sorti.
Le rotor peut être soit un aimant permanent (Permanent Magnet Alternator), soit un électro-aimant. L'avantage de l'électro-aimant est que la régulation de la tension de sortie en fonction du débit est possible. Ce rotor est entrainé à fréquence de rotation constante, afin que la fréquence des grandeurs de sortie (tensions et courants) le soit également.
Dans votre application, la machine fonctionne en génératrice. Mais il y a beaucoup d'applications ou la machine peut fonctionner en moteur.
A suivre si vous apportez des précisions.
17 mai 2013 à 09:24

Bonjour CMT. Je suis d'accord avec vous ; c'est maintenant à clolifier de faire le choix, et qu'il soit certain que la puissance souscrite lui suffira dans les années qui viennent, s'il est amené à modifier le système de chauffage ou étendre la surface habitable.
Il est évident que 15 kVA en monophasé est plus facile à installer et moins délicat à l'usage qu'en triphasé. Mais ERDF a imposé cette charnière à 12 kVA. Et pour 3kVA supplémentaires le surcout est tout sauf négligeable, voire dissuasif.
Cordialement.
Il est évident que 15 kVA en monophasé est plus facile à installer et moins délicat à l'usage qu'en triphasé. Mais ERDF a imposé cette charnière à 12 kVA. Et pour 3kVA supplémentaires le surcout est tout sauf négligeable, voire dissuasif.
Cordialement.
17 mai 2013 à 09:07

Bien reçu. Je ne suis pas au fait des performances de ce système de chauffage, c'est pour cela que 6 kW me semble peu. Voire très peu. Une pompe à chaleur (eau eau si vous avez un grand terrain) serait peut-être une idée à creuser.
12 kVA semble un minimum en double tarif. Reste à savoir si vous optez pour du monophasé (donc puissance figée) ou triphasé (évolutif en puissance).
Il faut prendre en compte le gros électroménager, le chauffage, le chauffe-eau. Le reste ne consomme que peu de puissance.
Cordialement.
Attendons d'autres avis.
12 kVA semble un minimum en double tarif. Reste à savoir si vous optez pour du monophasé (donc puissance figée) ou triphasé (évolutif en puissance).
Il faut prendre en compte le gros électroménager, le chauffage, le chauffe-eau. Le reste ne consomme que peu de puissance.
Cordialement.
Attendons d'autres avis.
16 mai 2013 à 23:52

Bien reçu demonjoker. A distance on essaie de comprendre comme vous ce qui a pu se passer. Si l'on reprend votre description, il s'agit d'un groupe isolé de la remorque, et vous ne voyez pas de protection différentielle (ce qui est regrettable). Votre ami ressent une électrisation quand il touche le groupe et la remorque ; la sensation peut être entre les deux mains ; et pour le moment il n'y a pas d'explication.
On ne peut penser à une charge statique de la remorque métallique ; le seul fait de toucher la remorque pourrait provoquer une sensation désagréable.
De toutes façons, il ne faut pas isoler le groupe de la remorque, ni laisser l'installation en l'état.
Ce serait au loueur du groupe d'intervenir s'il est du métier pour sécuriser l'ensemble. Il semble y avoir danger pour les personnes et les biens.
Citation :Oui, mais quel appareillage ? Pas d’explication possible à ce stade. Quelques mesures sur place permettraient d'éclaircir cet incident anormal.
...c'est le tableau qui pète direct ...
Citation :On ne peut pas faire davantage de suppositions devant un montage qui manque de détails concernant les branchements effectués. Si votre ami vous les fournit (ainsi que la notice de branchement du groupe non disponible sur le net) on pourra vous guider davantage et nous aurons tous appris quelque chose.
Si défaut d'isolement il y a... alors pourquoi cela ne se produit pas hors remorque ?
On ne peut penser à une charge statique de la remorque métallique ; le seul fait de toucher la remorque pourrait provoquer une sensation désagréable.
De toutes façons, il ne faut pas isoler le groupe de la remorque, ni laisser l'installation en l'état.
Ce serait au loueur du groupe d'intervenir s'il est du métier pour sécuriser l'ensemble. Il semble y avoir danger pour les personnes et les biens.
16 mai 2013 à 23:38

Bonjour. A la relecture on peut comprendre que vous n'avez rien à voir avec les deux groupes et que vous essayez juste de comprendre ce qui se passe. Votre responsabilité ne serait donc pas en cause.
16 mai 2013 à 12:22

Bonjour. On peut conseiller à votre ami de faire intervenir un électricien sur place qui saura établir les liaisons équipotentielles nécessaires et les mises à la terre pour que la sécurité des personnes soient garanties. D'autant plus que comme le souligne 1Insp, on ne voit pas le montage effectué.
Le groupe dont vous donnez la référence est des plus classiques et devrait être équipé de ce module :
Protection différentielle R03B - Ce coffret inclut le compteur horaire, l'interrupteur différentiel, les prises et le disjoncteur thermique Et bien entendu il faut un piquet de terre de bonne taille.
Conclusion : ce problème ne peut se régler à 300 km, d'autant plus que votre responsabilité pourrait être engagée et que vous n'êtes pas professionnel. Par sécurité il faut faire intervenir un professionnel.
Remarque :
Le groupe dont vous donnez la référence est des plus classiques et devrait être équipé de ce module :
Protection différentielle R03B - Ce coffret inclut le compteur horaire, l'interrupteur différentiel, les prises et le disjoncteur thermique Et bien entendu il faut un piquet de terre de bonne taille.
Conclusion : ce problème ne peut se régler à 300 km, d'autant plus que votre responsabilité pourrait être engagée et que vous n'êtes pas professionnel. Par sécurité il faut faire intervenir un professionnel.
Remarque :
Citation :C'est la tension (ddp) entre deux points du corps de l'opérateur qui peut tuer ce dernier ; et non l'intensité qui passe dans le conducteur malencontreusement touché.
Y a de l'intensité, faut pas l'oublier !
16 mai 2013 à 11:42

Bonjour. Il est bizarre que l'interrupteur crépusculaire ne soit pas alimenté en permanence. Le contact de l'horloge ne devrait-il pas être placé en aval du contact de l'interrupteur crépusculaire ? Les alimentations de l'horloge et de l'interrupteur crépusculaire devraient être ensemble et protégées.
Il faut vous inspirer des montages classiques d'éclairage domestique qui seraient alimentés et protégés de la même façon.
Pour les protections, chaque élément doit posséder la sienne propre sous forme de fusible ; il faut donc consulter les notices.
J'aurais tendance à isoler la batterie avec un petit DJ bipolaire ou porte fusible à deux coupures, idem pour la ligne de led qu'il faut pouvoir isoler et protéger contre un éventuel court-circuit qui serait répercuté sur la batterie. Penser à la sélectivité des protections quand elles sont en cascade.
S'agissant d'un montage pédagogique pouvant être utilisé en essai de système, il faudrait y mettre des bornes de mesure, ainsi que des cavaliers permettant d'isoler l'un ou l'autre des appareillages pour tester chaque composant.
Le montage étant isolé du secteur et en TBT il n'y a pas lieu d'y mettre une protection différentielle.
Pourquoi n'avez vous pas demandé conseil auprès de vos camarades ou professeurs ?
Il faut vous inspirer des montages classiques d'éclairage domestique qui seraient alimentés et protégés de la même façon.
Pour les protections, chaque élément doit posséder la sienne propre sous forme de fusible ; il faut donc consulter les notices.
J'aurais tendance à isoler la batterie avec un petit DJ bipolaire ou porte fusible à deux coupures, idem pour la ligne de led qu'il faut pouvoir isoler et protéger contre un éventuel court-circuit qui serait répercuté sur la batterie. Penser à la sélectivité des protections quand elles sont en cascade.
S'agissant d'un montage pédagogique pouvant être utilisé en essai de système, il faudrait y mettre des bornes de mesure, ainsi que des cavaliers permettant d'isoler l'un ou l'autre des appareillages pour tester chaque composant.
Le montage étant isolé du secteur et en TBT il n'y a pas lieu d'y mettre une protection différentielle.
Pourquoi n'avez vous pas demandé conseil auprès de vos camarades ou professeurs ?
16 mai 2013 à 10:32

Bonjour. Vous ne précisez pas la surface habitable et si elle est appelée à augmenter.
Le poste chauffage semble sous-dimensionné.
Pour une habitation moyenne sur un niveau avec équipement tout électrique, 8 kVA est un bon début. Si on rajoute un étage couvrant toute la surface on passe à 12 kVA en monophasé. Pour des surfaces supérieures on peut passer à 15 ou 18 kVA, mais en triphasé. Donc il faut que vous affiniez votre étude.
Pour ce qui concerne la fabrication des pieuvres, ce n'est pas du tout la meilleure méthode, car l'installation sera figée pour l'éternité. Donc ce point est très négatif.
Il faut faire votre schéma à partir du tableau de distribution d'où toutes les lignes partiront, quitte à ce que certaines arrivent dans de grosses boites de dérivation judicieusement réparties dans certaines pièces.
C'est un travail de préparation très important et cela vaut la peine d'y passer beaucoup de temps. La réalisation elle même est très longue si l'on travaille tout seul, et il vaut mieux être très proche du métier.
Conclusion : il faut définir la puissance nécessaire en tenant compte d'une évolution possible de l'habitat, et laisser tomber la réalisation de pieuvres ou autres systèmes figés dont vous ne serez pas maitre et qui empêcheront toute modification ou adaptation. La définition de la ligne sera effectuée après le choix de la puissance. Il faudra penser à passer les lignes de télé-information, et tout ce qui concerne éclairage extérieur et portail automatique ultérieur. Mais c'est du plein temps, avec de fortes compétences en électricité.
Si ce n'est pas le cas, des erreurs irrémédiables peuvent être commises. On ne bricole pas en électricité.
Le poste chauffage semble sous-dimensionné.
Pour une habitation moyenne sur un niveau avec équipement tout électrique, 8 kVA est un bon début. Si on rajoute un étage couvrant toute la surface on passe à 12 kVA en monophasé. Pour des surfaces supérieures on peut passer à 15 ou 18 kVA, mais en triphasé. Donc il faut que vous affiniez votre étude.
Pour ce qui concerne la fabrication des pieuvres, ce n'est pas du tout la meilleure méthode, car l'installation sera figée pour l'éternité. Donc ce point est très négatif.
Il faut faire votre schéma à partir du tableau de distribution d'où toutes les lignes partiront, quitte à ce que certaines arrivent dans de grosses boites de dérivation judicieusement réparties dans certaines pièces.
C'est un travail de préparation très important et cela vaut la peine d'y passer beaucoup de temps. La réalisation elle même est très longue si l'on travaille tout seul, et il vaut mieux être très proche du métier.
Conclusion : il faut définir la puissance nécessaire en tenant compte d'une évolution possible de l'habitat, et laisser tomber la réalisation de pieuvres ou autres systèmes figés dont vous ne serez pas maitre et qui empêcheront toute modification ou adaptation. La définition de la ligne sera effectuée après le choix de la puissance. Il faudra penser à passer les lignes de télé-information, et tout ce qui concerne éclairage extérieur et portail automatique ultérieur. Mais c'est du plein temps, avec de fortes compétences en électricité.
Si ce n'est pas le cas, des erreurs irrémédiables peuvent être commises. On ne bricole pas en électricité.
15 mai 2013 à 09:17

Bonjour. Peu importe le titre du thème. Vous avez à associer les composants que vous avez cités.
Les protections seront les habituelles quand on met en service batterie, panneau et régulateur ; vous devez avoir un cours ou un essai de système dont vous pourrez vous inspirer. L’interrupteur crépusculaire devra être alimenté en permanence par la batterie, la protection de la ligne de led sera assurée à son départ.
Vous élaborez le projet et le soumettez à votre professeur de génie électrique.
Les protections seront les habituelles quand on met en service batterie, panneau et régulateur ; vous devez avoir un cours ou un essai de système dont vous pourrez vous inspirer. L’interrupteur crépusculaire devra être alimenté en permanence par la batterie, la protection de la ligne de led sera assurée à son départ.
Vous élaborez le projet et le soumettez à votre professeur de génie électrique.
15 mai 2013 à 09:02

Bonsoir.
La plupart des plaques avec feux classiques à résistance sont connectables sur les trois phases, d'où un bon équilibrage des intensités.
Citation :C'est tout simple. Quand on dispose du triphasé 230 / 400 V, on branche deux phases en L1 et L2, et le neutre en 4. Ainsi, cela permet d'équilibrer un tant soit peu le fonctionnement sur deux phases. Rares sont les plaques à induction fonctionnant avec les trois phases.
je ne comprends pas l'installation en 400 V
La plupart des plaques avec feux classiques à résistance sont connectables sur les trois phases, d'où un bon équilibrage des intensités.
14 mai 2013 à 22:21

Bien reçu. Vous avez quand même 3 plaques pour 6,4 kW en 230 V monophasé.
En mono c'est bien 32 A, même si le constructeur annonce 25 A de protection.
Vous avez bien une distribution monophasée ? Si non ça change tout.
En mono c'est bien 32 A, même si le constructeur annonce 25 A de protection.
Vous avez bien une distribution monophasée ? Si non ça change tout.
14 mai 2013 à 15:30

Bonjour Alexandre.
C'est un montage sans intérêt. Néanmoins, pour vous amuser, il faut juste un chargeur et une batterie, puis on branche l'autoradio dessus en respectant la polarité. C'est ce qu'indique mf06 en réponse 1.
L'utilisation d'une alimentation stabilisée est toujours possible mais cela n'en vaut pas la peine économiquement. Il faut qu'elle soit capable de débiter quelques ampères sous 12 V. On en trouve de pas très chères sur le marché.
C'est un montage sans intérêt. Néanmoins, pour vous amuser, il faut juste un chargeur et une batterie, puis on branche l'autoradio dessus en respectant la polarité. C'est ce qu'indique mf06 en réponse 1.
L'utilisation d'une alimentation stabilisée est toujours possible mais cela n'en vaut pas la peine économiquement. Il faut qu'elle soit capable de débiter quelques ampères sous 12 V. On en trouve de pas très chères sur le marché.
14 mai 2013 à 11:49

Bonjour. C'est simple, la réponse est non.
On ne divise pas les conducteurs de façon à éviter tout incident pouvant être très dangereux si par hasard l'un n'est plus connecté, et ce d'autant plus qu'il faut une section de 6 mm².
Il va vous falloir passer un nouveau câble de type 3g6. Quitte à ce qu'il soit en apparent ou dans une goulotte.
On ne divise pas les conducteurs de façon à éviter tout incident pouvant être très dangereux si par hasard l'un n'est plus connecté, et ce d'autant plus qu'il faut une section de 6 mm².
Il va vous falloir passer un nouveau câble de type 3g6. Quitte à ce qu'il soit en apparent ou dans une goulotte.
14 mai 2013 à 10:15

Bonjour Bob. Et oui, c'est bien de l'électricité générale comme on n'en fait plus beaucoup. Il n' y a plus grand monde qui sait ce qui se passe dans le ventre de ces contrôleurs universels analogiques.
Le galvanomètre lui même est une merveille technologique d'application des lois fondamentales de l'électricité, de l’électromagnétisme, de la mécanique des systèmes statiques et en mouvement etc.
Son histoire a débuté en 1820 avec André-Marie Ampère.
Le galvanomètre lui même est une merveille technologique d'application des lois fondamentales de l'électricité, de l’électromagnétisme, de la mécanique des systèmes statiques et en mouvement etc.
Son histoire a débuté en 1820 avec André-Marie Ampère.
12 mai 2013 à 20:21

Bonjour. La première des choses à faire est de vérifier le galvanomètre : entre la borne droite de R1 et la borne - de M1 mais déconnectée. Apparemment le calibre est de 40 microampères pour la déviation totale.
On constate qu'il n'y a aucun composant de protection de l'équipage mobile ; la moindre surcharge a pu être fatale au cadre mobile.
Ensuite, vous avez le choix si le cadre est bon et non bloqué : pulvériser un aérosol désoxydant sur le commutateur S1, idem sur S2.
Puis, au nez et à la vue voir si des résistances ne seraient pas grillées : R12 à R21 le shunt universel (mesure des intensités) et R 27 à R 33 (résistances série fonction voltmètre).
Il n'est pas certain que vous puissiez le remettre en service. Vous repassez en rouge tout le circuit voltmètre continu calibre 1,5 V par exemple, vous mettez une pile entre les bornes de mesure et vous voyez où il y a interruption du circuit.
Pourriez vous joindre une photo souvenir de ce multimètre ? Merci.
On constate qu'il n'y a aucun composant de protection de l'équipage mobile ; la moindre surcharge a pu être fatale au cadre mobile.
Ensuite, vous avez le choix si le cadre est bon et non bloqué : pulvériser un aérosol désoxydant sur le commutateur S1, idem sur S2.
Puis, au nez et à la vue voir si des résistances ne seraient pas grillées : R12 à R21 le shunt universel (mesure des intensités) et R 27 à R 33 (résistances série fonction voltmètre).
Il n'est pas certain que vous puissiez le remettre en service. Vous repassez en rouge tout le circuit voltmètre continu calibre 1,5 V par exemple, vous mettez une pile entre les bornes de mesure et vous voyez où il y a interruption du circuit.
Pourriez vous joindre une photo souvenir de ce multimètre ? Merci.
12 mai 2013 à 20:04

Bien reçu Patrick. La boite de dérivation est inutile ; vous repartez simplement du premier radiateur vers le deuxième (en identifiant l'arrivée et le départ, toujours utile en cas de dépannage). Vous respectez le sens du branchement phase neutre sur chaque radiateur, indispensable s'il y a utilisation du fil pilote. Dans ce cas, vous reliez les deux fils pilote des radiateurs.
12 mai 2013 à 17:38

Bien reçu Patrick. Dans le respect de la norme C15-100 vous pourrez faire ainsi. Personnellement, j'aurais tendance à privilégier l'autonomie des radiateurs, et ne pas faire fonctionner la ligne à la limite, ne serait-ce que pour la soulager.
Vous faites au mieux, en pensant à l'avenir : indépendance, programmation, délestage, fonctionnement sous le maximum autorisé. Quitte à faire quelques efforts pour le passage de lignes.
Cordialement.
Vous faites au mieux, en pensant à l'avenir : indépendance, programmation, délestage, fonctionnement sous le maximum autorisé. Quitte à faire quelques efforts pour le passage de lignes.
Cordialement.
11 mai 2013 à 14:34

Bonjour. On ne peut vous confirmer la validité de la mesure, ne sachant rien sur l'appareil utilisé.
Si le mesurage est bon, la capacité diffère de 33% de la valeur nominale ; jusqu’à 15 ou 20 % on s'en accommoderait.
Mais dans le doute vous pouvez mettre un autre condensateur si vous en avez un sous la main.
Si le mesurage est bon, la capacité diffère de 33% de la valeur nominale ; jusqu’à 15 ou 20 % on s'en accommoderait.
Mais dans le doute vous pouvez mettre un autre condensateur si vous en avez un sous la main.
11 mai 2013 à 10:08

Bonjour Patrick. Voir question 12240 qui traite ce sujet.
Avec 5 kW vous dépassez de 11 % la limite autorisée de 4,5 kW.
Le plus simple serait de passer au moins deux lignes spécialisées sinon trois à partir du tableau de répartition avec fils pilote permettant une programmation et un délestage.
Avec 5 kW vous dépassez de 11 % la limite autorisée de 4,5 kW.
Le plus simple serait de passer au moins deux lignes spécialisées sinon trois à partir du tableau de répartition avec fils pilote permettant une programmation et un délestage.
11 mai 2013 à 09:57

Bien reçu.
"..s’ils n'ont pas branché les communs ou un voisin sur mon installation" C'est difficile à imaginer, pour ne pas dire inimaginable. Et qui serait ces "ils" malhonnêtes ? Enfin, l'électricien vérifiera.
Citation :Pour l'instant, non. L'électricien devra vérifier la consommation en aval de votre DJ de branchement, et contrôlera la cuisinière, consommation et isolement.
Mais si vous avez d'autres idées entre temps
"..s’ils n'ont pas branché les communs ou un voisin sur mon installation" C'est difficile à imaginer, pour ne pas dire inimaginable. Et qui serait ces "ils" malhonnêtes ? Enfin, l'électricien vérifiera.
09 mai 2013 à 14:44
