Bonjour les Terriens !

Je passais et d'un coup j'ai changé de couleur ...

Citation :
je voulais me servir d'un multimètre mais, à priori, il s'arrête tous à 10 A.
Je ne dois pas avoir saisi un détail.

Aie aie aie ... c'est le 10A qui fait très peur !

NE JAMAIS CONNECTER UN MULTIMÈTRE EN POSITION AMPEREMETRE (positions en A) DIRECTEMENT A UNE SOURCE DE TENSION (prise) !
Cela donnerait lieu à un court-circuit à la fois dangereux pour la vie de l'appareil de mesure et pour le Terrien qui tente d'effectuer cette mesure !

La seule chose que l'on mesure au niveau d'une prise de courant est (sont) une (des) tension(s).
Le multimètre doit être placé en position "voltmètre" en V.

Au besoin relire le mode d'emploi du multimètre.
Cordialement,
Martien-071

Bonjour Terrien !

Il est dommage que les photos soient de piètre qualité et que l'on a droit qu'à une miniature quand on les sélectionne sur le site.
Très difficile de vous aider si on ne voit rien du câblage ...

Si le montage est correct et si le "thermique" est réglé correctement, une rupture de phase devrait déclencher celui-ci et arrêter la pompe.
La référence "LR1-D63" est celle de la protection thermique et ne concerne pas le contacteur.

Cordialement, Martien-071

Bonjour Terrien !

Ne résidant pas dans votre contrée, je ne suis pas au courant de certaines subtilités concernant les installations électriques, d'autres contributeurs complèteront ou corrigeront.

Normalement le fabricant d'électroménager prévoit les différents cas d'alimentations électriques : triphasé ou monophasé. Il fournit des pontets à installer au niveau de la boite de connexion de l'appareil suivant la configuration désirée.
En installation domestique on n'utilise jamais la mise en parallèle de conducteurs.

Les pontages se font au niveau de l'appareil.
=> En monophasé, on utilise un câble (de la section correcte pour l'utilisation) comportant 3 fils : phase, neutre et terre.
Ce câble est raccordé au niveau de la boite de raccordement de l'appareil et ensuite au niveau du mur du bâtiment : prise ou boite à nez.

Cordialement, Martien-071

Bonjour Terrien !

Pour commencer à vous aider il manque énormément d'informations, un petit schéma pourrait être utile.

Je comprends que vous désirez transvaser un liquide (eau peut-être) d'un bassin vers un autre et que la pompe utilisée est commandée par un variateur.
Pourquoi un variateur ? Qu'est ce qui commande ce variateur ou va le commander ?

Pour le remplissage du bassin "récepteur", le niveau de celui-ci doit-il être maintenu constant (auquel cas il faudra installer un système de mesure et une régulation) ou doit-il être maintenu entre deux limites (là des détections niveau haut et bas suffiraient) ?

Si personne ne surveille ces bassins il faudra sans doute prévoir des systèmes de sécurité, de signalisation de défauts et d'arrêt d'urgence. Voir aussi si des problèmes d'inondations ne porteraient pas
préjudices à de tierces personnes.
Le gestionnaire de l'installation serait responsable.

Il semble que votre projet sorte bien du domaine bricolage domestique et entre dans le domaine "professionnel" voire "industriel".

Cordialement, Martien-071

Bonjour Terrien !

La description de votre problème n'est pas très claire :

- Dans le titre : "Panne gyrophare portail Sentinel" je comprends que le signal lumineux de votre automatisme de portail ne fonctionne plus.
- Dans le texte : "J’ai un portail Sentinel qui ne fonctionne plus le gyrophare ne marche plus, lorsque j’utilise la télécommande rien ne se passe." là j'en déduis que l'automatisme ne fonctionne plus et que le signal lumineux ne s'allume plus non plus.

- "L’ampoule à l’air OK." ... ne s'agirait-il à nouveau que d'une panne du signal lumineux ?

- "Les cellules sont propres et le voyant a l’air OK.
J’ai changé la pile de la télécommande et réinitialise la télécommande toujours rien."

Ah non ! Il semble bien que l'ensemble de l'automate ne fonctionne plus.

Pourriez-vous s'il vous plaît décrire précisément le problème en précisant le modèle d'automate ?
Merci

Cordialement, Martien-071

Bonjour Terrien !

Seriez-vous dans le domaine de la lutherie ?

Les fiches et prises concernant cet appareil appartiennent à un autre temps ... les normes sont passées par là.
Ces connexions étaient utilisées dans le domaine électroménager pour les gaufriers, bouilloire électrique, fer à repasser, ...

La recherche fiche pour gaufrier sur google donne ceci :
https://www.google.com/search?q=fiche+pour+gaufrier&client=firefox-b&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ved=0ahUKEwig-7ezkpL9AhWrWaQEHbOHARkQ_AUIBigB&biw=1264&bih=677

La fiche à 2 broches avec sa partie en porcelaine est démontable, vous pourriez remplacer le câble en prenant soin de connecter la terre (fil vert/jaune) aux deux pattes métalliques de cette fiche.
Choisir une section adéquate par rapport à la puissance de l'appareil bien sûr.
La section du câble de la photo me semble trop faible.

Cordialement, Martien-071

Bonjour Terrien !

Avec une horloge Schneider 16654, pour votre application (chauffe-eau) ne vous en déplaise le contacteur est indispensable !

Je suppose que votre chauffe-eau a une puissance de plus de 1000 W, non ?

Le contact de l'horloge ne peut commuter que des charges de maximum 1000 W (en résistif) voir la documentation jointe.
Le "CA" signifie "circa" = environ. ~1000 W sous 230 V => 4.35 A

De nombreux schémas d'horloge + contacteur sont disponibles sur le forum.

Cordialement,
Martien-071

ih ihp ita 16654.pdf

Bonjour Terrien !
Je ne prétends pas répondre entièrement à votre question, d'autres contributeurs le feront certainement.

"Process industriel"
- J'en déduis que l'alimentation électrique se fait en triphasé (la racine carrée de 3 évoquée plus loin le confirme) il faudra donc mesurer/calculer les puissances sur les 3 phases.
- On est en présence de machines électriques (moteurs, ...) => il y aura un caractère inductif / capacitif donc il faudra aussi calculer les puissances actives et réactives.

La formule que vous donnez : P = U x I (écrite de cette façon pour le courant continu) pour l'alternatif devient :
Puissance apparente = S = U x I exprimée en kVA

Vous devrez certainement aussi calculer
les puissances actives : P = U x I x cos (phi) exprimée en W
et
les puissances réactives : Q = U x I x sin (phi) exprimée en Var
où phi est l'angle de déphasage en régime sinusoïdal entre tension et courant et donc entre puissance apparente (S) et puissance active (P).

Le copain Pythagore est passé par là et S = racine carrée de la somme de P élevé au carré et de Q élevé au carré.

En alimentation triphasé, les formules seront complétées par une racine carrée de 3 :
P = (racine carrée de 3) x U x I x cos(phi)
S = (racine carrée de 3) x U x I
Q = (racine carrée de 3) x U x I x sin(phi)

Cordialement,
Martien-071

Bonjour les Terriens !

Comme 1Insp l'a évoqué je pense qu'il s'agit d'un poste à souder MONOphasé prévu pour fonctionner en 220 / 230V ou en 380 / 400V selon les disponibilité de réseau et la puissance désirée. le 19.16 pourrait faire référence à l'intensité max : 190 A en 380 / 400V ou 160 A en 220 / 230 V ( à vérifier ).

La fiche triphasé et le fait que le commutateur ne peut pas être placé en position 220 V semblent aller aussi dans ce sens. Le poste était branché de façon à obtenir à pouvoir utiliser l'intensité maximale.
=> alimentation en 380 / 400 V entre 2 phases.
Pour bloquer une position du commutateur il peut y avoir un ergot vissé. ( voir image )

Ces postes sont en général destiné à une utilisation "domestique" et fonctionne sans problème sur une ligne domestique 230V protégée par un disjoncteur de 16A.

Citation :
un tableau pour les APM en fonction du diamètre de la baguette

Sur ce tableau ou à proximité devraient se trouver des indications électriques comme U0 = ... V qui correspond à la tension de sortie à vide ( normalement < 50V car utilisation avec électrodes rutiles ), I1 qui correspond à l'intensité nominale du primaire du poste ( intensité sous 230 / 400V ), I2 qui correspond à l'intensité du secondaire => intensité pour le soudage.

Le facteur de marche exprimé en % devrait être indiqué. Celui-ci est calculé pour une utilisation soudage/pause de 10 minutes.
L'intensité indiquée à 100% de facteur de marche correspond à l'intensité maximale que le poste délivre en continu, sans pauses (à température ambiante de 40°C max.).

Un facteur de marche de 100A à 60% signifie que sur un cycle de fonctionnement de 10 minutes, le poste à souder fournira un courant de soudage de 100A durant 6 minutes sans échauffement préjudiciable à son bon fonctionnement. (à température ambiante de 40°C max.).
=> on soude pendant maximum 6 minutes et on laisse refroidir l'appareil pendant minimum 4 minutes.
Pour souder en continu avec des électrodes de 2,5 => >75A à 100%, 3,2 => >110A à 100% , 4 => 150A à 100 %.

Cordialement, Martien-071

Bonjour les Terriens !

A cette heure Mathieu76 n'a pas (encore) donné de plus amples informations.

Citation :
Après la visite dans notre établissement de Veritas, il est demandé de "justifier à l'aide d'une note de calcul l'emploi d'un disjoncteur non différentiel".

Je m'interroge ...
- Il est fait mention d'un "établissement" s'agirait-il d'une installation de type "industrielle" et non domestique ?

- "justifier à l'aide d'une note de calcul l'emploi d'un disjoncteur non différentiel".
Serait-on en présence d'un régime de neutre IT et il faudrait calculer les courants de défaut ?

Peut-être ne saura t'on jamais ...

Cordialement, Martien-071

Bonsoir les Terriens !
Je suis fatigué et ne demande qu'à aller voir Morphée ...

Citation :
Oh, et la chute de tension ne créera pas de défaut d'isolement, mais fera chauffer les appareils branchés au bout, car qui dit moins de tension dit plus d'ampères

Je ne voulais pas laisser passer ça ...

Quelle horreur !
La seule chose qui risque de chauffer c'est le câble qui puisqu'il y a chute de tension présente une différence de potentiel entre ses extrémités et qu'il est parcouru par un courant. P = R (câble) x I2

Le récepteur sous-alimenté en tension ne se verra pas traversé par une intensité plus grande !
On considère que la résistance ou impédance du récepteur est fixe.
=> loi d'Ohm : U = R x I
Si R est constant, si U diminue ... I diminue => "Moins de tension, moins d'ampères".

P = U x I = R x I2 comme U et I diminue ... P diminue lui aussi.

Cordialement,
Martien-071

Bonjour les Terriens !
Brabinette désire une double commande, une à chaque étage.

Il faut pour faire simple envisager l'utilisation de contacteur avec verrouillages électriques et mécaniques ( au moins 1 pour la montée et 1 pour la descente.)
En effet on peut imaginer qu'il y ait une personne à chaque étage : une pour charger, l'autre pour réceptionner.
Il ne faudrait pas que par mégarde l'un veuille enclencher la montée et l'autre la descente simultanément !
Ceci créerait un court-circuit !
De plus la commande de ce palan comporte un bouton coup de poing d'arrêt d'urgence. Cet arrêt d'urgence doit être présent au niveau des 2 commandes.

La transformation ne sera pas aussi simple que d'ajouter 2 poussoirs...

Cordialement.
Martien-071

Bonjour Terrien !

Avis d'un martien radioamateur jadis fort actif et aujourd'hui quasi DCD, d'autres contributeurs complèteront.
Oui il est pertinent de mettre le mat à la terre mais en respectant quelques règles :

(Pour les mats antennes d'émission-réception, on les reliait à la terre via un éclateur).
Le câble de terre doit
- être raccordé à un système de piquet indépendant du système de terre de l'habitation et éloigné de celui-ci *1
- avoir une section de câble suffisante
- doit passer par l'extérieur de l'habitation, loin d'autres câbles loin des ouvertures ( fenêtres, portes, ... ) *2
- doit être posé sur des matériaux non combustibles,*2
... voir les prescription pour paratonnerre exemple ici : https://www.ingesco.com/fr/noticias/installation-dun-paratonnerre

* 1 éviter que la très haute tension ne soit distribuée dans l'installation domestique.
* 2 en cas de frappe par la foudre, le câble risque d'être détruit ou au moins échauffer et ne doit pas mettre le feu à l'habitation.

Cordialement, Martien-071

Bonjour les Terriens !

Peut-être que je me trompe ... en attente de validation.

Désolé mais n'habitant pas votre région et étant donné (mon origine) je m'emberlificote avec les règles ... amont ... aval
Ne serait-il pas plus simple de dire : "l'intensité que doit supporter l'interrupteur différentiel doit être au moins égale au calibre du disjoncteur qui le précède." ?

Dans le même ordre d'idée pour les disjoncteurs : "sur une ligne le calibre d'un disjoncteur doit être inférieur ou égal à celui qui le précède."
Bien entendu il faut que les câbles des lignes soient correctement dimensionnés.

Cordialement, Martien-071

Bonjour Terrien !

Ce que je vois et déduis :

Vous installez une motorisation pour portail sans cellules, commandée uniquement par télécommande et comportant un signal lumineux indiquant le mouvement.
Le câblage est minimal.

Sur la photo, on ne voit pas si vous avez bien placé un pont sur les bornes STOP (considéré comme un arrêt d'urgence celui-ci nécessite un contact NF (normalement fermé).
L'ouverture de ce contact provoque un arrêt total.

Cordialement, Martien-071

Bonjour Terrien !

D'autres contributeurs complèteront et répondront précisément à votre question.

Je voudrais attirer l'attention sur le groupe électrogène :
- Vous ne précisez pas si le groupe est monophasé ou triphasé. La puissance donnée est la puissance totale de l'alternateur => répartition sur les différentes phases.
- La puissance de 8000 W est la puissance MAX que peut délivrer l'alternateur soit la puissance en crête pendant quelques instants. Si le groupe est monophasé cela donne 34,78 A sous 230 V
- La puissance nominale est de 7500 W. Si l'alternateur est monophasé cela donne 32,6 A sous 230 V

Citation :
le total d'ampérage à sauvegarder en cas de coupure dépasse les 40A

Aie "ampérage" le mot que l'on n'aime pas en électricité ... on lui préfère de loin "intensité" ou "courant".

Personnellement pour sa santé, je protègerais le groupe à sa sortie avec un disjoncteur correspondant à sa puissance nominale.
( je n'ai pas trop confiance dans les disjoncteurs utilisés et installés par les constructeurs de ces engins.)
Ainsi en cas de surcharge le groupe est découplé de l'installation avant de se manifester sous la forme de flammes et fumées.

Cordialement, Martien-071
product 1929.pdf
product 215.pdf

Bonjour les Terriens !

Citation :
Il est vrai que les appareils de mesure analogiques sont désormais des appareils de collection. Hélas car il n'y avait rien de tel pour apprendre à lire les cadrans en réfléchissant.

Pour la première phrase ... dommage !
Pour la deuxième ... Ouiiiiii !

Parenthèse d'un martien nostalgique et ... rétrograde ( ??? ) Plaidoyer pour les aiguilles ou grand délire.

Malgré le caractère obsolescent de ces appareils, je les apprécie depuis toujours ... et les utilise encore très fréquemment !

Ils ont des avantages et des inconvénients.

Un galvanomètre est un appareil de précision et est fragile, l'envoi brutal de l'aiguille à butée parce que l'on n'a pas choisi le bon calibre peut être destructif.

L'inconvénient pour certaines mesures (en voltmètre notamment) est leur impédance d'entrée qui lors de mesures peut perturber le circuit et donner de "fausses mesures" (la valeur lue est vraie mais pas la même que sans l'appareil débranché). Cet inconvénient peut devenir un avantage voir ci-dessous "tensions induites".

Comme l'a évoqué GL ci-dessus il faut lire et réfléchir* ... pour une plage de valeur inconnue commencer par le calibre le plus élevé, être conscient de l'impact de l'introduction d'un appareil de mesure dans le circuit, lire la valeur sur l'échelle adéquate ... Là aussi 4,5 kV peuvent être lus comme la résistance de la bobine d'une électrovanne ! ou pourquoi pas une résistance de 6 dB ? Réfléchir, connaître les unités ...

* Le fait de réfléchir est-il réellement un inconvénient ?

Autre inconvénient et encore ... la précision de lecture. Là aussi ... connaître son appareil : le galvanomètre est-il prévu pour une position horizontale ou verticale ? Le miroir anti-parallaxe permet d'avoir une vision bien perpendiculaire de l'aiguille.
J'ai ici un multimètre à lecture analogique (aiguille) avec pour les calibres DC un système de soustraction de tension qui permet d'afficher le 0,01 V. ( 10 mV )

Parmi tous les avantages que je leur trouve ...

- En général ils fonctionnent SANS alimentation externe ( du moins en voltmètre et ampèremètre ).
Pas besoin de piles, pas de pile épuisée lorsque l'on désire mesurer quelque chose ... pas de pile qui "coule", ...
Pour un usage de bricoleur du dimanche, c'est une très bonne solution.

- Étant donné leur impédance d'entrée plus faible que les appareils numériques on élimine pas mal de problèmes de "tensions induites".
- Lorsqu'une tension/courant n'est pas stable, on peut observer un battement et en déduire les valeurs mini et maxi. Un galvanomètre peut être plus réactif ( plus rapide ) qu'une mesure électronique (où il y a échantillonnage puis calcul de la moyenne avant l'affichage)
Un battement su un appareil numérique se traduit soit dans le meilleur des cas par un défilement de chiffres ou l'affichage d'une valeur ... qui se peut être une moyenne. Des barregraphes ont été prévus mais ... bof !
- Paresse du cerveau ... un affichage en chiffres il faut lire et interpréter ce que l'on lit.
Avec une aiguille, il est facile de positionner des repères pour des valeurs mini, maxi autorisées ou la valeur typique attendue. Vous vous souvenez l'indicateur de pile avec ses zones rouges parfois jaunes et vertes : mauvais, tangent, bon. Un coup d’œil et c'est fait !
Avec le temps et l'habitude ... pour des mesures régulières on a associé l'angle approximatif que fait l'aiguille avec la valeur mesurée (compteur de vitesse automobile, compte-tours, jauge de température, de carburant ...).
En automobile, sur une jauge de température à proximité de la position médiane = moteur à température, en dessous trop froid, au dessus trop chaud ... plus facile à interpréter que 60°, 90°, 100°, 120° ... non ?

En industrie on aime encore les galvanomètres 1/4 tour pour les indications de tension et intensité. Normalement le calibre choisi permet l'affichage de la grandeur mesurée dans le dernier quart de la course de l'aiguille ( précision ). Un coup d'oeil permet de constater une mesure située dans la plage satisfaisante.

Je garde précieusement mes 6 appareils analogiques dont mes 2 Avomètres !

Dans ce délire, je n'ai pas voulu dire que je dénigrais les appareils numérique, j'en possède aussi et les utilise très fréquemment même quotidiennement. (1 Fluke 75, 4 Fluke 77, 1 Fluke 177 et 1 Fluke 83 III)

Cordialement.
Martien-071

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Bonjour Terrien !

Nulle envie ni intention de marcher sur les plates bandes de GL ...

GL a publié le mode d'emploi de cet appareil : Schéma Multimètre Metrix MX 430
Celui-ci contient le schéma.
A la page 11 de celui-ci est expliquée la fonction ohmmètre.

Je ne connais pas cet appareil et n'en ai pas encore rencontré mais je comprends que sur les 2 positions (50 et 500) l'aiguille dévie au maximum (butée) lorsque aucune résistance n'est connectée aux pointes de touche.
Avez-vous essayé de mesurer une résistance ?
Avez-vous croisé les pointes de touche afin de vérifier le 0

Cordialement, Martien-071

Bonjour Terrien Bob !

Il n'est pas nécessaire de "shunter" quoi que ce soit, il suffit de changer le paramètre H et le positionner en "0".

Cordialement, Martien-071

Bonjour Terrien !

Comme l'a écrit GL* les cellules sont des éléments de sécurité d'un portail (et ce même si bien souvent elles sont proposées comme "option"). Il est très vivement déconseillé de les désactiver .

* Et Bob pendant que je rédige cette réponse.
La question est : "Pourquoi vouloir désactiver les cellules ? "

Est-ce pour test, pour déterminer une panne ? ou comme temporairement en attendant de remplacer les cellules ? OK on peut admettre ... mais le remplacement doit se faire très rapidement.
Pas de "provisoire" à caractère définitif.

Est-ce parce que ... ces cellules "cassent les pieds" ? NON Sécurité avant tout => on laisse les cellules jouer leur rôle.
Il est dommage que vous n'ayez pas donné la marque et type d'automate ...

Bref il s'agit d'un automate Powertech Série PL (300, 400, 500, 800 ?) pour portail coulissant.

S'agissant d'un modèle coulissant les cellules ont une grande importance au niveau sécurité.
Lorsqu'il s'agit de vantaux il est en général possible de voir le mouvement : on voit les portes se fermer.
Lors d'un déplacement latéral du portal, en voiture notamment, dans une allée, on regarde plus devant ou derrière soi via les rétroviseurs que latéralement... et c'est de là que vient le portail !

Sans rien débrancher, dans les paramètres de l'automate il est possible de désactiver les cellules : paramètre H : H-0 désactivées, H-1 activées.
Documentation jointe.

Cordialement, Martien-071
Portail coulissant PL800

Bonjour Terrien !

Le schéma ci-dessous peut peut-être vous aider ... mais pour différencier les 2 fils marron en 1,5mm² ...
c'est un peu la purée (de marrons )
Il faudra chercher.

Cordialement.
Martien-071

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Bonjour les Terriens !

La marque est bien Thermogène et le modèle TMG.
Le site internet www.thermogene.fr n'existe apparemment plus ... dommage.
Peut-être répondra t'on au téléphone (voir photo).

Je crains que la société ait clôturé ses activités : https://www.societe.com/etablissement/conseil-habitat-services-51469100500029.html

Cordialement,
Martien-071

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Re-bonjour Terrien !

La photo vient d'arriver ...

Il semble qu'il s'agisse d'un thermostat "classique".
Le point rouge correspondrait à la "température confort" soit ~20°C.
En dessous du point rouge ... plus froid, au dessus ... plus chaud.

Cordialement, Martien-071

Bonjour et bonne année pleine de santé Terrien !

Avez-vous pensé à consulter le site internet de Rothelec et notamment cette page ?
https://www.rothelec.fr/quel-radiateur-choisir/radiateur-a-inertie-mode-d-emploi
Dans le bas de la page déroulante de droite, il vous y est proposé de les contacter par

- téléphone au 03 88 07 88 88
- email : contact@rothelec.fr

Cordialement, Martien-071

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Bonjour les Terriens !

Quelques informations ... Ceci ne résoudra pas le problème mais peut aider à comprendre.

Le système CPL Courant Porteur sur Ligne est utilisé depuis ... bien longtemps sur les réseaux électriques notamment le Pulsadis avec sa fréquence de 175 Hz permettant le changement de tarif, la commande de l'éclairage public, ...

En réseau informatique, le principe est le même mais une autre plage de fréquence porteuse a été choisie : de +/- 1,6 MHz à 30 MHz. Les fréquences sont beaucoup plus hautes que le 175 Hz et l'amplitude assez faible pour limiter la portée des signaux et rester dans l'habitat. ( le signal CPL ne devrait pas "traverser" le compteur et quitter le bâtiment. Si malgré tout 'il le fait la portée sera fort réduite)

Attention si l'alimentation électrique du bâtiment se fait en triphasé ! Il faut que tous les appareils CPL soient reliés à la même phase ! Le signal ne passe pas d'une phase à l'autre.
Pour les réseaux triphasés où on veut néanmoins placer des CPL sur des phases différentes il existe des petits modules à placer dans les coffrets électriques ( 3 condensateurs ) qui permettent aux signaux CPL de transiter d'une phase à l'autre. Il sont appelés "coupleur de phases".

Actuellement, nous utilisons toutes sortes d'appareils électriques. Parmi ceux-ci il y en a énormément qui disposent d'une alimentation basse tension à découpage* sur lesquels le constructeur installe des filtres pour éviter de polluer électriquement le secteur.Ils sont placés en parallèle sur l'alimentation secteur.
Ces filtres atténuent fortement les fréquences parasites générées par les hacheurs des alimentations électroniques ( hautes fréquences ) mais ils ne ciblent pas précisément la plage de fréquence, ce sont ce que l'on appelle des passe-bas, c'est à dire qu'ils coupent / atténuent toutes les fréquences à partir d'une valeur déterminée.

Ex : une alimentation à découpage dont l'oscillateur fonctionne à 40 KHz ... le filtre sera calculé pour avoir une atténuation maximale à 40 KHz donc il va commencer à avoir une action en dessous de cette fréquence et aura une action sur toutes les fréquences supérieures à 40 KHz ... le CPL utilise des fréquences supérieures ( 1,6 MHz - 30 MHz ) => celles-ci seront atténuées
Et quand il y en a des dizaines d'appareils équipés de ces filtres en parallèle l'atténuation peut être colossale.

* Alimentation à découpage ?
Les chargeurs de téléphone portables.
Le chargeur du PC portable, de la tablette,
Les blocs d'alimentations secteurs actuels en général.
L'alimentation de la tour PC,
L'alimentation de l'imprimante,
L'alimentation des écrans, de la box, du décodeur, de la console bazar-machin-chose, ...
Les convertisseurs pour éclairage basse tension ( Led ou Halogène ) Ces choses que l'on appelle à tort "transformateurs électroniques".
L'alimentation du four à micro-ondes,
L'alimentation du lave vaisselle, du lave-linge, ... Voir les interventions de Mamigas sur le forum électroménager...

Bref il y en à la pelle, donc pleins de filtres mis en parallèle et ce bien souvent que l'appareil soit en fonction ou pas ! Le filtre agit dès que la fiche est enfoncée dans la prise.

Cordialement, Martien-071

Bonjour et bonne année pleine de santé Terrien !

Début de réponse que d'autres contributeurs complèteront.

Je suppose que ce n'est pas vous qui avez fait le montage mais un occupant précédent.
Je ne connais pas non plus l'installation dont vous disposez.

D'après les connexions sur les contacteurs, on pourrait déduire qu'ils commandent 4 ou 8 volets ?
Il semble que les bornes A1 et A2 des 2 contacteurs sont reliées entre elles => plutôt 8 volets.
L'action sur le bouton commande t'elle bien les contacteurs ?

Le bouton sert-il en principe à fermer les volets, à les ouvrir ou à effectuer les 2 mouvements ?
Peut-être le bouton ne sert-il pas à fermer les volets mais à les ouvrir ! Avez-vous essayé ?

Cordialement, Martien-071

Bonjour Terrien !

Vous ne précisez pas les marques et types de l'armoire de commande que vous désirez utiliser.
Les caractéristiques de la serrure / gâche électrique seraient intéressantes à connaitre :
- Courant alternatif ou continu.
- Intensité électrique.
- Gâche à sécurité positive ou négative, (positive : la gâche s'ouvre par absence de tension, négative elle s'ouvre lorsqu'une tension lui est appliquée) - ...

Certains automatismes permettent l'utilisation de serrures / gâches 24V et 12V (jumper ou dipswitch).

S'il s'agit d'une gâche à sécurité négative et comme le fonctionnement de celle-ci est en général très court, une simple chute de tension sur une résistance pourrait être une solution. Lors du fonctionnement elle va chauffer.
En attente de plus amples informations.

Cordialement, Martien-071

Bonjour les Terriens !

D'après ce que je comprends et déduis ...
Le système de chauffage comporte plusieurs thermostats dont un que Clément a tenté de remplacer.
Chaque thermostat commande une/des vannes électriques de zones.

Aucun thermostat ne fonctionne => je pense à un problème d'alimentation électrique de ceux-ci.
Lors du changement, une erreur de câblage a pu générer un court-circuit. ("Coup de biscuit" comme mon cousin appelle cela.)

La photo du câblage du thermostat montre un câble type LIYCY (fils numérotés).
Sur aucune des autres photos ce câble n'est visible ... où est-il raccordé ? C'est peut-être à cet endroit que se trouve un dispositif de protection ... fusible ?
Le câble serait-il raccordé au niveau du boitier ALTECH placé à proximité des vannes commandées ?

Cordialement, Martien-071

Bonjour les Terriens !
Juste 2 photos et un document concernant les télérupteurs Legrand ... si cela peut aider.

Cordialement, Martien-071

Pour agrandir les images, cliquez dessus.


leg004163 fiche 1.pdf

Bonjour les Terriens !

C'est vrai qu'avec le couvercle tout est différent !

Bob doit être sur le bon chemin ... ce que j'ai pris pour des restes de fils arrachés est sans doute le composant sensible à la température.
Pour une sonde de température je trouve que la section des câbles (rouge et bleu) est conséquente.

Cordialement.
Martien-071

Bonjour Terrien !

Suivant l'emplacement ... je me demande s'il ne s'agit pas d'un morceau de support de luminaire démonté à la va-vite !

Après avoir coupé le courant (au général c'est plus prudent) il conviendrait de dégager les morceaux de fils restant dans le domino.
Une mesure au multimètre sur les bornes du domino pour vérifier la présence ou non de 230V - penser à manipuler les différents interrupteurs.
Brancher une lampe témoin et chercher l'interrupteur qui la commande.

Mais comme c'est une maison de vacances, je suppose que vous n'en n'êtes pas le propriétaire donc vous ne touchez à rien mais vous faites en sorte que personne n'y touche non plus.
Le domino ne devrait pas être accessible sans enlever/démonter un cache.
Un petit mot au propriétaire peut être utile ou une remarque dans l'état des lieux s'il y en a un.

Cordialement, Martien-071

Oups ... oublié un détail.

Sur la deuxième photo les câbles sont connectés entre eux (utilisation en allonge), ce n'est pas la bonne configuration !
La fiche de la lampe se branche à l'endroit où il est indiqué 6V 15W.
L'autre câble est celui pour l'arrivée du secteur donc le connecteur femelle vient se placer sur les deux broches du boitier et le connecteur mâle à la prise de courant.

Cordialement.
Martien-071

Bonjour Terrien !
Bel objet ! Je me serais aussi laissé tenté !

Premiers éléments de réponse :
Je pense qu'il s'agit d'une lampe/projecteur de laboratoire (illustration de lampe similaire du fabricant Nachet jointe).

L'ampoule présente un filament fait de fil de fort diamètre => ampoule basse tension.
Une indication de la tension et de la puissance de l'ampoule est peut-être disponible sur le culot.

Avec cette ampoule le "transformateur"* est absolument nécessaire : celui-ci permet d'abaisser la tension secteur pour alimenter l'ampoule (le pontet sera à placer en position 220V par prudence et pour éviter des mauvaises surprises par contact il serait bon de placer des fiches isolantes dans les orifices inutilisés car ceux-ci sont sous tension) et dispose d'un réglage de la tension de sortie (bouton rotatif).
Il faudrait actionner le bouton pour constater s'il s'agit d'un système de potentiomètre / rhéostat (résistance variable) ou d'un système à plots.

* "transformateur" car il s'agit en fait d'une alimentation à tension variable destinée à alimenter la lampe.

D'après les indications l'alimentation peut délivrer une tension de 6V et une puissance de 15W.

Un contrôle à l'ohmmètre des enroulements du transformateur peut donner une idée de l'état des bobinages mais ne donnera pas d'information sur la qualité des isolants.
Peut-être s'agit-il d'un autotransformateur ? (A l'époque on se souciait assez peu de l'isolation galvanique et même de l'isolation en général : bornes accessibles aux petits doigts boudinés de l'opérateur).

La filerie est à revoir, l'isolant a vécu.

Sur la photo 2 on voit qu'il manque un élément en avant de la douille ... un réflecteur ? un système à découpe ?
Cordialement.
Martien-071

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Bonjour les Terriens !

... et c'est là que je me rends compte que j'ai oublié de joindre l'illustration ...
La voici !
Cordialement, Martien-071

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Bonjour Terrienne / Terrien !
J'ai bien une idée ...

Se procurer un gobelet du diamètre et de la couleur de votre choix (comme c'est la période de Noël cela doit être disponible en doré) y percer un trou pour y installer un serre-fil pour douille (voir illustration) avec son écrou.
S'il s'agit d'un gobelet en métal, il conviendra de le relier à la terre, en matière plastique rien à faire.

Pour le placement : Enfiler le gobelet customisé sur le fil du luminaire et arrivé au contact du plafond serrer le serre-fil.
Terminé, fini sans colle ni clou ni vis.

Cordialement, Martien-071

Bonjour les Terriens !

Juste un petit retour d'expérience ...
Il arrive que des disjoncteurs semblent ne pas avoir déclenché et pourtant ils le sont !

J'ai eu à plusieurs reprises le cas où le disjoncteur a bien déclenché mais son levier est resté dans la position "enclenché".
Donc en regardant tout a l'air normal ...

Pour vérifier, je propose de déclencher manuellement le disjoncteur et le réenclencher.
Sur un appareil déclenché, lorsque l'on abaisse le levier on ne ressent aucune action mécanique et cela ne fait pas de bruit.

Cordialement, Martien-071

Bonjour les Terriens !

Petit complément d'information (grain de NaCL ...) :

L'unité de puissance est le W.
Wc est de plus en plus employé dans le domaine des panneaux solaires dont la puissance délivrée dépend de l'éclairement, il désigne la puissance crête => Wc = Watts crête.

Le câblage des panneaux se fait rarement par mise en parallèle de ceux-ci mais plutôt en série.
Pour une puissance égale on travaille ainsi avec des courants ( intensités ) plus faibles permettant d'utiliser des câbles de moindre section et des tensions plus élevées permettant de limiter les pertes dans les câbles. Il y a aussi moins de risque d'échauffement des connexions.
montage parallèle : 1600W en 48V => 33,33 A
montage série : 1600W en 4 x 48V = 192V => 8,33 A
Les onduleurs fixes pour panneaux solaires acceptent généralement une tension maximale en entrée de l'ordre de 500V DC.

Cordialement, Martien-071

Bonjour Terrien Olivier !
D'autres contributeurs complèteront mes délires ...

Je ne fais que passer déposer la documentions concernant vos deux appareils.
Les 2 appareils ne sont vraiment pas similaires ... pour installer le Legrand il y aura des modifications au câblage ! Seront-elles possibles ?

Cordialement.
Martien-071

rv5 rv10 rv15 variateurs ft13 fr.pdf
le08218ad.pdf

Bonjour les Terriens !

Compléments d'information sur le coffret mentionné (dommage que lelocky n'ait pas donné ces informations) :

- Il s'agit d'un coffret de distribution électrique mobile Tri 400V+N => monophasé 230V utilisé pour des activités photographique / vidéo. Le coffret a peut-être été conçu pour cette application bien particulière.

https://www.direct-digital.com/fr-fr/louer/63a-3o-mcb3x63a-singlephase-rccb?pos=16

Le coffret comporte un test de présence de terre et un système de protection.
De quelle protection s'agit-il ???
Protection différentielle qui commande le déclenchement d'un(des) disjoncteur(s) monophasé(s) ?
Contrôle permanent d'isolement ? pour un fonctionnement en régime de neutre IT ?
Protection contre les surcharges ?
Cordialement, Martien-071

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Bonjour les Terriens !

J'ai écouté la vidéo ( ). Fort sensible aux hautes fréquences du spectre audio, j'y perçoit en effet un bruit strident qui me fait penser au bruit que certaines alimentation à découpage ou convertisseurs produisent.
Ne serait-ce pas un bloc d'alimentation secteur, une alimentation de pc portable, un convertisseur pour éclairage Led qui est la source de ce bruit ?

Petite astuce pour déterminer la provenance d'un bruit : utiliser un morceau de tuyau que l'on place au niveau du pavillon d'une oreille et qui permet d'avoir une ouïe plus directive ... un stéthoscope "maison".

Si le problème est d'origine électrique, il est possible de couper les différents circuits électrique et de traquer la disparition du bruit. Une fois le circuit détecté la recherche du coupable devrait être plus simple.

Cordialement, Martien-071

Bonjour Terrien Didier !

Schlum désigne certainement Schlumberger *

La documentation ci-jointe devrait vous être utile, elle concerne à la fois la conception de l'appareil de comptage ainsi que son utilisation. P11 du pdf, un schéma de câblage est disponible suivant le modèle (mono ou triphasé).

* (Personnellement j'en ai marre de tous ces diminutifs et abréviations qui viennent "polluer" la langue de Molière ... on voit tellement souvent des choses comme : " J'ai un ACBT que le TTP a validé mais j'ai un E12 sur le QUA123 " ... du Charabia ! J'aime la précision et la clarté. Ce forum accueille tout le monde et j'estime que les informations qui y transitent doivent être accessible au plus grand nombre).

Cordialement.
Martien-071

a10c2.pdf

Bonjour Terrienne !

Citation :
je précise que je suis une fille donc pardon pour la naïveté de mes questions.

Il y a des questions bien plus ... hum hum

Citation :
J’ai pris la photo des fils sur les bornes avant de l’enlever.

Vous n'êtes donc pas "blonde" ... Plus que souvent rien n'a été photographié, identifié ou relevé ! Ici bien !

Citation :
Si un homme fort costaud, gentil courtois et bienveillant, peut m’aider, ce serait vraiment formidable.

Oups ... un ET bedonnant pas trop méchant ça peut convenir aussi ?

Si mes informations sur les modèles que vous citez vous désirez remplacer un interphone ou plutôt un visiophone par un interphone simple dit "universel". Est-ce exact ?
La compatibilité entre les 2 systèmes n'est pas certaine du tout !

Pourriez-vous donner plus d'informations sur le modèle à remplacer ?
Merci.
Martien-071

Bonjour Terrien !

C'est bizarre ... j'ai l'impression qu'il s'agit d'une fiche d'alimentation basse tension dan laquelle est restée une pièce : une tige. Celle-ci proviendrait-elle du connecteur mâle ? Est-il possible de l'extraire ?

Cordialement.
Martien-071

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Bonjour Terrien !

N'habitant pas dans vos contrées et n'étant pas familiarisé avec les règlements locaux au niveau électrique, je ne vais pas répondre à votre question, je suis certain que d'autres contributeurs le feront.

Juste quelques considérations pratiques qui à mes yeux ont leur importance (penser à l'accès et l'éclairage) :

- Une armoire ou un tableau électrique doit/devrait se trouver dans un lieu le plus facilement accessible tout comme le disjoncteur général ( compteur ) et ce à tout moment. Une urgence peut survenir ...
Il ne s'agit pas de devoir s'habiller en spéléologue ou en déménageur pour avoir accès ! ( situations fréquemment vécues )

- Dans l'idéal le local où est situé l'armoire ou le tableau électrique doit être éclairé par la lumière naturelle.*
C'est beaucoup plus confortable lors d'un déclenchement ou de travaux sur le tableau en journée de ne pas devoir s'équiper d'une lampe torche ( d'ailleurs où est-elle celle-là ? )

- Il ne doit pas y avoir d'objets, de choses encombrantes en dessous du tableau de manière à ce qu'un adulte puisse s'approcher facilement. La discipline est à conserver même après l'installation bien entendu !
Situation vécue : tableau électrique fixé au mur avec un lave-linge posé au sol en dessous... Pas très facile pour accéder ... Déplacer le lave-linge pour réenclencher un disjoncteur ? Meuh non ... pas le moment => les deux jambes contre le lave-linge le dos un peu penché et enfin la main vers le tableau.

* Ici cela n'était pas possible (pas d'ouverture vers l'extérieur), j'ai alors placé un petit éclairage de secours au plafond au dessus du tableau et raccordé au circuit lumière du local contenant le tableau.
Je ne le regrette pas !

Cordialement, Martien-071

Bonjour Terrien !

Le câblage n'est a priori pas compliqué :
le contact NO du canal 1 (A3, A4) ou 2 (A5, A6) au choix à connecter aux bornes "OPEN" de l'automatisme.

MAIS ... ah oui ... il y a un "mais"...
Il faut alimenter le module récepteur avec une tension de 12 à 24 V ... qui n'est pas disponible sur l'automate ( pas de bornes délivrant cette tension.
La seule solution serait de placer une petite alimentation 12V pour le module récepteur.

Cordialement, Martien-071

Bonjour Terrien !

Quelques indications ...
L'électronique est sensible aux pics de tension. Beaucoup d'appareils électroménager ( Mamigas du forum electro vous le confirmera ) initialement prévus pour du 220V présentent des pannes dues à l'augmentation en 230V. (+/-10% en 220V : 208 V --- 242 V)*
Vos ampoules affichent 240V donc en principe la raison n'est pas là.

Citation :

Le compteur Linky n’a relevé aucune anomalie (apparemment un compteur Linky mémorise lorsque la tension baisse en dessous de 207 volts ou au-dessus de 253 V ce qui correspond à une variation de 10 % autour de 230 V).

Je ne connais pas le compteur Linky.
Oui d'accord, le compteur mémorise les valeurs mini et maxi de la tension qui vous est distribuée mais il n'enregistre certainement pas les pics de tension ! La tension instantanée au moment d'un pic peut monter très haut, plus de 300 V. ( raison pour laquelle certains composants -condensateurs à tension max de service de 275V tirent leur révérence )
Les pics viennent se "rajouter" à la sinusoïde de la tension secteur. La sinusoïde est hérissée de pics dont les plus dangereux sont ceux qui se produisent au minima et maxima de celle-ci => 230V + pic !

Une solution pour déceler les pics de tension est d'utiliser un oscillographe, un appareil capable d'enregistrer la forme de l'onde secteur suffisamment précisément pour voir les anomalies.
Nous vivons dans une société de (sur-)consommation et les fabricants calculent les frais de fabrication au plus juste ... souvent au détriment du choix et de la qualité des composants.
(Où est l'électronique d'antan où on calculait un circuit à 60-70% de la capacité des composants ...)
Fin des délires de Martien.

Cordialement, Martien-071

Bonjour les Terriens !

Au vu de la marque et des quelques photos bien incomplètes du compresseur, je pense qu'il s'agit d'un compresseur "industriel" ou médical : un compresseur de laboratoire, de dentiste, ... qui a la particularité de ne faire qu'un bruit très réduit.

Le compresseur est du même type que ceux des réfrigérateurs/congélateur. Il s'agit d'un moteur-compresseur enfermé dans une enceinte étanche. Il n'y a pas possibilité de modifier la tension de service du moteur.
Un témoin de niveau d'huile est présent et il est prévu de faire l'appoint.
La calotte du moteur-compresseur est équipée d'ailettes de refroidissement. Le prix de vente de ce genre de matériel est assez élevé et peut justifier l'utilisation d'un transformateur abaisseur 230 V => 115 V voire un autotransformateur.

Si vous utilisez un transformateur ou un autotransformateur, je vous suggère de remplacer la fiche du compresseur par un modèle différent de ceux utilisés pour le 230 V afin qu'une erreur de branchement ne puisse se produire.

Cordialement, Martien-071

Bonjour Terrien !

Votre explication quant à l'utilité, le fonctionnement et la conception n'est pas claire pour moi ...

Pourriez-vous fournir un schéma de l'installation ?
Des diodes qui "tiennent" une tension inverse de l'ordre de 60-70 V sont très courantes notamment dans les séries 1N40xx et 1N5xxx :

1N4002 tension inverse max 100 V
1N4003 ..................................... 200 V
1N4005 ..................................... 600 V
1N4006 ..................................... 800 V
1N4007 ..................................... 1000 V

Cordialement, Martien-071

Bonjour les Terriens !

Juste une petite remarque en passant ...

En Belgique l'utilisation de dominos (sucre) n'est autorisée par le R.G.I.E. ( Règlement Général pour les Iinstallations Eélectriques) équivalent belge à la norme NF 15-100 que pour le raccordement de luminaires ou comme terminaison à des fils non utilisés.
Aucune autre utilisation n'est permise.

Le domino (sucre) placé sur le fil de terre en bas du tableau devrait être remplacé par un "Wago" ou un connecteur "bouchon".

Cordialement, Martien-071