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Bonjour Bruno. Le plus simple est de contacter le service clients Delta-Dore. Vous aurez alors la voie à suivre pour le remplacement éventuel du boîtier défectueux.
Le gestionnaire en lui même délivre les tensions de commande fils pilote. Le driver ne peut être remplacé par un gestionnaire d'énergie. Les fonctions sont bien différenciées.
Le gestionnaire en lui même délivre les tensions de commande fils pilote. Le driver ne peut être remplacé par un gestionnaire d'énergie. Les fonctions sont bien différenciées.
27 octobre 2012 à 23:47

Bonjour Michoubidou.
La chasse au gaspillage d'énergie consiste à minimiser au plus les déperditions de l'habitat avec une isolation efficace et une manipulation raisonnée des thermostats.
Une manipulation très facile à effectuer pour illustrer le chapitre amélioration du facteur de puissance d'un récepteur inductif. Et il n'y a pas de miracle.
La chasse au gaspillage d'énergie consiste à minimiser au plus les déperditions de l'habitat avec une isolation efficace et une manipulation raisonnée des thermostats.
Une manipulation très facile à effectuer pour illustrer le chapitre amélioration du facteur de puissance d'un récepteur inductif. Et il n'y a pas de miracle.
27 octobre 2012 à 23:03

Bonjour Ibo. Juste un avis personnel. Dans ce cas, et en l'absence de solution simple, je ferais intervenir le SAV itinérant de la marque.
27 octobre 2012 à 09:04

Bonjour Emilion.
Vous ne dites pas sur quel support vous allez couler cette dalle. Vous trouverez aisément les proportions des composants sur le site Bricovidéo.
A suivre si vous apportez des précisions.
Vous ne dites pas sur quel support vous allez couler cette dalle. Vous trouverez aisément les proportions des composants sur le site Bricovidéo.
A suivre si vous apportez des précisions.
27 octobre 2012 à 08:59

Bonjour lgmfr. "...D’où vient le problème ?"" Vous seul pourrez résoudre le problème. Il y a un défaut d'isolement phase (ou neutre) terre (déclenchement d'un différentiel), ou court-circuit phase neutre (déclenchement d'une protection surintensité), l'une ou l'autre étant aléatoire. "tout" reste à définir.
Revoyez les liaisons que vous avez probablement effectuées. On suppose que la plaque est raccordée à une sortie de câble 32 A. En l'état, votre plaque est dangereuse.
Revoyez les liaisons que vous avez probablement effectuées. On suppose que la plaque est raccordée à une sortie de câble 32 A. En l'état, votre plaque est dangereuse.
27 octobre 2012 à 08:52

Bonjour Toula. "...comment faire pour démêler ce câble ? " Là est le problème. Peut-être faudra-t-il le couper et en mettre un neuf. Pour le dérouler, on pourrait essayer de faire tourner le moteur à l'envers. Mais il faut pour cela être sur place et voir comment la motorisation le permet. Si une société spécialisée a fait l'installation, autant lui demander d'intervenir.
Dans le cas contraire, en cas de blocage persistant, une pince coupante ou outil coupant adapté aura raison du câble.
Dans le cas contraire, en cas de blocage persistant, une pince coupante ou outil coupant adapté aura raison du câble.
27 octobre 2012 à 08:45

Réponse à la question de Vivi : oui, c'est normal.
Pour réponse 2 : Vivi n'a pas dit qu'il y avait du 230 V. Faites la recherche indiquée en réponse 1. On ne peut suggérer une erreur si le phénomène n'est pas compris. Et Vivi n'a pas fait d'erreur.
Il est très facile d'allumer un testeur sur un fil coupé. Voir toutes les questions du forum qui traitent ce sujet.
Pour réponse 2 : Vivi n'a pas dit qu'il y avait du 230 V. Faites la recherche indiquée en réponse 1. On ne peut suggérer une erreur si le phénomène n'est pas compris. Et Vivi n'a pas fait d'erreur.
Il est très facile d'allumer un testeur sur un fil coupé. Voir toutes les questions du forum qui traitent ce sujet.
26 octobre 2012 à 23:43

Bonjour Vivi. Faites une recherche dans le forum avec les mots tensions induites. Ce sujet est régulièrement traité depuis des années. Le testeur à lampe néon n'est pas l'ami du bricoleur. Il peut l'être pour un électricien familier de la théorie.
Ce que vous observez n'est pas du courant, mais de la tension ; et ce n'est pas du tout pareil.
Ce que vous observez n'est pas du courant, mais de la tension ; et ce n'est pas du tout pareil.
26 octobre 2012 à 17:25

Bonjour Tibo. Une photo aurait été bienvenue.
Peut-être pourriez vous trouver un mitigeur qui s'adapte à l'entraxe de l'actuel. Sinon, il faudra vous raccorder sur l'arrivée. Reste à savoir où elle est. Si vous n'avez jamais bricolé en plomberie, il vaut mieux faire intervenir quelqu'un d'expérience, d'autant plus que dans l'ancien, des surprises sont toujours possibles.
Peut-être pourriez vous trouver un mitigeur qui s'adapte à l'entraxe de l'actuel. Sinon, il faudra vous raccorder sur l'arrivée. Reste à savoir où elle est. Si vous n'avez jamais bricolé en plomberie, il vaut mieux faire intervenir quelqu'un d'expérience, d'autant plus que dans l'ancien, des surprises sont toujours possibles.
26 octobre 2012 à 10:53

Bonjour Petreto. Un problème identique affecte Jetj en question 1927 .
Dans votre cas, un traitement acoustique équivalent à celui mis en œuvre dans les studios d'enregistrement pourra résoudre le problème. Il s'agit de réaliser une surface totalement découplée mécaniquement du support en dur. On utilise, outre du bois comme lambourdes, des produits souples de bonne épaisseur pour poser les lambourdes (et c'est très cher au m²), on remplit toutes les cavités avec de la laine de verre. Bref, c'est un investissement de propriétaire et non de locataire. Des sociétés très spécialisées peuvent réaliser l'étude préalable et la pose dans les règles. Le système fini est très efficace. L'épaisseur finale n'est pas loin de 20 cm.
Mais outre le plancher, il faut également traiter les parois. En gros, il faut réaliser une boite dans la boite.
Juridiquement il y aurait peut-être quelque action à effectuer vis à vis des désagréments occasionnés par l'activité. Celle ci a-t-elle été prévue à l'origine de la construction ? La loi vis à vis des nuisances sonore est stricte. Vous pouvez vous référer aux textes existants.
Dans votre cas, un traitement acoustique équivalent à celui mis en œuvre dans les studios d'enregistrement pourra résoudre le problème. Il s'agit de réaliser une surface totalement découplée mécaniquement du support en dur. On utilise, outre du bois comme lambourdes, des produits souples de bonne épaisseur pour poser les lambourdes (et c'est très cher au m²), on remplit toutes les cavités avec de la laine de verre. Bref, c'est un investissement de propriétaire et non de locataire. Des sociétés très spécialisées peuvent réaliser l'étude préalable et la pose dans les règles. Le système fini est très efficace. L'épaisseur finale n'est pas loin de 20 cm.
Mais outre le plancher, il faut également traiter les parois. En gros, il faut réaliser une boite dans la boite.
Juridiquement il y aurait peut-être quelque action à effectuer vis à vis des désagréments occasionnés par l'activité. Celle ci a-t-elle été prévue à l'origine de la construction ? La loi vis à vis des nuisances sonore est stricte. Vous pouvez vous référer aux textes existants.
26 octobre 2012 à 09:29

Merci pour votre retour.
Ce ne sera pas simple. La pose d'un parquet flottant pourrait améliorer la situation. Mais il faudra utiliser une sous-couche isolante épaisse de qualité, pas de la mousse blanche de 1,5 mm de chez bricotruc.
On vous souhaite de pouvoir atténuer l'environnement sonore. C'est très vite invivable et vous et les vôtres peuvent en souffrir de façon importante. On sait ce que l'exposition de l'humain à du bruit permanent peut engendrer comme problèmes psychiques.
Un déménagement pour un logement de meilleure qualité pourrait être une solution. Facile à dire derrière l'écran. De toute façon, vous ne pouvez pas rester dans cette situation.
Ce ne sera pas simple. La pose d'un parquet flottant pourrait améliorer la situation. Mais il faudra utiliser une sous-couche isolante épaisse de qualité, pas de la mousse blanche de 1,5 mm de chez bricotruc.
On vous souhaite de pouvoir atténuer l'environnement sonore. C'est très vite invivable et vous et les vôtres peuvent en souffrir de façon importante. On sait ce que l'exposition de l'humain à du bruit permanent peut engendrer comme problèmes psychiques.
Un déménagement pour un logement de meilleure qualité pourrait être une solution. Facile à dire derrière l'écran. De toute façon, vous ne pouvez pas rester dans cette situation.
26 octobre 2012 à 09:12

Bonjour. On peut supposer que vous allez poser un revêtement de sol. Il suffit de bien nettoyer la surface actuelle en enlevant les écailles au couteau à mastic en acier dur. Ensuite, vous pouvez passer un papier abrasif de 40 pour que le produit adhère bien sur l'enduit ancien (cale à poncer ou ponceuse à bande - le pro ne passerait pas par cette phase). On dépoussière au maximum, puis on nettoie la surface avec un procédé humide. Une fois la surface bien sèche on applique le produit de ragréage en phase semi-liquide. S'il est auto-lissant ce peut être plus facile. On utilise une lisseuse. Il faut travailler vite, le produit durcit rapidement.
26 octobre 2012 à 08:59

Bonjour Nico en réponse 7. Quel que soit le bois que vous allez utiliser il faut qu'il soit sec. Le bois de scierie stocké depuis longtemps, donc sec, pourrait être utilisé. A vous de voir si vous voulez l'utiliser brut de sciage (avec aspect plus convenable pour le coffrage que pour la réalisation de meubles), ou raboté puis poncé, ou poncé grossier seulement.
Les planches de pin choisies par Marie on l'avantage d'être sèches et planes, avec un bel aspect.
Pour la mise aux dimensions prévues, une égoïne donne de meilleurs résultats qu une scie sauteuse. Une scie circulaire équipée de bonnes lames aussi. Pour la mise aux dimensions à 0,2 mm près on peut utiliser un lapidaire (l'investissement d'une vie pour un bricoleur régulier).
Les planches de pin choisies par Marie on l'avantage d'être sèches et planes, avec un bel aspect.
Pour la mise aux dimensions prévues, une égoïne donne de meilleurs résultats qu une scie sauteuse. Une scie circulaire équipée de bonnes lames aussi. Pour la mise aux dimensions à 0,2 mm près on peut utiliser un lapidaire (l'investissement d'une vie pour un bricoleur régulier).
26 octobre 2012 à 08:49

Bonjour Liam.
"...Grincement très faible à quasi inexistant" Ok, mais très faible. Il faudra peut-être remettre des vis. Si la jonction entre les planches au niveau des rainures/languettes est non jointive et dans le vide, il peut y avoir un couinement quand on marche dessus.
Sauf pour remettre de l'isolant sous le plancher s'il n'y en n'a pas, il vaut mieux éviter d'enlever le sol actuel en présence des cloisons, bien que ce soit faisable en s’arrêtant à la périphérie des cloisons (en visant bien le milieu des solives). C'est assez difficile, il faut une très bonne circulaire, une patience et une minutie infinies, et une motivation à toute épreuve.
On ne voit pas l'utilité de poser des lambourdes sur le sol actuel. Ce serait au détriment de la hauteur sous plafond de la mezzanine disponible.
Un parquet collé ou cloué de 23 mm représente un poids non négligeable que les solives actuelles doivent pouvoir supporter. Il semble que coller serait plus adapté. Mais 23 mm est peut-être trop luxueux et finalement inutile.
Parquet cloué (et dans l'agglo ou OSB, les clous rentrent mal) ou pseudo parquet clic posé flottant sur revêtement acoustique, il faut faire un choix. La seconde solution serait certainement moins chère et très satisfaisante, sachant que l'on trouve sur le marché des produits de qualité.
Mais on trouve également des produits chers, dont les lames sont incurvées quand on les sort de la boite. Et au montage, il peut y avoir des surprises. Voir sur le forum menuiserie :
Problème sol qui grince pas d'espace de dilatation
D'autres avis devraient vous être proposés, Marie n'est pas loin.
"...Grincement très faible à quasi inexistant" Ok, mais très faible. Il faudra peut-être remettre des vis. Si la jonction entre les planches au niveau des rainures/languettes est non jointive et dans le vide, il peut y avoir un couinement quand on marche dessus.
Sauf pour remettre de l'isolant sous le plancher s'il n'y en n'a pas, il vaut mieux éviter d'enlever le sol actuel en présence des cloisons, bien que ce soit faisable en s’arrêtant à la périphérie des cloisons (en visant bien le milieu des solives). C'est assez difficile, il faut une très bonne circulaire, une patience et une minutie infinies, et une motivation à toute épreuve.
On ne voit pas l'utilité de poser des lambourdes sur le sol actuel. Ce serait au détriment de la hauteur sous plafond de la mezzanine disponible.
Un parquet collé ou cloué de 23 mm représente un poids non négligeable que les solives actuelles doivent pouvoir supporter. Il semble que coller serait plus adapté. Mais 23 mm est peut-être trop luxueux et finalement inutile.
Parquet cloué (et dans l'agglo ou OSB, les clous rentrent mal) ou pseudo parquet clic posé flottant sur revêtement acoustique, il faut faire un choix. La seconde solution serait certainement moins chère et très satisfaisante, sachant que l'on trouve sur le marché des produits de qualité.
Mais on trouve également des produits chers, dont les lames sont incurvées quand on les sort de la boite. Et au montage, il peut y avoir des surprises. Voir sur le forum menuiserie :
Problème sol qui grince pas d'espace de dilatation
D'autres avis devraient vous être proposés, Marie n'est pas loin.
25 octobre 2012 à 19:27

Bonjour Fred. Je ne peux rien vous dire concernant la résolution de cet incident. Mais des amis dans la même situation que vous ont souscrit un contrat d’entretien de leur chaudière gaz avec un professionnel reconnu (certification Qualigaz) dès l'entrée dans leur nouvelle maison ; et bien leur en a pris.
Truc tout bête ou non, seul un professionnel pourra intervenir, qu'il y ait contrat ou non. Et cela réclame quelques euros.
Pour les cheveux, on va voir s'il faut créer un forum Bricovidéo spécialisé.
D'autres avis pourraient vous être proposés si des professionnels expérimentés passent par ce forum.
Truc tout bête ou non, seul un professionnel pourra intervenir, qu'il y ait contrat ou non. Et cela réclame quelques euros.
Pour les cheveux, on va voir s'il faut créer un forum Bricovidéo spécialisé.
D'autres avis pourraient vous être proposés si des professionnels expérimentés passent par ce forum.
25 octobre 2012 à 13:53

Bonjour Francesco. "...on s'aperçoit qu'une partie de l'eau veut remonter et qu'il y a des résidus de papier."
Cela signifie que le bouchon est en aval de la cour. Vous devriez avoir un regard dans lequel arrivent les eaux usées avant d'être rejetées dans la canalisation principale de l'égout. Il faut regarder là.
Il peut arriver que dans une canalisation des algues poussent et finissent par boucher le tube. Votre plombier aurait pu pousser davantage ses recherches.
Une intervention du service des eaux de votre commune avec un camion "déboucheur" pourrait s'avérer indispensable. Voire avec un flexible permettant une vision endoscopique interne de la canalisation.
Mais vu d'ici, l'eau qui remonte dans la cour est significatif d'un bouchon entre la cour et la canalisation en voirie.
Cela signifie que le bouchon est en aval de la cour. Vous devriez avoir un regard dans lequel arrivent les eaux usées avant d'être rejetées dans la canalisation principale de l'égout. Il faut regarder là.
Il peut arriver que dans une canalisation des algues poussent et finissent par boucher le tube. Votre plombier aurait pu pousser davantage ses recherches.
Une intervention du service des eaux de votre commune avec un camion "déboucheur" pourrait s'avérer indispensable. Voire avec un flexible permettant une vision endoscopique interne de la canalisation.
Mais vu d'ici, l'eau qui remonte dans la cour est significatif d'un bouchon entre la cour et la canalisation en voirie.
25 octobre 2012 à 13:36

Bonjour Sanga. Si vous êtes éloigné du métier, il vaut mieux que vous sous-traitiez l'installation. On conseille régulièrement le petit livre Promotelec "locaux d'habitation" (en vente par correspondance sur le site - 15 € environ) pour qui veut avoir un maximum d'indications sur la mise en œuvre de la norme C15-100 dans l'habitat.
Le tableau est mis dans un endroit accessible. Il fait partie intégrante de la GTL et doit respecter des côtes d'encombrement. Mur porteur ou non, cela ne change rien.
Réaliser une installation électrique nécessite de l'expérience et beaucoup de minutie. On ne bricole pas.
Le tableau est mis dans un endroit accessible. Il fait partie intégrante de la GTL et doit respecter des côtes d'encombrement. Mur porteur ou non, cela ne change rien.
Réaliser une installation électrique nécessite de l'expérience et beaucoup de minutie. On ne bricole pas.
25 octobre 2012 à 09:15

Bonjour Daniel. C'est simple, il faut suspecter soit l'aérotherme, soit l'installation amont.
Pour cette dernière : le DJ déclenche-t-il par surintensité parce que surchargé au niveau d'une phase ou des trois en même temps ? Est-ce le différentiel s'il y en a un ? S'il y a surcharge, est-elle moyenne, ou très forte comme un court-circuit dû à la charge ? Voir calibre du DJ, mesure des intensités aérotherme non relié.
Pour l'aérotherme : présente-t-il un défaut d'isolement (test à l'ohmmètre au minimum) ? Branché à part sur une autre source protégée, le fonctionnement est-il normal et quelle est la consommation par phase ? Ce déclenchement du DJ est-il apparu subitement alors que le fonctionnement était normal jusqu'ici ?
Si le défaut apparait pour la première fois lors de la mise en service de l'aérotherme nouvellement installé, le DJ n'ayant pas la bonne courbe de déclenchement, et s'il est limite au niveau de son calibre In, ce peut être la surintensité au démarrage du moteur qui le fait déclencher.
Pour l'alimentation vous faites de même. Si possible, vous remettez la source et les protections à jour en remplaçant les fusibles par des DJ.
Un bon exercice de dépannage. Une fois répondu aux questions, vous faites les vérifications méthodiquement dans l'ordre.
Moyens de mesurage nécessaires : multimètre + pince ampèremétrique RMS avec fonction mémoire inrush. En fonction des résultats, test d'isolement du moteur.
Pour cette dernière : le DJ déclenche-t-il par surintensité parce que surchargé au niveau d'une phase ou des trois en même temps ? Est-ce le différentiel s'il y en a un ? S'il y a surcharge, est-elle moyenne, ou très forte comme un court-circuit dû à la charge ? Voir calibre du DJ, mesure des intensités aérotherme non relié.
Pour l'aérotherme : présente-t-il un défaut d'isolement (test à l'ohmmètre au minimum) ? Branché à part sur une autre source protégée, le fonctionnement est-il normal et quelle est la consommation par phase ? Ce déclenchement du DJ est-il apparu subitement alors que le fonctionnement était normal jusqu'ici ?
Si le défaut apparait pour la première fois lors de la mise en service de l'aérotherme nouvellement installé, le DJ n'ayant pas la bonne courbe de déclenchement, et s'il est limite au niveau de son calibre In, ce peut être la surintensité au démarrage du moteur qui le fait déclencher.
Pour l'alimentation vous faites de même. Si possible, vous remettez la source et les protections à jour en remplaçant les fusibles par des DJ.
Un bon exercice de dépannage. Une fois répondu aux questions, vous faites les vérifications méthodiquement dans l'ordre.
Moyens de mesurage nécessaires : multimètre + pince ampèremétrique RMS avec fonction mémoire inrush. En fonction des résultats, test d'isolement du moteur.
25 octobre 2012 à 09:06

Bien reçu votre réponse 16. Effectivement, c'est plus clair.
L'essentiel est que ERDF soit "dans le coup".
Il me semble que c'est au client de prendre rendez-vous avec ERDF, si ce n'est fait, pour configurer le compteur en fonction du contrat souscrit. Normalement l'agent met les fusibles amont en place, vérifie l'ensemble et pose les plombs. Le client signe le document comme quoi son contrat est actif.
Le travail est très divisé. Au départ un technicien ERDF visite le site et indique les travaux a effectuer à sa hiérarchie ; un devis client peut être fourni.
Quelques temps plus tard, un intervenant mandaté et donc agréé fait les travaux - en général 2 ou 3 compagnons. Par sécurité, vous n'auriez pas dû intervenir seul.
En dernier intervient un agent EDF qui met le compteur en service et fait débuter le contrat.
Merci pour votre retour.
L'essentiel est que ERDF soit "dans le coup".
Il me semble que c'est au client de prendre rendez-vous avec ERDF, si ce n'est fait, pour configurer le compteur en fonction du contrat souscrit. Normalement l'agent met les fusibles amont en place, vérifie l'ensemble et pose les plombs. Le client signe le document comme quoi son contrat est actif.
Le travail est très divisé. Au départ un technicien ERDF visite le site et indique les travaux a effectuer à sa hiérarchie ; un devis client peut être fourni.
Quelques temps plus tard, un intervenant mandaté et donc agréé fait les travaux - en général 2 ou 3 compagnons. Par sécurité, vous n'auriez pas dû intervenir seul.
En dernier intervient un agent EDF qui met le compteur en service et fait débuter le contrat.
Merci pour votre retour.
24 octobre 2012 à 23:10

Bonjour Ftlm. Le vendeur est pour le moins bizarre, et le notaire doit réagir. Rappelons que le point de livraison et ses appareillages appartiennent à ERDF : coffret fusibles - compteur - disjoncteur de branchement. On n'ose pas croire que le compteur a disparu.
Il est évident, du moins ce me semble, que si ERDF doit créer un point de livraison considéré comme nouveau, le propriétaire sera assujetti à un contrôle du Consuel. Il vaudrait mieux que ce ne soit pas vous si les évènements vont dans ce sens.
Ce que vous avez constaté est contradictoire avec la ligne 7. Ce devrait être un motif de rétractation certainement sans frais. L'habitat semble ne plus comporter d'alimentation en énergie électrique. S'il n'y a pas de coffret extérieur, c'est peut-être que la liaison est aérienne et que le coffret fusibles ERDF est à l'intérieur de l'habitat. A préciser.
Qu'il y ait des dangers sur l'installation électrique, c'est normal si l'habitat est ancien. Mais que dit le diagnostic concernant le disjoncteur de branchement, voire le compteur ?
Attendons les avis éclairés des amis CMT et MJD.
Il est évident, du moins ce me semble, que si ERDF doit créer un point de livraison considéré comme nouveau, le propriétaire sera assujetti à un contrôle du Consuel. Il vaudrait mieux que ce ne soit pas vous si les évènements vont dans ce sens.
Ce que vous avez constaté est contradictoire avec la ligne 7. Ce devrait être un motif de rétractation certainement sans frais. L'habitat semble ne plus comporter d'alimentation en énergie électrique. S'il n'y a pas de coffret extérieur, c'est peut-être que la liaison est aérienne et que le coffret fusibles ERDF est à l'intérieur de l'habitat. A préciser.
Qu'il y ait des dangers sur l'installation électrique, c'est normal si l'habitat est ancien. Mais que dit le diagnostic concernant le disjoncteur de branchement, voire le compteur ?
Attendons les avis éclairés des amis CMT et MJD.
24 octobre 2012 à 22:14

Bonjour. Ça va être difficile, car il n'y a pas trop d'épaisseur disponible. Il faudrait traiter à la fois le plancher du dessus (et le revêtement de sol, le carrelage n'étant pas une bonne solution) et votre plafond. Mettre un faux plafond suspendu en plaques de plâtre acoustique avec une isolation de bonne épaisseur est toujours possible (à condition que l'ensemble fini ait une hauteur sous plafond standard de 2,5 m) ; il subsistera néanmoins tous les bruits transmis par la matière (et à voir les photos, c'est du très ancien - un grenier non habité à l'origine au dessus ?), les bruits aériens étant atténués, mais pas les plus gênants.
Votre voisin marche sur une peau de tambour et vous êtes à l'intérieur.
Il faudrait demander l'avis de professionnels expérimentés. Il y a d'excellents plaquistes spécialisés, mais peut-être davantage dans le neuf ; un architecte habitué à traiter l'habitat ancien pourrait envisager des solutions.
Autre solution si vous êtes jeune, dans vos murs, avec un peu d'euros disponibles ou à venir : acheter le haut si ce n'est fait et faire une réhabilitation d'ensemble. Des travaux lourds.
En attendant, vous pouvez consulter ce centre d'information sur le bruit dans l'habitat : bruit.fr tout sur les bruits isoler-son-logement
Votre voisin marche sur une peau de tambour et vous êtes à l'intérieur.
Il faudrait demander l'avis de professionnels expérimentés. Il y a d'excellents plaquistes spécialisés, mais peut-être davantage dans le neuf ; un architecte habitué à traiter l'habitat ancien pourrait envisager des solutions.
Autre solution si vous êtes jeune, dans vos murs, avec un peu d'euros disponibles ou à venir : acheter le haut si ce n'est fait et faire une réhabilitation d'ensemble. Des travaux lourds.
En attendant, vous pouvez consulter ce centre d'information sur le bruit dans l'habitat : bruit.fr tout sur les bruits isoler-son-logement
24 octobre 2012 à 20:16

Bonjour Biennaz. Il n'y a pas bousculade pour vous répondre.
On peut comprendre que vous (le maitre d’œuvre ? le maitre d'ouvrage ?) cherchez à économiser sur le diamètre des canalisations.
Un professionnel devrait effectuer l'installation conformément à un cahier des charges fourni par le cabinet responsable de la construction. C'est à ce document qu'il faut se référer ; si ce document précise que l’installation doit être réalisée conformément aux règles de l'art, c'est au professionnel qualifié de les mettre en œuvre.
La logique voudrait que la section des tubes corresponde au débit instantané maximum calculé, tous les points d'eau étant utilisés.
Cette installation est assez comparable au domaine domestique pour lequel les diamètres des tubes sont standards. Reste à évaluer la perte en ligne tolérable en fonction de la longueur.
D'autres avis devraient vous être proposés si un intervenant du métier passe par le forum.
On peut comprendre que vous (le maitre d’œuvre ? le maitre d'ouvrage ?) cherchez à économiser sur le diamètre des canalisations.
Un professionnel devrait effectuer l'installation conformément à un cahier des charges fourni par le cabinet responsable de la construction. C'est à ce document qu'il faut se référer ; si ce document précise que l’installation doit être réalisée conformément aux règles de l'art, c'est au professionnel qualifié de les mettre en œuvre.
La logique voudrait que la section des tubes corresponde au débit instantané maximum calculé, tous les points d'eau étant utilisés.
Cette installation est assez comparable au domaine domestique pour lequel les diamètres des tubes sont standards. Reste à évaluer la perte en ligne tolérable en fonction de la longueur.
D'autres avis devraient vous être proposés si un intervenant du métier passe par le forum.
24 octobre 2012 à 19:38

Bien reçu B. Bigot. Une précision concernant les moteurs.
Ici, il s'agit d'un moteur triphasé choisi pour sa simplicité de construction et d'alimentation ainsi que pour sa robustesse à toute épreuve.
Le moteur monophasé nécessite un condensateur alimentant une phase auxiliaire. Peut-être que d'autres projecteurs de cette marque pouvaient fonctionner en monophasé avec un moteur adapté.
Les deux types de moteurs sont sujet au glissement, le qualificatif asynchrone impliquant cette évidence : le rotor glisse par rapport à la vitesse de synchronisme, la fréquence de rotation dépend du couple résistant demandé sur l'arbre et n'est pas stable ; seul le moteur synchrone fonctionne au synchronisme.
Ces projecteurs devaient avoir une vitesse régulée par un artifice qu'on ne peut développer ici.
Sans plus de précisions, on ne voit pas comment un moteur 115 V peut résoudre votre problème.
Ici, il s'agit d'un moteur triphasé choisi pour sa simplicité de construction et d'alimentation ainsi que pour sa robustesse à toute épreuve.
Le moteur monophasé nécessite un condensateur alimentant une phase auxiliaire. Peut-être que d'autres projecteurs de cette marque pouvaient fonctionner en monophasé avec un moteur adapté.
Les deux types de moteurs sont sujet au glissement, le qualificatif asynchrone impliquant cette évidence : le rotor glisse par rapport à la vitesse de synchronisme, la fréquence de rotation dépend du couple résistant demandé sur l'arbre et n'est pas stable ; seul le moteur synchrone fonctionne au synchronisme.
Ces projecteurs devaient avoir une vitesse régulée par un artifice qu'on ne peut développer ici.
Sans plus de précisions, on ne voit pas comment un moteur 115 V peut résoudre votre problème.
24 octobre 2012 à 13:36

** Message privé **
Bonjour réponses 12 et 14.
La question est : ERDF a-t-il mandaté un sous-traitant pour effectuer le changement de l'équipement du point de livraison ?
Si oui, qui a reçu l’ordre d'exécution, dont le sous-traitant aura à rendre compte à ERDF, qui pourra alors rémunérer ce dernier.
Qu'à à voir l'abonné dans cette affaire ? Quelles ont été ses relations avec les intervenants, puisqu'il semble y en avoir plusieurs ? Avec ERDF, les ordres de service sont des documents écrits. Un client qui "s'occupe de tout" doit présenter les bons documents à ses interlocuteurs. N'importe qui ne peut intervenir sur le réseau ERDF, et notamment sur un point de livraison. La pose d'un compteur implique la programmation de celui-ci conformément au contrat souscrit par l'abonné. Cela est assuré par un technicien ERDF mandaté par le service commercial EDF.
Vos explications ne sont pas très claires. Votre situation semble ambigüe.
Pour ce qui concerne l'habilitation, celle-ci est normalement délivrée par un employeur. Dans votre cas, je ne sais pas qui est responsable de votre habilitation.
Le lecteur intéressé trouvera les définitions concernant l'habilitation sur ce document académique :
www.ac nancy metz.fr securite secu elec.pdf
La question est : ERDF a-t-il mandaté un sous-traitant pour effectuer le changement de l'équipement du point de livraison ?
Si oui, qui a reçu l’ordre d'exécution, dont le sous-traitant aura à rendre compte à ERDF, qui pourra alors rémunérer ce dernier.
Qu'à à voir l'abonné dans cette affaire ? Quelles ont été ses relations avec les intervenants, puisqu'il semble y en avoir plusieurs ? Avec ERDF, les ordres de service sont des documents écrits. Un client qui "s'occupe de tout" doit présenter les bons documents à ses interlocuteurs. N'importe qui ne peut intervenir sur le réseau ERDF, et notamment sur un point de livraison. La pose d'un compteur implique la programmation de celui-ci conformément au contrat souscrit par l'abonné. Cela est assuré par un technicien ERDF mandaté par le service commercial EDF.
Vos explications ne sont pas très claires. Votre situation semble ambigüe.
Pour ce qui concerne l'habilitation, celle-ci est normalement délivrée par un employeur. Dans votre cas, je ne sais pas qui est responsable de votre habilitation.
Le lecteur intéressé trouvera les définitions concernant l'habilitation sur ce document académique :
www.ac nancy metz.fr securite secu elec.pdf
24 octobre 2012 à 09:08

Bonjour Yourik.
Il est évident que votre réseau de terre est à vérifier sur l'ensemble des prises dont la 1 (connexion desserrée ou coupée).
Si vous ressentez des picotements sur le LV, cela provient d'un défaut de liaison à la terre de la machine.
La tension ressentie peut être induite et ce n'est pas dangereux, ou bien il s'agit d'un défaut d'isolement de la machine. La liaison à la terre étant rétablie, dans le premier cas le montage retrouvera un fonctionnement sécurisé, dans le deuxième un dispositif différentiel devrait déclencher. On espère que votre tableau est équipé de DDR 30 mA.
Il se pourrait que vous utilisiez un voltmètre numérique dont les indications sur les circuits "en l'air" sont sujettes à caution. On préfère les instruments analogiques ou les voltmètres à basse impédance d'entrée sur certains calibres V AC ; mais c'est plus cher.
Pour vérifier le réseau de terre, on peut mettre un ohmmètre entre la borne de terre du tableau et chaque broche de terre des PC - réseau domestique hors tension. Une simple "sonnette" peut faire l'affaire : pile 4,5 V + lampe 3,5 V + longs fils ; en gros une lampe de poche adaptée ; cela donne une très bonne indication visuelle de la liaison.
Il est évident que votre réseau de terre est à vérifier sur l'ensemble des prises dont la 1 (connexion desserrée ou coupée).
Si vous ressentez des picotements sur le LV, cela provient d'un défaut de liaison à la terre de la machine.
La tension ressentie peut être induite et ce n'est pas dangereux, ou bien il s'agit d'un défaut d'isolement de la machine. La liaison à la terre étant rétablie, dans le premier cas le montage retrouvera un fonctionnement sécurisé, dans le deuxième un dispositif différentiel devrait déclencher. On espère que votre tableau est équipé de DDR 30 mA.
Il se pourrait que vous utilisiez un voltmètre numérique dont les indications sur les circuits "en l'air" sont sujettes à caution. On préfère les instruments analogiques ou les voltmètres à basse impédance d'entrée sur certains calibres V AC ; mais c'est plus cher.
Pour vérifier le réseau de terre, on peut mettre un ohmmètre entre la borne de terre du tableau et chaque broche de terre des PC - réseau domestique hors tension. Une simple "sonnette" peut faire l'affaire : pile 4,5 V + lampe 3,5 V + longs fils ; en gros une lampe de poche adaptée ; cela donne une très bonne indication visuelle de la liaison.
24 octobre 2012 à 08:49

Bonjour.
La méthode de l'électricien serait d'alimenter ce moteur avec un petit variateur de fréquence alimenté en monophasé 230 V avec sortie triphasée 3×230 V, le stator du moteur asynchrone étant alors couplé en triangle. Il faudrait ensuite revoir le câblage de la machine. Pas infaisable si l'on est proche du métier.
L'autre solution est de confier l'appareil à un spécialiste des appareils de cinéma anciens capable de rénover cette machine, quitte à changer le moteur.
Il faudrait alors faire une recherche sur le net. On y trouve des passionnés possédant compétence et stocks de pièces détachées.
Vous pouvez également l'échanger avec un équivalent fonctionnant en monophasé, et dument révisé ; toujours auprès d'un passionné référencé sur le net.
La méthode de l'électricien serait d'alimenter ce moteur avec un petit variateur de fréquence alimenté en monophasé 230 V avec sortie triphasée 3×230 V, le stator du moteur asynchrone étant alors couplé en triangle. Il faudrait ensuite revoir le câblage de la machine. Pas infaisable si l'on est proche du métier.
L'autre solution est de confier l'appareil à un spécialiste des appareils de cinéma anciens capable de rénover cette machine, quitte à changer le moteur.
Il faudrait alors faire une recherche sur le net. On y trouve des passionnés possédant compétence et stocks de pièces détachées.
Vous pouvez également l'échanger avec un équivalent fonctionnant en monophasé, et dument révisé ; toujours auprès d'un passionné référencé sur le net.
23 octobre 2012 à 09:26

Bonjour réponse 12. Pour ce que j'en sais, tout intervenant sur le réseau ERDF, ne serait-ce qu'au niveau du point de livraison, doit être mandaté. Vous n'avez donc pas le droit de changer vous même les éléments du point de livraison sans ordre de service. De plus, vous devez posséder la qualification professionnelle et l'habilitation vous autorisant à effectuer ce genre de travaux.
Ce n'est pas le client qui devrait être ennuyé.
Vos descriptions ne sont pas claires : "l'installation est en tétra mono" ? - "...pour questions de responsabilités et papiers tout ce tralalala." ? - "...lors du passage d'EDF" ?
Des précisions seraient bienvenues.
Ce n'est pas le client qui devrait être ennuyé.
Vos descriptions ne sont pas claires : "l'installation est en tétra mono" ? - "...pour questions de responsabilités et papiers tout ce tralalala." ? - "...lors du passage d'EDF" ?
Des précisions seraient bienvenues.
22 octobre 2012 à 14:18

Bonjour. Le problème c'est qu'une carte électronique gère le fonctionnement du SL.
Vous n'échapperez pas au passage d'un SAV. Si l'appareil est récent, cela en vaut certainement la peine. Dans le cas contraire le choix est plus difficile. Tout ces appareils ne sont plus d'une robustesse à l'ancienne.
En attendant, il faut remettre en service les cordes à linge. C'est très économique.
A tout hasard, branchez le SL sur une autre prise. La mesure de tension peut être difficile à interpréter, même si le voltmètre indique 220 V.
Désolé de ne pouvoir vous aider davantage.
Vous n'échapperez pas au passage d'un SAV. Si l'appareil est récent, cela en vaut certainement la peine. Dans le cas contraire le choix est plus difficile. Tout ces appareils ne sont plus d'une robustesse à l'ancienne.
En attendant, il faut remettre en service les cordes à linge. C'est très économique.
A tout hasard, branchez le SL sur une autre prise. La mesure de tension peut être difficile à interpréter, même si le voltmètre indique 220 V.
Désolé de ne pouvoir vous aider davantage.
22 octobre 2012 à 09:20

** Message privé **
Bonjour Alban. Ce problème a déjà été évoqué sur le forum. Vous pourrez obtenir certains points de vue en tapant éclairage public dans le moteur de recherche.
Il faudrait vous assurer auprès de vos voisins directs qu'ils sont, ou non, sujet à cet incident.
Le contrôle de l'installation consiste à vérifier l'isolement de chaque candélabre ; il faut donc y passer du temps et avoir les appareils de mesure nécessaires. Si l'un présente une fuite à la terre, cela peut provoquer le déclenchement du différentiel en tête d'installation chez les abonnés très proches du candélabre en défaut.
Mais il n'y a rien d'absolu. Il faut affiner vos observations et réitérer une demande de vérification sérieuse du réseau d'éclairage public, et surtout de chaque candélabre.
Mais avant, assurez vous que le différentiel 30 mA n'est pas lui même en défaut. Que font les autres présents sur votre tableau de distribution ? On espère qu'il y en a plusieurs.
Il faudrait vous assurer auprès de vos voisins directs qu'ils sont, ou non, sujet à cet incident.
Le contrôle de l'installation consiste à vérifier l'isolement de chaque candélabre ; il faut donc y passer du temps et avoir les appareils de mesure nécessaires. Si l'un présente une fuite à la terre, cela peut provoquer le déclenchement du différentiel en tête d'installation chez les abonnés très proches du candélabre en défaut.
Mais il n'y a rien d'absolu. Il faut affiner vos observations et réitérer une demande de vérification sérieuse du réseau d'éclairage public, et surtout de chaque candélabre.
Mais avant, assurez vous que le différentiel 30 mA n'est pas lui même en défaut. Que font les autres présents sur votre tableau de distribution ? On espère qu'il y en a plusieurs.
21 octobre 2012 à 12:40

Bonjour. Il faut faire une mise à l'air de la canalisation d'évacuation des eaux usées. Normalement, cela est fait lors de l'installation. Sinon, le remède consiste à mettre un clapet au niveau de la conduite d'évacuation du lavabo salle de bain. C'est efficace. Mais il faut savoir le faire.
21 octobre 2012 à 11:31

Bonjour Tonton. Généralement les chauffe-eau d'évier sont livrés avec un robinet spécial permettant la chauffe sans risque. Ainsi, durant la chauffe, l'eau excédentaire s'évacue automatiquement goutte à goutte dans l'évier.
Vous faites au mieux avec la notice du produit sous les yeux.
Vous faites au mieux avec la notice du produit sous les yeux.
21 octobre 2012 à 10:26

Bonjour. Il est toujours possible de réaliser sans difficulté ce montage avec les composants choisis.
La notice du produit précise : "Relais Contacteurs Silencieux - Enclenchement progressif par temporisateurs". Il faudrait vous assurer que le délestage tout ou rien à l'ancienne est supporté par le système de commande de la chaudière.
On peut se demander néanmoins si vous avez fait le bon choix de la source chaude, car la consommation électrique à toute heure ne sera pas négligeable (vous ne pourrez pas compter que sur les heures creuses pour assurer la chauffe) ; d'autant plus que la chaudière étant en marche, avec 12 kVA il ne restera pas grand chose pour le gros électroménager. L'avantage est qu'un jour vous pourrez changer de générateur et mettre une chaudière à gaz.
Il se peut qu'à terme, il ne fasse pas bien chaud dans l'habitat - peut-être avez vous prévu des radiateurs de qualité avec une bonne inertie. On espère qu'il est bien isolé et ventilé. Et que la surface à chauffer est petite.
Des radiateurs modernes rayonnants à inertie pilotables par gestionnaire d'énergie avec délestage cascado-cyclique par action sur les fils pilote donnent de très bons résultats, avec une souplesse d'emploi et un bon confort.
D'autre part, il faut vous assurer de la qualité du SAV de la société et de la disponibilité des pièces - le site ne précise rien de précis, et ce peut être inquiétant. La vente par Internet a ses limites, surtout pour les objets technologiques.
Espérons que vous ne soyez pas amené à regretter pas votre choix.
D'autres avis devraient vous être proposés.
La notice du produit précise : "Relais Contacteurs Silencieux - Enclenchement progressif par temporisateurs". Il faudrait vous assurer que le délestage tout ou rien à l'ancienne est supporté par le système de commande de la chaudière.
On peut se demander néanmoins si vous avez fait le bon choix de la source chaude, car la consommation électrique à toute heure ne sera pas négligeable (vous ne pourrez pas compter que sur les heures creuses pour assurer la chauffe) ; d'autant plus que la chaudière étant en marche, avec 12 kVA il ne restera pas grand chose pour le gros électroménager. L'avantage est qu'un jour vous pourrez changer de générateur et mettre une chaudière à gaz.
Il se peut qu'à terme, il ne fasse pas bien chaud dans l'habitat - peut-être avez vous prévu des radiateurs de qualité avec une bonne inertie. On espère qu'il est bien isolé et ventilé. Et que la surface à chauffer est petite.
Des radiateurs modernes rayonnants à inertie pilotables par gestionnaire d'énergie avec délestage cascado-cyclique par action sur les fils pilote donnent de très bons résultats, avec une souplesse d'emploi et un bon confort.
D'autre part, il faut vous assurer de la qualité du SAV de la société et de la disponibilité des pièces - le site ne précise rien de précis, et ce peut être inquiétant. La vente par Internet a ses limites, surtout pour les objets technologiques.
Espérons que vous ne soyez pas amené à regretter pas votre choix.
D'autres avis devraient vous être proposés.
21 octobre 2012 à 10:19

Bonjour Gwen.
"Faut-il percer dans le trou de la serrure ou en dessous pour faire sauter la vis ?" Dans le barillet directement ; ensuite vous pourrez tourner le dispositif interne, les pistons ayant été détruits.
"Pensez-vous que c'est le genre de barillet standard qu'on trouve facilement en magasin ?" On peut le penser effectivement. Mais il existe des spécialistes des fermetures en tout genre qui pourront vous approvisionner. Les pages jaunes pourraient vous renseigner.
"Faut-il percer dans le trou de la serrure ou en dessous pour faire sauter la vis ?" Dans le barillet directement ; ensuite vous pourrez tourner le dispositif interne, les pistons ayant été détruits.
"Pensez-vous que c'est le genre de barillet standard qu'on trouve facilement en magasin ?" On peut le penser effectivement. Mais il existe des spécialistes des fermetures en tout genre qui pourront vous approvisionner. Les pages jaunes pourraient vous renseigner.
20 octobre 2012 à 10:08

Bonjour Yann. Extérieurement les produits Chutunic et autres tubes lisses sont identiques. D'autre part, cette matière (le PVC) est inerte. Si la contrainte mécanique longitudinale suite à la dilatation est très faible, ce qui est logique vu la matière et les quelques degrés de variation de température, on ne voit pas ce qui pourrait endommager le tube. Votre livre de référence semble le laisser prévoir.
Par sécurité et pour vous tranquilliser, vous pouvez toujours demander à un professionnel expérimenté, ou au service clients Nicoll.
Mais personnellement, j'encastrerais au ciment, au plâtre ou autre matière (sans encastrer de manchons bien entendu - donc en installant une longueur entière). Et je n'approvisionnerais pas le produit en GSB, mais chez les grands de la distribution de produits professsionnels.
D'autres avis devraient vous être proposés.
Par sécurité et pour vous tranquilliser, vous pouvez toujours demander à un professionnel expérimenté, ou au service clients Nicoll.
Mais personnellement, j'encastrerais au ciment, au plâtre ou autre matière (sans encastrer de manchons bien entendu - donc en installant une longueur entière). Et je n'approvisionnerais pas le produit en GSB, mais chez les grands de la distribution de produits professsionnels.
D'autres avis devraient vous être proposés.
20 octobre 2012 à 10:01

Bonjour Poulie. Le bruit violent que vous entendez se nomme coup de bélier. Un réducteur de pression en sortie de compteur d'eau peut résoudre ce problème. Le bruit de l'eau qui chauffe est normal, mais il y a des limites ; en général c'est assez diffus.
Assurez vous que le groupe de sécurité fonctionne bien (on ouvre la vidange plusieurs fois).
Si le chauffe-eau est très ancien, il faut s'attendre un jour ou l'autre à des désagréments très humides.
Si vous avez des inquiétudes, faites venir un professionnel.
D'autres avis pourront vous être proposés.
Assurez vous que le groupe de sécurité fonctionne bien (on ouvre la vidange plusieurs fois).
Si le chauffe-eau est très ancien, il faut s'attendre un jour ou l'autre à des désagréments très humides.
Si vous avez des inquiétudes, faites venir un professionnel.
D'autres avis pourront vous être proposés.
20 octobre 2012 à 09:42

Bonjour Patrice. A part changer le mitigeur s'il est impossible de le détartrer, à distance on ne peut pas envisager d'autre solution. La multiprise ne résoudra aucun problème. C'est comme le marteau dans de nombreux cas.
20 octobre 2012 à 09:36

Bonjour Yabri. La solution vous appartient. Vous pouvez toujours essayer de déconnecter la sortie du siphon et faire couler dans une cuvette. Ainsi, vous verrez s'il y a un problème de montage de votre siphon. Cela vous permettra également de vérifier l'écoulement en aval (un tuyau d'arrosage dedans et vous voyez si l'écoulement est normal). Vous adaptez ces vérifications à la configuration de l'installation : appartement ou maison individuelle, les précautions sont différentes.
20 octobre 2012 à 09:34

Bonsoir Sandra. L’agence a raison. Il faut que le robinet à obturation automatique intégrée (ROAI) soit accessible.
En tapant "emplacement robinet gaz" sur un moteur de recherches, on a les renseignements demandés, comme sur le site Banides
banides-debeaurain.fr/ : reglementation cuisson gaz naturel.pdf
De toute façon, l'installation doit être réalisée par un professionnel. Celui-ci vous sera de bon conseil.
En tapant "emplacement robinet gaz" sur un moteur de recherches, on a les renseignements demandés, comme sur le site Banides
banides-debeaurain.fr/ : reglementation cuisson gaz naturel.pdf
De toute façon, l'installation doit être réalisée par un professionnel. Celui-ci vous sera de bon conseil.
18 octobre 2012 à 22:25

Bonjour Yann.
Vous pouvez vous inspirer du système Chutunic Nicoll. Les tubes sont découplés du bâti avec des colliers isophoniques. Sinon, encastrer et sceller au plâtre sur quelques mètres (la hauteur d'un étage - un tube entier) ne pose pas de problème particulier, du moment que la dilatation en position haute et basse peut s'effectuer avec des manchons apparents, donc non scellés.
La documentation Nicoll ici : chutunic-nicoll.com
Vous pouvez vous inspirer du système Chutunic Nicoll. Les tubes sont découplés du bâti avec des colliers isophoniques. Sinon, encastrer et sceller au plâtre sur quelques mètres (la hauteur d'un étage - un tube entier) ne pose pas de problème particulier, du moment que la dilatation en position haute et basse peut s'effectuer avec des manchons apparents, donc non scellés.
La documentation Nicoll ici : chutunic-nicoll.com
18 octobre 2012 à 15:29

Bonjour Nico. Voir question 5230 qui traite un sujet identique.
Si la chauffe journalière se fait bien et que le débit est nul (c'est ce que l'on peut comprendre à vous lire - à préciser éventuellement), par intermittence chez vous, on peut incriminer également le groupe de sécurité. On rappelle que celui-ci doit être vérifié régulièrement (comme les interrupteurs différentiels), par action impulsionnelle sur le robinet de vidange, de façon à éviter l'entartrage.
Sur le tableau de répartition se trouve non un thermostat, mais un contacteur commandé par EDF pour la chauffe en HC.
La vidange est inutile.
A suivre.
Si la chauffe journalière se fait bien et que le débit est nul (c'est ce que l'on peut comprendre à vous lire - à préciser éventuellement), par intermittence chez vous, on peut incriminer également le groupe de sécurité. On rappelle que celui-ci doit être vérifié régulièrement (comme les interrupteurs différentiels), par action impulsionnelle sur le robinet de vidange, de façon à éviter l'entartrage.
Sur le tableau de répartition se trouve non un thermostat, mais un contacteur commandé par EDF pour la chauffe en HC.
La vidange est inutile.
A suivre.
18 octobre 2012 à 08:57

Bonjour Phil.
Ce peut être un peu tout cela à la fois. S'il n'y a pas de débit, on peu incriminer un bouchon dû au tartre. Tout d'abord, on suppose que le réducteur de pression est à l'arrivée d'eau.
Le fait que le groupe fuit montre qu'il est certainement encrassé et qu'un changement s'impose. Pour en avoir le cœur net, vous pouvez déjà l'enlever et voir si en sortie de chauffe-eau le débit est normal quand vous remettez le circuit sous pression. Cela nécessite quelques précautions pour ne pas inonder ce qui ressemble à un sous-sol.
Si le chauffe-eau est entartré, on peut le nettoyer en le démontant, mais au bout de 10 ans il a atteint son obsolescence programmée, et il vaut mieux en changer pour un modèle ACI +.
Si vous êtes bon bricoleur, le changement du groupe de sécurité n'est pas bien compliqué. Il faut juste quelques clés de bonne dimension et une pince multiprise, quelques joints, un peu de filasse. Et une grande cuvette.
Dans le cas contraire, votre plombier vous fera le changement en moins de temps qu'il faut pour l'écrire.
Donc dans l'ordre : le groupe, les tuyaux ou le chauffe-eau.
Si le groupe ne remplit pas sa fonction, le ballon risque d'être endommagé lors de la chauffe. Il y a donc urgence, avant une fuite générale.
Ce peut être un peu tout cela à la fois. S'il n'y a pas de débit, on peu incriminer un bouchon dû au tartre. Tout d'abord, on suppose que le réducteur de pression est à l'arrivée d'eau.
Le fait que le groupe fuit montre qu'il est certainement encrassé et qu'un changement s'impose. Pour en avoir le cœur net, vous pouvez déjà l'enlever et voir si en sortie de chauffe-eau le débit est normal quand vous remettez le circuit sous pression. Cela nécessite quelques précautions pour ne pas inonder ce qui ressemble à un sous-sol.
Si le chauffe-eau est entartré, on peut le nettoyer en le démontant, mais au bout de 10 ans il a atteint son obsolescence programmée, et il vaut mieux en changer pour un modèle ACI +.
Si vous êtes bon bricoleur, le changement du groupe de sécurité n'est pas bien compliqué. Il faut juste quelques clés de bonne dimension et une pince multiprise, quelques joints, un peu de filasse. Et une grande cuvette.
Dans le cas contraire, votre plombier vous fera le changement en moins de temps qu'il faut pour l'écrire.
Donc dans l'ordre : le groupe, les tuyaux ou le chauffe-eau.
Si le groupe ne remplit pas sa fonction, le ballon risque d'être endommagé lors de la chauffe. Il y a donc urgence, avant une fuite générale.
18 octobre 2012 à 08:28

Bonjour Margnata. Ce problème est intéressant.
Apparemment, ce produit doit être alimenté en permanence pour fonctionner.
La commande par fil pilote issu d'un gestionnaire d'énergie ou d'un programmateur spécialisé (et non par contact C1 C2 des compteurs anciens) permet d'assurer la chauffe automatique en HC et l'arrêt en HP (ainsi que la modulation du chauffage) ; la restitution peut être forcée grâce aux ventilateurs commandés par le thermostat interne.
En fonctionnement EJP l'appareil ne peut plus fonctionner, que ce soit en chauffe, ou pour la restitution finale par les ventilateurs.
Avec l'ancien, une entrée secteur auxiliaire (donc indépendante de l'EJP) devait permettre de faire fonctionner les ventilateurs pour la restitution de chaleur finale en l'absence du secteur présent à l'entrée puissance.
La notice commerciale (ne mentionnant pas la compatibilité avec le tarif EJP) : tradi fiche produit.pdf
La notice d'utilisation : accutradi 2 notice installation.pdf
Conclusion - sauf erreur : cet appareil ne peut pas restituer la chaleur accumulée lors de la dernière chauffe en EJP. Mais le plus sûr est de demander les détails au service clientèle Atlantic (téléphone ou courriel ou courrier).
Mais si c'est l'électronique qui commande les ventilateurs, c'est fichu. Avec le schéma détaillé sous les yeux on pourrait certainement voir ce qu'il en retourne. Mais les constructeurs ne les donnent pas.
Nota : de toute façon, en EJP, vous ne perdriez que la dernière restitution de chaleur. Ce n'est pas bien grave. Cela vaut-il la peine d'entreprendre des démarches ?
Merci de faire un retour d'informations si vous les obtenez.
Apparemment, ce produit doit être alimenté en permanence pour fonctionner.
La commande par fil pilote issu d'un gestionnaire d'énergie ou d'un programmateur spécialisé (et non par contact C1 C2 des compteurs anciens) permet d'assurer la chauffe automatique en HC et l'arrêt en HP (ainsi que la modulation du chauffage) ; la restitution peut être forcée grâce aux ventilateurs commandés par le thermostat interne.
En fonctionnement EJP l'appareil ne peut plus fonctionner, que ce soit en chauffe, ou pour la restitution finale par les ventilateurs.
Avec l'ancien, une entrée secteur auxiliaire (donc indépendante de l'EJP) devait permettre de faire fonctionner les ventilateurs pour la restitution de chaleur finale en l'absence du secteur présent à l'entrée puissance.
La notice commerciale (ne mentionnant pas la compatibilité avec le tarif EJP) : tradi fiche produit.pdf
La notice d'utilisation : accutradi 2 notice installation.pdf
Conclusion - sauf erreur : cet appareil ne peut pas restituer la chaleur accumulée lors de la dernière chauffe en EJP. Mais le plus sûr est de demander les détails au service clientèle Atlantic (téléphone ou courriel ou courrier).
Mais si c'est l'électronique qui commande les ventilateurs, c'est fichu. Avec le schéma détaillé sous les yeux on pourrait certainement voir ce qu'il en retourne. Mais les constructeurs ne les donnent pas.
Nota : de toute façon, en EJP, vous ne perdriez que la dernière restitution de chaleur. Ce n'est pas bien grave. Cela vaut-il la peine d'entreprendre des démarches ?
Merci de faire un retour d'informations si vous les obtenez.
17 octobre 2012 à 23:45

Bien reçu Didine.
Si vous voulez que ce soit correct au niveau peinture, il faut que le support soit lisse. Pour le médium c'est bon, mais ce me semble un peu mou pour servir de montant. Il se peut que les grandes planches flambent (de flambage). De plus, il faudra approvisionner de grandes surfaces et les couper ensuite, mais comment ? De plus, le médium est riche en formaldéhyde qu'il vaut mieux ne pas trop respirer.
Le contreplaqué ou le latté conviendraient, mais il va falloir les couper, les enduire, les poncer et les peindre. Vous pouvez les lasurer directement si vous voulez un aspect plus ou moins rustique (on peut dire brut). Pour l'aspect final, c'est vous qui voyez.
Le stratifié n'a pas à être peint s'il est couleur bois clair ou foncé (attention toutefois à la qualité - déjà signalé). De plus, il existe en planches de 30, 40, 50 et 60 cm en 2,5 m. Facile à couper à la circulaire de préférence guidée, ainsi qu'à l'égoïne neuve. A la scie sauteuse, en général on coupe de travers.
Un socle permet de bien matérialiser la bibliothèque par rapport au plancher.
Quant aux prix, il faut faire les magasins.
"Ya plus qu'à"
Si vous voulez que ce soit correct au niveau peinture, il faut que le support soit lisse. Pour le médium c'est bon, mais ce me semble un peu mou pour servir de montant. Il se peut que les grandes planches flambent (de flambage). De plus, il faudra approvisionner de grandes surfaces et les couper ensuite, mais comment ? De plus, le médium est riche en formaldéhyde qu'il vaut mieux ne pas trop respirer.
Le contreplaqué ou le latté conviendraient, mais il va falloir les couper, les enduire, les poncer et les peindre. Vous pouvez les lasurer directement si vous voulez un aspect plus ou moins rustique (on peut dire brut). Pour l'aspect final, c'est vous qui voyez.
Le stratifié n'a pas à être peint s'il est couleur bois clair ou foncé (attention toutefois à la qualité - déjà signalé). De plus, il existe en planches de 30, 40, 50 et 60 cm en 2,5 m. Facile à couper à la circulaire de préférence guidée, ainsi qu'à l'égoïne neuve. A la scie sauteuse, en général on coupe de travers.
Un socle permet de bien matérialiser la bibliothèque par rapport au plancher.
Quant aux prix, il faut faire les magasins.
"Ya plus qu'à"
16 octobre 2012 à 22:14

Bonjour Silvain. C'est l'UV TN04 de l'UTC ?
Vous pouvez vous inspirer des chalets Jeujura.
Vous pouvez vous inspirer des chalets Jeujura.
16 octobre 2012 à 15:43

Bien reçu Schuman.
"...cela fera double emploi avec le DJ moteur (+ ID)." Oui, c'est pour cela que vous allez choisir l'une ou l'autre des possibilités.
"...je vais jeter un œil sur les démarreurs mais YD ne sera pas possible (Aïe !) , le réseau est en 230/380V et la pompe en 380/660V". La plaque signalétique du moteur précise 380/660 V (ou 400/700 V si le moteur est récent). Cela signifie qu'aux bornes d'un enroulement, il doit y avoir en nominal 380 V. Or, le réseau est en 220/380 V, donc 380 V entre phases. Couplé en Y, il y aura 220 V aux bornes d'un enroulement, et en D, 380 V.
Conclusion : le démarrage YD est possible. Mais un démarreur statorique électronique serait d'un fonctionnement plus souple. On le shunte en fin de démarrage et c'est tout.
Et voilà. On a bien bossé sur ce projet.
"...cela fera double emploi avec le DJ moteur (+ ID)." Oui, c'est pour cela que vous allez choisir l'une ou l'autre des possibilités.
"...je vais jeter un œil sur les démarreurs mais YD ne sera pas possible (Aïe !) , le réseau est en 230/380V et la pompe en 380/660V". La plaque signalétique du moteur précise 380/660 V (ou 400/700 V si le moteur est récent). Cela signifie qu'aux bornes d'un enroulement, il doit y avoir en nominal 380 V. Or, le réseau est en 220/380 V, donc 380 V entre phases. Couplé en Y, il y aura 220 V aux bornes d'un enroulement, et en D, 380 V.
Conclusion : le démarrage YD est possible. Mais un démarreur statorique électronique serait d'un fonctionnement plus souple. On le shunte en fin de démarrage et c'est tout.
Et voilà. On a bien bossé sur ce projet.
16 octobre 2012 à 15:30

Bonjour Meline. Il faut suivre la notice de montage. Elle précise où l'on met les joints, plans ou coniques. En attendant, vous pouvez toujours faire une photo (nette) en précisant l'origine de la fuite et la joindre à un nouvel envoi.
Si l'on vous comprend un peu, ce que vous appelez entonnoir pourrait être la partie femelle du siphon sur laquelle s'emboite le tuyau d'évacuation. Il faut un joint conique sur la partie mâle. En serrant à la main l'écrou en forme de bague, l'étanchéité entre tuyau et entonnoir sera effective.
Si l'on vous comprend un peu, ce que vous appelez entonnoir pourrait être la partie femelle du siphon sur laquelle s'emboite le tuyau d'évacuation. Il faut un joint conique sur la partie mâle. En serrant à la main l'écrou en forme de bague, l'étanchéité entre tuyau et entonnoir sera effective.
16 octobre 2012 à 12:41

Bonjour Didine. Problème classique.
Cela se fait bien avec du stratifié de 18 mm. Il faut du vrai stratifié, et non des planches identiques avec décor papier collé. C'est très beau et moins cher, mais la surface est fragile. Si vous n'êtes pas outillé en scie circulaire, il faudra faire couper vos planches en GSB. Les coupes seront propres. Si l'on fait des coupes à la circulaire, on la guide avec une règle de maçon fixée sur la planche avec des serre-joints. Il vaut mieux scier dehors que dans l'habitat.
Il faut matérialiser la verticale de chacune des 3 planches avec un grand niveau (60 cm environ).
Vous pouvez fixer quelques tasseaux verticaux (15x15 ou 20x20) pour y plaquer les planches. On peut utiliser aussi des petites équerres, mais les aligner peut être délicat pour qui n'est pas habitué.
La fixation dans le mur supposé en placo nécessite des cheville Molly (des vraies) de 4 mm (cela suffit). Il faut une pince pour fixer ces chevilles. Pour ajuster la verticale, on fait des trous oblongs dans chaque tasseau et l'on met des rondelles larges sous les têtes de vis. De même, on ne perce pas tous les emplacements de cheville en même temps. En général on est déçu de l'alignement. Mais avec de l'habitude, on y arrive quand même. Vous faites au mieux.
Pour fixer les planches horizontales on fait pareil.
On peut utiliser du chant à coller avec un fer à repasser.
Il faudra soigner la perpendicularité des planches par rapport au mur.
On utilise des vis avec tête PZ1 ou 2. On fait un avant trou, et on fraise la place de la tête de vis.
Aucune vis ne doit dépasser à l'extérieur de la planche.
On peut envisager de monter l'ensemble sur une planche horizontale sur le plancher.
Il faut être patient et soigneux.
Cela se fait bien avec du stratifié de 18 mm. Il faut du vrai stratifié, et non des planches identiques avec décor papier collé. C'est très beau et moins cher, mais la surface est fragile. Si vous n'êtes pas outillé en scie circulaire, il faudra faire couper vos planches en GSB. Les coupes seront propres. Si l'on fait des coupes à la circulaire, on la guide avec une règle de maçon fixée sur la planche avec des serre-joints. Il vaut mieux scier dehors que dans l'habitat.
Il faut matérialiser la verticale de chacune des 3 planches avec un grand niveau (60 cm environ).
Vous pouvez fixer quelques tasseaux verticaux (15x15 ou 20x20) pour y plaquer les planches. On peut utiliser aussi des petites équerres, mais les aligner peut être délicat pour qui n'est pas habitué.
La fixation dans le mur supposé en placo nécessite des cheville Molly (des vraies) de 4 mm (cela suffit). Il faut une pince pour fixer ces chevilles. Pour ajuster la verticale, on fait des trous oblongs dans chaque tasseau et l'on met des rondelles larges sous les têtes de vis. De même, on ne perce pas tous les emplacements de cheville en même temps. En général on est déçu de l'alignement. Mais avec de l'habitude, on y arrive quand même. Vous faites au mieux.
Pour fixer les planches horizontales on fait pareil.
On peut utiliser du chant à coller avec un fer à repasser.
Il faudra soigner la perpendicularité des planches par rapport au mur.
On utilise des vis avec tête PZ1 ou 2. On fait un avant trou, et on fraise la place de la tête de vis.
Aucune vis ne doit dépasser à l'extérieur de la planche.
On peut envisager de monter l'ensemble sur une planche horizontale sur le plancher.
Il faut être patient et soigneux.
16 octobre 2012 à 11:34

Bonjour gvau. Voir les Questions apparentées dans le forum Électricité.
Le montage permutateur nécessite le passage de deux paires de navettes par permutateur (et le câblage dans chaque boitier peut être délicat si celui ci est peu profond).
Le montage avec télérupteur est préférable.
Le montage permutateur nécessite le passage de deux paires de navettes par permutateur (et le câblage dans chaque boitier peut être délicat si celui ci est peu profond).
Le montage avec télérupteur est préférable.
16 octobre 2012 à 11:12
